RAPPORT MÉTÉORE
Audiences Publiques sur les
Mines d’Uranium au Québec
Mines d’Uranium au Québec
Rapport rédigé à l’intention des gouvernements provinciaux et fédéraux ainsi qu’aux communautés autochtones du Labrador, du Québec et du Canada.
Gouvernement du Canada
Gouvernement du Québec
Gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador
Table des matières
IntroductionHistorique & Découverte de l’Uranium
Grandes Étapes de l’Extraction Minière Uranifère
Centrale nucléaire et production d’électricité
Production de Plutonium
Composition et constituants des sols de l’Uranium-238
Uranium
Radon
Radium
Protactinium
Thorium
Bismuth
Polonium
Plomb
Mines d’Uranium dans le monde
Allemagne
France
Australie
Canada
Afrique
Kazakhstan
Russie
Mines d’Uranium au Québec - Plan Nord sans Uranium
Pollution radioactive des terres & des montagnes
Pollution nucléaire de l’atmosphère (air, nuage, précipitations)
Pollution radioactive des lacs et rivières (uranium, thorium polonium, bismuth, etc)
Pollution en radionucléides dans l’eau du Fleuve Saint-Laurent
Liste des espèces menacées
Prédiction de la quantité de boues et résidus miniers radioactifs
10 Communautés et 43 chefs amérindiens du Québec et du Labrador s’opposent contre le carnage des mines uranifères
Projets futurs et contextes planétaires du développement de la filière uranifère
Mise au banc des accusés de l’industrie nucléaire
Recommandations officielles
Effets sur la santé et toxicité de la radioactivité
Liste boursière des compagnies minières uranifères
Zone de contamination nucléaire en milieu de travail ou dans la nature
Références bibliographiques
Compagnies minières nucléaires mondiales
☢
Introduction
L’industrie du nucléaire se profile comme un secteur énergétique dans lequel les ingénieurs, concepteurs et nucléocrates ont constamment besoin de projeter leurs projets futurs de prétendants nouveaux réacteurs et procédés de production d’électricité, afin de cacher la réelle pollution radioactive qu’ils ont causés depuis 75 ans. Ils promettent qu’ils ne plus polluerons plus comme auparavant grâce à l’évolution des procédés de retraitement plus étayés or la situation ne change pas et ne fait plutôt qu’empirer. Au bout du compte, ils réussissent à chanter la pomme encore et encore aux politiciens et ministères afin qu’ils approuvent leur plan d’action et leur crédite les autorisations légales et administratives ainsi que de grasses subventions monétaires aux frais des contribuables qui se retrouvent par la suite obligé de réparer les pots cassés et payer la facture salée de la décontamination nucléaire (6,5 milliards en Allemagne pour une région minière). Installer une industrie minière uranifère dans la Province serait signer l’arrêt de mort du Québec dans une plus qu’évidente condamnation irréversible de l’avenir des générations futures, de la faune et la flore ainsi que du contexte de possibilités sociales et culturelles cherchant l’épanouissement dans un sain environnement d’existence. Car partout où les mines d’Uranium ont proliféré sur la Terre, elles ont causé d’immenses montagnes de déchets toxiques et d’eau de retraitement radioactive. Nous n’avons pas besoin de répéter les mêmes erreurs que dans tous ces pays ou les autorités gouvernementales ont sacrifiés leur population aux compagnies minières qui en ont profité pour engranger au privé de faramineux profits et polluer définitivement le paysage comme dans le Nord de la Saskatchewan et de l’Ontario au Canada, en France, la Wismut en Allemagne, les mines d’Australie, du Niger et du Namibie en Afrique, du Kazakhstan et des steppes sibériennes de la Russie. Le minerai d’uranium-238 n’est contenu habituellement qu’à moins de 1% du volume de la roche à traiter, ce qui fait en sorte que les compagnies doivent laver la roche avec des quantités astronomiques d’eau pour en extraire le métal jaunâtre pareil à ce que l’ont fait avec le pétrole des sables bitumineux (grands lacs artificiels noirs contaminés aux pétroles ou bien orangés lorsqu’il s’agit de l’Uranium). L’eau utilisée pour laver la roche uranifère va ensuite être pompée dans les couches aquifères, les rivières, les lacs et ou le Fleuve pour être relâchée dans l’environnement par écoulement et évaporation dans l’air, et ce, même si elle est censée ne pas sortir d’un site donné.
De nombreuses recherches et études internationales ont démontré à l’unanimité que peu importe dans quels contextes géologiques où ils se trouveront, les étangs nucléaires vont fuir et contaminer les terrains avoisinants au fil des années. Ce phénomène va polluer aux substances mortelles les régions à proximité sans que les compagnies du nucléaire puissent le nettoyer adéquatement pour réparer les dommages irrécupérables et ce, mêmes s’ils promettent toujours de faire le contraire. Le Québec détient pourtant 25% des réserves d’eau douce dans le monde. Tout dépendamment de la teneur en uranium, les minières doivent nettoyer environ entre 1 000 à 50 000 tonnes de roches pour aller chercher 1 tonne d’Uranium pure prête à être vendue sur le marché international sous forme de ‘’Yellow Cake’’. Cette poudre est très prisée par le milieu du nucléaire et peut autant servir à fournir une centrale nucléaire que de l’enrichissement d’une bombe atomique. Ce type d’extraction va pourtant entraîner d’énormes montagnes de pierres lavées encore très radioactives et ou des lacs dans lesquels les isotopes resteront dangereux et toxiques pour des millions d’années comme le Thorium, le Radon, le Radium, le Plomb-214, le Bismut, le Protactinium et le Polonium. Lors de l’extraction de l’uranium dans la terre, un gaz très radioactif et dangereux nommé le ‘’Radon’’, est automatiquement libéré dans l’atmosphère et se déposera autour du site minier sur des kilomètres à la ronde, contaminant ainsi toute la chaîne alimentaire et la population innocente. Les communautés québécoises ne pourront plus faire pousser de légume et manger les animaux sauvages ou même en élevage à proximité des mines d’uranium.
Étant donné que la radioactivité est invisible à l’œil nu, cette incapacité devient le meilleur argument de la filière du nucléaire pour cacher la vérité sur sa dangerosité véritable, les nombreuses contaminations et effets secondaires collatéraux qu’elles occasionnent sur la santé des habitants à des milles à la ronde. Même avec un compteur Geiger-Müller, il est très difficile de détecter la radioactivité et de voir les dommages qu’elle infligera à l’environnement, car celle-ci est inodore. Les mineurs des mines d’Uranium sont les travailleurs du secteur minier les plus touchés par le cancer du poumon, les leucémies et les autres affectations sévères reliés aux maladies des rayons. Les radio-isotopes une fois ingurgités dans le corps humain, vont s’accumuler dans les organes, comme ; les poumons, le foie, les reins, le cerveau et les os en plus d’occasionner de nombreuses pathologies mortelles à l’exemple du cancer et des tares héréditaires multiples. Parfois quelques atomes ou poussières radioactives du sol suffisent à intoxiquer un homme ou une femme pour leur donner des cancers quelques années plus tard à peine et ou des enfants monstrueux provenant des mutations génétiques de leurs gamètes sexuels (spermatozoïdes et ovules). L'industrie du nucléaire fera que les enfants et les générations futures de la Terre seront les plus affectés par la contamination radioactive et connaîtrons de nombreux cas de malformation congénitale graves à la naissance. Soit l’hydroencéphalie, ou le bébé naît avec une énorme tête pleine d’eau ou bien l’anencéphalie, oũ le bambin ne développera pas de cortex cérébral et restera un handicapé mental toute sa vie. Les quantités massive de radioéléments une fois absorbé dans l’organisme des Québécoises et Amérindiennes causera un grand nombre de fausses couches et de maladies héréditaires, ce phénomène ayant été observé partout sur la planète ou les femelles animales ou humaines ont été exposés à des doses mêmes minimes de radionucléides. Comme nous exposerons dans cette étude des milliers de malformations prénatales peuvent advenir avec le nucléaire parce que les rayons émanant des noyaux atomiques cassent l’ADN.
Les petits gains économiques temporaires générés par l’extraction de l’uranium par les travailleurs actuels ne seront en rien comparables à tous les torts et préjudices que subiront les générations futures en naissant dans un Québec entièrement contaminées d'Est en Ouest et du Nord au Sud par la radioactivité. Les coûts à long terme sont trop souvent beaucoup plus élevés que ce que nous laisse entendre les lobbys du nucléaire, qui eux, ne cherche qu’à préserver leurs acquis et faire d’immenses profits sur le dos des collectivités souvent sans connaissance des véritables dommages à l’ADN et des possibles cas de cancers à venir (Cheliabinsk, Seyllafied, Zellingstad, Tchernobyl, etc). De ce constat, il n’y a habituellement pas de gains substantiels pour la population vivant de l’économie de l’extraction du minerai d’Uranium autour du monde, car très peu de redevances sont octroyées aux simples citoyens. Or les saccages à l’environnement sont irréversible demi-vie de l’uranium est de 4,5 milliards d’années soit l’âge de la Terre. Les travailleurs des mines contracteront également eux-mêmes des cancers ou maladies des poumons entre 10 à 15 après avoir commencé à travailler dans les mines d’Uranium selon les résultats d’études statistiques épidémiologique très précises. Sans compté que lorsqu'il y aura des accidents des centrales nucléaires à partir de l'utilisation des combustibles de pastilles d'uranium des mines et bien cette contamination s'épandra à la nature et les sociétés. Par exemple, plus de 500 000 à 600 000 personnes ont dû être mobilisées pour nettoyer le gâchis d’une tonne de métaux radioactifs dispersés dans l’air lors de l’explosion et des détritus au sol dans la région de la centrale de Tchernobyl. Ces Ukrainiens pour la plupart ont tous été gravement irradié et ont vu leur qualité de vie amoindrit ainsi que leur celle de leur progéniture qui connurent de nombreuses pathologies thyroidales, handicaps intellectuels, baisses de la croissance et de la reproductibilité génétique et des nombreuses tumeurs cancéreuses. Il faut faire attention de considérer l’irradiation interne de l’externe car trop souvent dans les graphiques nous voyons des bas taux de radioactivité comme à 0,5 microSievert/hr à Cluff Lake.
Tout près de Tchernobyl habite 8 millions de personnes et on y détecte des taux oscillants entre 0,55 et 1,13 microSievert/heure. Cependant le fait de vivre dans un tel environnement même avec un faible rayonnement constant va faire en sorte qu’un moment donné les gens finissent à la longue par ingérer de la nourriture ayant été contaminé au sol ainsi les radionucléides qui se concentreront dans les organes comme chez les 1 152 enfants se sont fait enlever la thyroïde en Ukraine de 1986 à 2002. Chez un Ukrainien de 16 ans, l’ont retrouve des taux de 137,47 Bq/kilogramme de radioactivité dans sa chair liée au Césium-137 (1 gramme de césium-137 = 3,204 TBq) en plus du Potassium-40 radioactif à 49,83 Bq/kilogramme (1 gramme de K-40 = 265,2 kBq d’irradiation). Et ce, tout simplement parce qu’il mange des produits du terroir dans les boisés, jardins et forêts, le corps confondant donc les bons minéraux comme le Potassium ordinaire pour le Potassium-40 et le Césium-137 radiotoxique par son accumulation dans les os et les muscles. C’est la même situation de toxicité à moyen et long terme qui se produit lors de l’accumulation et la consommation des radioéléments des sources émanant des mines d’uranium, ce que nous étudierons au cour de cette recherche socioécologique sur les impacts populationelle. En plus de jeter un regard critique sur ce que sur la filière uranifère et les sévères négligences et manquements criminels que l’industrie du nucléaire tente et tentera en général de cacher à présent et à l’avenir à l'échelle de la planète. Et ce, par toutes sortes de subterfuges et de propositions mensongères aux gouvernements civilisés. De la succession de la création de réacteurs du futur risquant malheureusement de faire sombrer encore une fois non seulement le Québec mais l’humanité entière dans une ère nucléaire de contamination irrémédiable pour la planète Terre et ses rarissimes écosystèmes galactiques.
Historique & Découverte de l’Uranium
Le monde de l’industrie nucléaire est fondamentalement divisé en fonction des grands principes, procédés physiques et technologiques qui sont en jeu comme la fission, la fusion chaude et froide. Jusqu’à présent la filière de l’uranium a été pour ainsi dire la plus polluante des méthodes de production énergétique d'entre-elles, parce qu'elle nécessite l’extraction du minerai à partir de millions et de milliards de tonnes de roches qui contiennent très peu de pourcentage d’uranium à proprement parler. Les centrales nucléaires et les déchets extrêmement radioactifs qu’elles produisent seront gravement polluant et toxique pour la nature dans son ensemble et au bout de la chaine de l’espèce humaine.
Fission
1-Fission : Combustible provenant des mines d’uranium et ou de Thorium grâce à la poudre de gâteau jaune (centrale nucléaire de Génération I à IV => EPR au Nord de la France).
Production d’électricité civile : grâce à la fission des noyaux d’atomes, il est possible de faire chauffer de l’eau, créer de la vapeur et faire tourner les turbines afin de générer de l’électricité thermonucléaire.
Enrichissement & fabrication de bombes nucléaires : avec des isotopes fissiles comme l’uranium et le thorium utilisé provenant des centrales nucléaires, ainsi il devient envisageable de fabriquer des bombes A, bombes H, bombes à Neutrons, ogives s à l'uranium appauvri pour les chars d’assaut, etc.
Fusion
2-Fusion chaude : réacteur aux 256 lasers (MegaJoule), au deutérium et lithium (Tokamak), aux décharges électriques (Z-Machine) ou à la compression hydraulique extrême (Generals Motors). Par exemple, le réacteur à fusion chaude ITER à Cadarache en France est une expérience de 15 milliards. L’industrie prévoit avoir un réacteur fonctionnel de type Tokamak en 2080, du nom de DEMO qui chauffe à 150 millions de degrés Celsius.
Production d’électricité civile : la fusion d’atomes entre eux et la compression rapide de l’espace-temps par un surplus de pression (fusion inertielle), par la foudre ou la puissance concentrée de rayons laser va produire une énergie de fusion capable d’être accumulée et convertie dans l'objectif de créer de l’électricité civile.
Enrichissement & fabrication de bombes nucléaires : les isotopes tels que l’Uranium et le Plutonium peuvent servir à entraîner la réaction de fission mettant en jeu la chaleur nécessaire à enclencher la fusion nucléaire.
3-Fusion
froide : les expériences en mars 1989 de Stanley Pons et Martin
Fleischmann ont amené un nouveau type de fusion aujourd’hui développé
dans différentes équipes de recherche (E-Cat d’Andrea Rossi) et les
réacteurs prototypes de Paul Biberian en France.
Production d’électricité civile : dans une solution électrolytique de Deutérium et de Lithium sont plongés des électrodes anodes de Platinium (+) et une cathode de Paladium (-) soumise à un courant électrique à une température comprise entre 150 degrés Celsius et 300 degrés Celsius va faire finir par faire entrer les atomes de Deutérium par groupes dans les électrodes Paladium et produire un surplus d’énergie par friction atomique pouvant être récupéré en électricité.
Enrichissement & fabrication de bombes nucléaires : l’énergie par fusion froide va produire de grandes quantités de Tritium (rayons alpha) qui peut être amassé pour fabriquer des bombes H à fusion thermonucléaire.
Production d’électricité civile : dans une solution électrolytique de Deutérium et de Lithium sont plongés des électrodes anodes de Platinium (+) et une cathode de Paladium (-) soumise à un courant électrique à une température comprise entre 150 degrés Celsius et 300 degrés Celsius va faire finir par faire entrer les atomes de Deutérium par groupes dans les électrodes Paladium et produire un surplus d’énergie par friction atomique pouvant être récupéré en électricité.
Enrichissement & fabrication de bombes nucléaires : l’énergie par fusion froide va produire de grandes quantités de Tritium (rayons alpha) qui peut être amassé pour fabriquer des bombes H à fusion thermonucléaire.
Grandes Étapes de l’Extraction Minière Uranifère
1-Recherche de minerais dans le sous-sol par détection de roche radioactive au sol À l’aide de compteur de radioactivité Geiger-Muller, les ingénieurs et explorateurs sont en mesure de détecter des rayonnements ; alpha, bêta, gamma, rayons X et neutrons tout près au ras du sol. Les compagnies minières cherchent les endroits où la concentration en radioéléments est le plus riche, à des taux supérieurs à 3%. Ainsi, leur coût de revient est inférieur à l'investissement initial et ils peuvent profiter de meilleurs bénéfices financiers. Pourtant, moins les gisements seront riches et plus la pollution environnement sera étendue sur des centaines voire de milliers de kilomètres a la ronde. Il est à noter que souvent les travailleurs qui amassent la terre dans les forêts et montagnes ne prennent pas les contraintes sécuritaires en considération et souffre de contamination par rayonnement ionisant interne et ou externe.
2-Extraction de carottes et d’extrait de sédiments uranifère
Les tests et échantillons seront envoyés en laboratoire en vue de les analyser et vérifier hors de tout doute s’il serait rentable pour la compagnie minière privée de mettre en branle un projet minier lui coûtant de nombreux investissements d’explorations. La rentabilité de la mine sera fixée en fonction du prix de la matière à la bourse, du court de l’uranium sur les marchés et ou bientôt du Thorium et autres métaux par exemple.
3-Planification du creusage des mines et de l’alignement des galeries souterraines
Le résultat des échantillons déterminera où devront se positionner les plus grands forages et les lignes de filon à suivre. La mine peut être seulement souterraine ou être un immense canyon radioactif à ciel ouvert. Il faut savoir faire le rapprochement et la pathétique similitude entre la planification de l’industrie nucléaire à propos des déchets de retraitements des boues radioactives des lacs artificiels à comparer celle de la gestion des sites de stockage réel des déchets nucléaires (WIPP, CIGEO, etc) .
4-Creusage graduel de la mine à l’aide d’explosif et de dynamitage
Dans l’objectif de rendre le sol plus meuble, les minières vont installer des câbles et des manettes de dynamitage dans le but de creuser la mine par explosion successive contrôlée. Sur le terrain, les problèmes rencontrés tout autour du monde comme en Afrique sont que parfois les employés sont blessés parce que les charges de dynamites explosent sans avoir qu’il a eu une impulsion d’activation du détonateur.
Ou sinon la pollution nucléaire essentielle du dynamitage est que les nuages de poussières de roche radioactives vont se disperser sur des kilomètres et contaminer les villages et régions avoisinantes. Les lacs et cours d’eau naturels ne sont pas épargnés par les nuages de poussières et apporteront beaucoup plus loin les radio-isotopes dangereux au gré de la vitesse des vents, des pluies et des nuages.
5-Ramassage de la roche et gravier uranifère à l’aide de camions géants
Comme a l’habitude lorsqu’il s’agit d’extraire et de transporter le plus rapidement et a moindre coût le gravier brut des mines, l’on optera pour des camions géants capables de supporter la cargaison de centaines de tonnes. Encore une fois, l’on a observé dans plusieurs mines du monde que les travailleurs ne portaient pas de masque lorsqu’ils sont dans leur camion et cela entraîne de nombreux symptômes et maladies professionnelles comme l’asthme, les fibromes pulmonaires et même le cancer du poumon. La plupart du temps les employés ne sont pas au courant des principaux risques associés à leur métier et donc très peu informés par leurs employeurs. Pourtant, les minières sont bien au courant des dernières recherches mondiales de santé débattues sur la question du suivi pendant le travail et après pour la période de mise en quarantaine de la sécurité sanitaire (développement de cancer ultérieur aux années de travail) lors du régime de la pension.
6-Passage sous un cadre rectangulaire doté d’un détecteur de radioactivité
Un détecteur de radioactivité de grande échelle est utilisé pour mesurer le taux de radioactivité proportionnelle à la richesse du minerai et s’il n’est pas rentable, il sera renvoyé et abandonné sur le site dans les concassas inutiles (stériles miniers). Vu que les cartes des gisements ne sont habituellement pas tout à fait assez précises ainsi une fois rendu dans le gisement les camions extracteur ne savent pas si leurs cargaisons contiennent suffisamment d’uranium et doivent les valider pour la continuation du processus de raffinement.
7-Déversement de la roche à partir des camions vers les concasseurs
Lorsque les camions-bennes sont arrivés à l’usine de traitement, ils déversent le minerai uranifère dans le concasseur et durant ce temps des jets d’eau sont envoyés au-dessus pour éviter que de la poussière radioactive ne contamine à outrance le personnel et les installations. Le principe est simple, à partir de 1 tonne de roche, l’on va extraire habituellement 285 grammes d’uranium en poudre sous forme d’oxyde ou plus communément appelé ‘’gâteau jaune’’. Cette poudre servira à alimenter par la suite les réacteurs dans leur réaction de fission nucléaire.
8-Concassage de la roche en morceaux plus petits
Quand la dynamite a fracassé en milliers de morceaux les roches avec de l’uranium à l'intérieur, après coup ils doivent quand même la broyer en fragments plus petits d’où le ‘’yellow cake’’ pourra être plus facilement extrait. De gigantesques concasseurs vont donc rapetisser la pierre en fragments grossiers et ensuite les faire passer dans une série de tamis avec des pores se raffinant davantage à chaque niveau.
9-Lavage de la roche radioactive
Il nécessite d’impressionnantes quantités d’eau pompée a même un lac, un fleuve, une rivière ou des nappes phréatiques pour laver la roche fractionnée contenant le minerai d’uranium. En envoyant de l’eau sous pression sur la roche ainsi un plus grand nombre de minuscules éclats de pierre vont se désagréger et laisser les atomes d’uranium se décoller des autres particules et agrégats en suspension du mélange.
10-Traitement des graviers uranifères avec de l’acide sulfurique et ou peroxyde
Un mélange liquide d’acide sulfurique sera ajouté à l’uranium qui va réagir chimiquement et la dissoudre des autres éléments de la pierre et transformera le tout en solution de nitrate d'uranyle UO2(NO3)2. Grâce à une solution de TBP (solvant), le nitrate d'uranyle pur peut être obtenu par extraction chimique. Cependant, cet acide restera par la suite en grande quantité dans les eaux et boues de retraitement minier éjecté par les usines et polluera aux métaux lourds et produits chimiques les sites de stockage.
11-Précipitation dans des bains de soudes
Le mélange d’uranium est envoyé dans des bains de soudes de pH basique afin de précipiter les atomes d’U dans une forme de métal solide qui sera plus malléable pour les prochaines étapes de purification et de manipulation du matériel radioactif.
12-Concentration par gravité dans les cuves et piscines d’eau de retraitement
La poudre une fois séparée des autres éléments va être concentrée par gravité dans un appareil tournant capable de la faire descendre vers le bas. Cet entonnoir géant va compacter la poudre de sorte qu’il sera possible d’enlever la couche supérieure de sédiments au-dessus et garder les éléments radioactifs dans le fond du contenant réservoir (centrifugeuse gravitationnelle).
13- Filtration de finition
Le traitement de filtration consiste à passer la poussière de roche dans un tamis et de récolter la poudre jaune que l’on veut obtenir à la fin. Cette étape permet d’obtenir la meilleure qualité de ‘’yellow cake’’ a comparé la poudre de roche d’uranium radioactif brute (concentré a moins de 30% au lieu du 85% habituel) utilisée dans les réacteurs canadiens de type CANDU.
Il est également possible de créer un nitrate d'uranyle UO2(NO3)2.
Précipiter du nitrate d'uranyle avec de l'ammoniac gazeux = diuranate d'ammonium (NH4)2U2O7 (DUA).
Calciner du diuranate d'ammonium, jusqu’à une température 400 °C afin de créer du trioxyde d’uranium (UO3).
Réduire du trioxyde d’uranium avec de l'hydrogène afin d’engendrer du dioxyde d’uranium.
Hydrofluorer du dioxyde d’uranium (UO2) avec de l'acide fluorhydrique HF à l’intérieur d’un four très chaud afin de créer du UF4.
Réduire du tétrafluorure d'uranium par du calcium afin de créer un métal presque pur à 99,95% de qualité.
14- Aménagement des lacs artificiels radioactifs avec les eaux et boues de retraitement
Une fois utilisée l’eau ayant servi à laver les roches aura besoin d’être rejetée à l’extérieur de l’usine puisqu’elle est devenue ni plus ni moins qu’un déchet liquide toxique radioactif. Ainsi, les compagnies minières aménageront d’immenses lacs ou réservoirs artificiels creusés à même le sol sans protection par en dessous et qu’ils rempliront lentement au fur et à mesure par l’arrivée de l’eau de retraitement. Pas moins de 85% des déchets des radio-isotopes restent dans les lacs radioactifs de produits de traitement des roches (Radon, Radium, Protactinium, Polonium, Thorium, Uranium, etc).
15-Séchage de la poudre
Une fois que la poudre jaune a été filtrée, elle va se diriger vers un tapis roulant agissant comme un séchoir transporteur et qui tamisera l’uranium jusqu’à un récipient collecteur. Les employés qui se tiennent à proximité de cette source de radioactivité peuvent facilement connaître des effets néfastes sur leur santé, car la poudre est volatile et se tient en suspension dans l’air. Maintes fois dans l’histoire des usines de raffinement de l’uranium nous avons assisté à des défaillances dans la sécurité et à des contaminations pulmonaires et cutanées sévères. Même si dans le milieu du nucléaire les patrons semblent aimer faire une visite des fabriques de ‘’gâteau jaune’’ ou ‘’yellow cake’’, ces endroits comportent des risques élevés pendant et après la production d'oxyde d'uranium, et ce, pour les années à venir parce que l’ionisation touche autant le personnel, les ingénieurs visiteurs et les populations avoisinantes. Il n’y a pas de moyen à 100% sûr pour être certain que la vapeur de la poudre ne sorte pas de l’usine et aille s’épandre autour du site de fabrication.
16-Stockage et scellage dans des barils
Une fois tombée dans le contenant récupérateur, du coup la poudre jaune va être déversée dans un récipient de plastique ou de métal avec un sac de plastique dans le fond. Ce sac d’oxyde d’uranium radioactif va être fermé, scellé et déposé dans un baril prêt pour le transport. Les barils neufs de combustibles n’ont pas été encore utilisés à l’opposé des barils toxiques de retraitements, puisqu’il s’agit du combustible pur de commencement du processus de la filière de l’uranium.
17-Exportation et transport vers les centrales nucléaires internationales
Les barils sont stockés en attendant d’être envoyés dans les différentes centrales nucléaires de la planète. Évidemment, les barils sont assez dangereux parce qu’ils comportent des possibilités d’incendies, ils représentent des produits hautement inflammables. De ce fait, les bâtiments et le terrain des centrales oũ des mines restent exposés aux incendies de forêt pour des millions d’années suite à l’exploitation. Et ce, à cause de la haute radioactivité qui limitera la croissance des microorganismes, de la diminution de la décomposition et ensuite du séchage des bois sur place ce qui les rendra vulnérables à la moindre étincelle. Le ‘’yellow cake’’ ou ‘’gâteau jaune’’, contient pas moins de 750 kilogrammes par tonne du véritable élément pur d’Uranium.
U3O3 (oxyde d’uranium) => UF6 (gaz) => U(métal) => Pastilles => Combustibles usagés
18-Démantèlement des sites miniers
À la fin de la production uranifère, les minières vont souvent démanteler et tenter de camoufler les installations ayant servi à raffiner l’uranium en faisant semblant de laisser le terrain libre et propre. Toutefois, la plupart du temps la contamination en radioéléments invisibles est tellement concentrée et rependue au sol, dans l'eau et la végétation qu’il sera pratiquement impossible de laisser à nouveau les lieux totalement dépollués et intacts de toutes activités humaines. Même si les bâtiments sont démolis et apportés ailleurs dans un dépotoir après la production de minerais ils pollueront sur le site ou ils seront envoyés par la suite ou si on ne fait que les réensevelir avec de la terre et de la roche dans la mine désaffectée. Il y a également le problème du nettoyage des montagnes de stériles miniers, des résidus des boues de raffinage, du matériel et métaux recyclables des machineries à démonter ainsi que l’assainissement des lacs artificiels irradiants à éponger sur les berges et les terres pour qu’elles soient le moins radioactif possibles.
Centrale nucléaire et production d’électricité
Les centrales nucléaires sont les endroits où seront normalement consommés les produits de la filière minière excepté les milliers de tonnes d’isotopes fissiles qui seront détournés pour les militaires et leurs projets de bombes et armements modernes. Une centrale nucléaire consomme environ 157 tonnes d’uranium par année, ce qui va générer pas moins de 155 000 tonnes de produits résiduels radioactifs (tailings). Pour l’instant, il y a approximativement 440 centrales nucléaires sur Terre et la grande majorité d’entre-elles fonctionnent avec de l’uranium à haute teneur ou du combustible MOX. Elles utiliseront les pastilles compressées d’uranium et les déposent à l’intérieur de rouleaux cylindriques directement dans le cœur du réacteur nucléaire. La réaction de fission de l’uranium-235 permettra ainsi la production d’électricité pour usage civil ou militaire. Après une période allant de 6 mois pour le Candu et de 3 à 5 ans pour les combustibles standards et MOX, les pastilles auront libéré suffisamment d’énergie et devront être enlevé du réacteur en plus des produits isotopes résiduels de la réaction qui créeront des impuretés dans les barres de combustibles. Ces impuretés pouvant être la cause de réactions physico-chimiques et thermiques non désirées. Les barres de pastilles seront donc retirées par des bras robotisés pour être envoyés dans des piscines remplies d’eau ralentissant l’émission et la réactivité des produits nucléaires (eau lourde au Deutérium bloqueuse de neutron). Comme les barres ayant fissionné dans le réacteur sont encore très chaudes ; elles doivent rester pour une période de 5 ans dans les piscines avant de pouvoir être sorties et entreposées dans des dépôts secs à l’extérieur de la centrale nucléaire. À cette étape finale, les combustibles résiduels des réacteurs vont prendre la route des dépotoirs nucléaires qui se profile pour être les plus grandes sources de pollution radiotoxique et de tracas contemporains pour les populations qui doivent payer et essayer de limiter leur impact économique et environnemental. L’industrie militaire et autre organisation terroriste comme Al-Qaïda peut ensuite immoralement mettre la main sur des isotopes en s'approvisionnant de la source des centrales nucléaires et tenter de fabriquer des armes de destruction massive et ou bombes sales enrichies à l’uranium.
Production de Plutonium
Lors de la réaction de l’uranium des réacteurs nucléaires il y aura nécessairement une production de Plutonium-239 fissile. Les États-Unis ont été les premiers grands producteurs de Plutonium avec leurs 5 réacteurs nucléaires et usine à centrifugation à à Los Alamos et Handford. Ensuite, l’ex-U.R.S.S., l’Angleterre, la France et Israël réussirent à enrichir de l’uranium, la faire fissionner dans les réacteurs et ensuite à récolter le Plutonium comme produit résiduel. Aujourd’hui, aux yeux de la loi internationale même s’il est interdit de mener des projets d’enrichissement toutefois certains pays essaient d’obtenir non légalement des matières fissiles comme la Corée du Nord (Kim Jong-il), le Pakistan (Abdul Qadeer Khan) et en Iran (Mahmoud Ahmadinejad). Le point de fusion du Plutonium est très bas à 640 degrés Celsius et son énergie d’ionisation de 1re : 6,0260 eV et de 2e : 11,2 eV. L’activité spécifique du Plutonium-238 est de 640 x 109 Bq/g et pour le Plutonium-241 avec un taux ionisant spectaculaire de 3 848 x 109 Bq/g. Dans une vue d’ensemble, malheureusement il semble que la quasi-totalité des gouvernements des pays du monde désirerait posséder ce métal d’une grande puissance énergétique et très instable atomiquement, car il peut rapidement leur fournir la possibilité de créer une bombe atomique, d’affirmer leur hégémonie et faire régner l'indésirable terreur des représailles nucléaires. Le ¼ de l’uranium utilisé de nos jours provient des stocks d’U appauvri. Actuellement, les Américains et les Russes possèdent respectivement environ 200 tonnes de Plutonium chacun. Les États-Unis disposent de leurs stocks sous forme de boules de Plutonium déjà prête à disposer comme charge dans une bombe atomique et placées par la suite en rangée dans des barils s’enlignant par centaines à l'intérieur d'entrepôts de déchets nucléaires militaires sous haute surveillance (PANTEX, Amarillo Texas aux U.S.A.).
Histoire et découverte
En 1789, un morceau de roche pechblende fut apporté de Saint Joachimsthal au chimiste Martin Heinrich Klaproth, originaire de l’ancienne Prusse qui dénomma le minéral du même nom que la planète Uranus, soit ‘’uranite’’ ou ‘’urane’’. Par la suite en France, lors de l’année 1841 Eugène-Melchio Péligot s’aperçut qu’il s’agissait en fait d’oxyde d’uranium (UO2).
Les centrales nucléaires sont les endroits où seront normalement consommés les produits de la filière minière excepté les milliers de tonnes d’isotopes fissiles qui seront détournés pour les militaires et leurs projets de bombes et armements modernes. Une centrale nucléaire consomme environ 157 tonnes d’uranium par année, ce qui va générer pas moins de 155 000 tonnes de produits résiduels radioactifs (tailings). Pour l’instant, il y a approximativement 440 centrales nucléaires sur Terre et la grande majorité d’entre-elles fonctionnent avec de l’uranium à haute teneur ou du combustible MOX. Elles utiliseront les pastilles compressées d’uranium et les déposent à l’intérieur de rouleaux cylindriques directement dans le cœur du réacteur nucléaire. La réaction de fission de l’uranium-235 permettra ainsi la production d’électricité pour usage civil ou militaire. Après une période allant de 6 mois pour le Candu et de 3 à 5 ans pour les combustibles standards et MOX, les pastilles auront libéré suffisamment d’énergie et devront être enlevé du réacteur en plus des produits isotopes résiduels de la réaction qui créeront des impuretés dans les barres de combustibles. Ces impuretés pouvant être la cause de réactions physico-chimiques et thermiques non désirées. Les barres de pastilles seront donc retirées par des bras robotisés pour être envoyés dans des piscines remplies d’eau ralentissant l’émission et la réactivité des produits nucléaires (eau lourde au Deutérium bloqueuse de neutron). Comme les barres ayant fissionné dans le réacteur sont encore très chaudes ; elles doivent rester pour une période de 5 ans dans les piscines avant de pouvoir être sorties et entreposées dans des dépôts secs à l’extérieur de la centrale nucléaire. À cette étape finale, les combustibles résiduels des réacteurs vont prendre la route des dépotoirs nucléaires qui se profile pour être les plus grandes sources de pollution radiotoxique et de tracas contemporains pour les populations qui doivent payer et essayer de limiter leur impact économique et environnemental. L’industrie militaire et autre organisation terroriste comme Al-Qaïda peut ensuite immoralement mettre la main sur des isotopes en s'approvisionnant de la source des centrales nucléaires et tenter de fabriquer des armes de destruction massive et ou bombes sales enrichies à l’uranium.
Production de Plutonium
Lors de la réaction de l’uranium des réacteurs nucléaires il y aura nécessairement une production de Plutonium-239 fissile. Les États-Unis ont été les premiers grands producteurs de Plutonium avec leurs 5 réacteurs nucléaires et usine à centrifugation à à Los Alamos et Handford. Ensuite, l’ex-U.R.S.S., l’Angleterre, la France et Israël réussirent à enrichir de l’uranium, la faire fissionner dans les réacteurs et ensuite à récolter le Plutonium comme produit résiduel. Aujourd’hui, aux yeux de la loi internationale même s’il est interdit de mener des projets d’enrichissement toutefois certains pays essaient d’obtenir non légalement des matières fissiles comme la Corée du Nord (Kim Jong-il), le Pakistan (Abdul Qadeer Khan) et en Iran (Mahmoud Ahmadinejad). Le point de fusion du Plutonium est très bas à 640 degrés Celsius et son énergie d’ionisation de 1re : 6,0260 eV et de 2e : 11,2 eV. L’activité spécifique du Plutonium-238 est de 640 x 109 Bq/g et pour le Plutonium-241 avec un taux ionisant spectaculaire de 3 848 x 109 Bq/g. Dans une vue d’ensemble, malheureusement il semble que la quasi-totalité des gouvernements des pays du monde désirerait posséder ce métal d’une grande puissance énergétique et très instable atomiquement, car il peut rapidement leur fournir la possibilité de créer une bombe atomique, d’affirmer leur hégémonie et faire régner l'indésirable terreur des représailles nucléaires. Le ¼ de l’uranium utilisé de nos jours provient des stocks d’U appauvri. Actuellement, les Américains et les Russes possèdent respectivement environ 200 tonnes de Plutonium chacun. Les États-Unis disposent de leurs stocks sous forme de boules de Plutonium déjà prête à disposer comme charge dans une bombe atomique et placées par la suite en rangée dans des barils s’enlignant par centaines à l'intérieur d'entrepôts de déchets nucléaires militaires sous haute surveillance (PANTEX, Amarillo Texas aux U.S.A.).
Composition et constituants des sols uranifères
Produits de désintégration de l’Uranium-238
Uranium
Histoire et découverte
En 1789, un morceau de roche pechblende fut apporté de Saint Joachimsthal au chimiste Martin Heinrich Klaproth, originaire de l’ancienne Prusse qui dénomma le minéral du même nom que la planète Uranus, soit ‘’uranite’’ ou ‘’urane’’. Par la suite en France, lors de l’année 1841 Eugène-Melchio Péligot s’aperçut qu’il s’agissait en fait d’oxyde d’uranium (UO2).
Propriétés physiques
L’Uranium a le numéro atomique 92, détient le symbole U et fait partie de la famille des actinides. Il a une structure cristalline orthorhombique, un rayon atomique de 175 pm, un point d’ébullition de 4 131 degrés Celsius et un point de fusion de 1 135 degrés Celsius. Son électronégativité est de 1,38, une masse volumique de 19 g/cm3, chaleur massique de 120 J•kg-1•K-1 son énergie de fusion 15,48 kJ•mol-1. Son énergie d’ionisation radiante première est de 6,1941 eV et la seconde de 10,6 eV. Le rayonnement solaire de la lumière visible est de 1 à 3 électronvolts d’énergie. Le rayonnement gamma quant à lui émet 1 million d’électronvolts.
L’Uranium a le numéro atomique 92, détient le symbole U et fait partie de la famille des actinides. Il a une structure cristalline orthorhombique, un rayon atomique de 175 pm, un point d’ébullition de 4 131 degrés Celsius et un point de fusion de 1 135 degrés Celsius. Son électronégativité est de 1,38, une masse volumique de 19 g/cm3, chaleur massique de 120 J•kg-1•K-1 son énergie de fusion 15,48 kJ•mol-1. Son énergie d’ionisation radiante première est de 6,1941 eV et la seconde de 10,6 eV. Le rayonnement solaire de la lumière visible est de 1 à 3 électronvolts d’énergie. Le rayonnement gamma quant à lui émet 1 million d’électronvolts.
Demi-vie et désintégration
L’uranium-238 prend la période de 4,5 milliards d’années afin de perdre la moitié de son énergie radioactive en émettant des rayons alpha. Son petit frère l’uranium-235 a quant à lui une demi-vie de 703,8 millions d’années. Ce dernier est le seul à pouvoir être fissile à l’état naturel libérant par atome une énergie de 202,8 MeV. En bombardant du Thorium alors il est possible de produire de l’uranium-233, qui au dire des développeurs serait en mesure de fournir les réacteurs au Thorium surgénérateurs. À l’intérieur du centre de la Terre et du manteau terrestre subsisteraient des couches d’uranium et de produits de désintégration contribuant à activer la chaleur sous la surface continentale et celle des réactions géothermiques intenses du noyau. Lors de sa désintégration, l’Uranium va donc produire une puissance de 0,082 watt par tonne.
Lorsque l’Uranium-238 se désintègre, il finira par former de l’Uranium-234, qui lui à son tour va émettre du rayonnement bêta. Voici les équivalences de quantité versus production énergétique avec le 1 kg charbon (20 à 30 MJ), 1 kilogramme de gaz naturel (49 MJ), 1 kilogramme de pétrole (45 MJ) et avec un poids de 1 kilogramme d’uranium l’ont produit 500 000 MJ.
L’uranium-238 prend la période de 4,5 milliards d’années afin de perdre la moitié de son énergie radioactive en émettant des rayons alpha. Son petit frère l’uranium-235 a quant à lui une demi-vie de 703,8 millions d’années. Ce dernier est le seul à pouvoir être fissile à l’état naturel libérant par atome une énergie de 202,8 MeV. En bombardant du Thorium alors il est possible de produire de l’uranium-233, qui au dire des développeurs serait en mesure de fournir les réacteurs au Thorium surgénérateurs. À l’intérieur du centre de la Terre et du manteau terrestre subsisteraient des couches d’uranium et de produits de désintégration contribuant à activer la chaleur sous la surface continentale et celle des réactions géothermiques intenses du noyau. Lors de sa désintégration, l’Uranium va donc produire une puissance de 0,082 watt par tonne.
Lorsque l’Uranium-238 se désintègre, il finira par former de l’Uranium-234, qui lui à son tour va émettre du rayonnement bêta. Voici les équivalences de quantité versus production énergétique avec le 1 kg charbon (20 à 30 MJ), 1 kilogramme de gaz naturel (49 MJ), 1 kilogramme de pétrole (45 MJ) et avec un poids de 1 kilogramme d’uranium l’ont produit 500 000 MJ.
Minerais et industrie minière
Dans les terrains uranifères, il subsiste principalement de l’Uranium-238 (99,27 %), mais il y a également en plus faible quantité de l’Uranium-235 (0,72 %) et en infime quantité de l’Uranium-234 (0,0055 %). La concentration dans les minerais uranifères recherchés va varier d’une concentration approximative de 0,1 à 20 % maximum. Dans les phosphates la concentration peut grimper à 350 ppm ou bien dans les carbonates à 0,1 ppm. Lorsque l’uranium est dans un milieu pauvre en oxygène elle se transformera en UO2 car elle a beaucoup d’affinité pour les oxyhydroxydes de fer.
Malgré cela, lors du revirement et du traitement de la roche uranifère les isotopes U-234 et U-235 vont se mélanger et se concentrer dans l’environnement avec les autres familles de radionucléides et former des cocktails très écotoxiques à moyen et long terme (famille du Radium, Thorium, Polonium, Radon, etc).
Les sols sédimentaires ou granitiques contiendraient en moyenne 2,7 grammes pour 1 tonne de roche et l’eau de mer détient des valeurs 3,3 mg d’uranium par m3. Même si l’uranium ayant servi à la réaction de fission dans les réacteurs pourrait être ‘’recyclé’’ dans des réacteurs dits ‘’surgénérateurs’’, l’opération reste très risquée pour les employés, les installations et l’environnement ou peuvent survenir à tout moment de graves accidents nucléaires.
Dans les terrains uranifères, il subsiste principalement de l’Uranium-238 (99,27 %), mais il y a également en plus faible quantité de l’Uranium-235 (0,72 %) et en infime quantité de l’Uranium-234 (0,0055 %). La concentration dans les minerais uranifères recherchés va varier d’une concentration approximative de 0,1 à 20 % maximum. Dans les phosphates la concentration peut grimper à 350 ppm ou bien dans les carbonates à 0,1 ppm. Lorsque l’uranium est dans un milieu pauvre en oxygène elle se transformera en UO2 car elle a beaucoup d’affinité pour les oxyhydroxydes de fer.
Malgré cela, lors du revirement et du traitement de la roche uranifère les isotopes U-234 et U-235 vont se mélanger et se concentrer dans l’environnement avec les autres familles de radionucléides et former des cocktails très écotoxiques à moyen et long terme (famille du Radium, Thorium, Polonium, Radon, etc).
Les sols sédimentaires ou granitiques contiendraient en moyenne 2,7 grammes pour 1 tonne de roche et l’eau de mer détient des valeurs 3,3 mg d’uranium par m3. Même si l’uranium ayant servi à la réaction de fission dans les réacteurs pourrait être ‘’recyclé’’ dans des réacteurs dits ‘’surgénérateurs’’, l’opération reste très risquée pour les employés, les installations et l’environnement ou peuvent survenir à tout moment de graves accidents nucléaires.
Radiotoxicité
La dose létale pour un humain n’est que de quelques grammes d’uranium. Au moment où il est absorbé, presque l’entièreté soit 95% serait évacuée par les déchets métaboliques et excrétions et 67% de la quantité passera en moins de 24 heures par les systèmes de filtration comme les reins afin de ressortir dans l’urine.
Les eaux de la planète contiennent habituellement quelques atomes d’uranium, par exemple dans le Gange en Inde avec 7 microgrammes/litre d’eau, le Huang He en Chine avec 7,5 microgrammes/litre, le Rhône en France avec 0,56 microgramme/litre et l’eau de l’océan avec 3,3 microgrammes/litre. En 2011, l’Organisation Mondiale de la Santé préconisa un maximum de 15 microgrammes/litre d’uranium pour les boissons à usage des consommateurs du grand public puis finalement la norme fut haussée à 30 microgrammes/litre.
La dose létale pour un humain n’est que de quelques grammes d’uranium. Au moment où il est absorbé, presque l’entièreté soit 95% serait évacuée par les déchets métaboliques et excrétions et 67% de la quantité passera en moins de 24 heures par les systèmes de filtration comme les reins afin de ressortir dans l’urine.
Les eaux de la planète contiennent habituellement quelques atomes d’uranium, par exemple dans le Gange en Inde avec 7 microgrammes/litre d’eau, le Huang He en Chine avec 7,5 microgrammes/litre, le Rhône en France avec 0,56 microgramme/litre et l’eau de l’océan avec 3,3 microgrammes/litre. En 2011, l’Organisation Mondiale de la Santé préconisa un maximum de 15 microgrammes/litre d’uranium pour les boissons à usage des consommateurs du grand public puis finalement la norme fut haussée à 30 microgrammes/litre.
Bioaccumulation
Dans les expériences in vitro et ex vivo, le passage et l’accumulation d’uranium dans les organes de filtration comme les reins ont montré une hausse de l’incidence des cancers des reins, des poumons et des os. Chez les rats, des implants musculaires aux pattes (site possible de contamination des animaux dans la nature) contenant des doses d’uranium ont causé les effets suivants ; l’épithélium séminifère du sperme contenait de l’uranium (même effet supposé sur les soldats affectés par les munitions à l’uranium appauvri), modification des cellules de Leydig contribuant à la testostérone et par la suite à la qualité et la santé des spermatozoïdes. Diminution des portées des rates femelles ayant été exposées à des produits dérivés de l’uranium (nitrate d’uranyle). Les études in vivo supposent que les gonades humaines des adultes et encore plus celles de fœtus seraient très vulnérables à l’action néfaste nucléaire et chimique de l’uranium.
Cependant, même si la majorité de l’uranium va être excrété par les animaux, une certaine portion va quand même se stocker dans les muscles et organes de l’entité biologique. Avec les mois et les années, cette concentration va augmenter en microgrammes et former des cristaux d’uranium comme les pierres aux reins et devenir gravement dérangeante pour l’organisme en question qui verra son ADN subir d’importants dommages génétiques ultérieurs.
L’uranium possède une énergie radiante ou plutôt une activité spécifique de désintégration par rapport au poids/volume de 12,4 k•Bq-1. La radioactivité de fond dans la terre tourne habituellement autour de 1,0 à 5,5 mg U/kilogramme pour une moyenne approximative de 2,0 mg U/kilogramme. L’uranium-238 va engendre pas moins de 18 isotopes radioactifs différents en terminant sa désintégration avec le Plomb-206 qui est plus stable. Dans l’eau, les sols et les sédiments elle est présente majoritairement sous forme stable (U4+ et UO22+) ou sinon on retrouve des ions uranyles mobiles dans les liquides (U3+,UO2+). En 2003, les organismes gouvernementaux d’Environnement Canada et de Santé Canada ont reconnu les dangers chimiques et les dommages biologiques de l’ingestion de l’uranium par dose radiante interne. Même si l’uranium a tendance à être imbibé par les sols, plus la texture des particules de la terre sera fine, que la surface de réaction sera grande, que le ph montera au-dessus de 5,0 alors moins l’U collera aux ligands du sol et aura la chance de se disperser au loin dans l’environnement et contaminer les terres (sables, granules, graviers, argile, écorces, etc). L’uranium va se lier préférablement à des oxydes comme ceux contenus en abondance dans les matières organiques riches en oxygène (H2O). L’U va également converger vers les couches aquifères, les terres à l’air et les eaux souterraines (phase colloïdale).
Lorsque l’uranium est lié à d’autres atomes sous forme complexée elle est moins bien absorbable par la paroi des cellules des microorganismes vivants (plante et animaux) que du moment où l’uranium est sous forme d’ion à faible masse moléculaire. Conséquemment, quand les cellules se retrouvent dans un liquide contenant de l’U, elles captent 90% des atomes en suspension et agissent ainsi comme de véritables éponges minuscules et le stockeront fortement dans toutes les parois de leur membrane les intoxiquant graduellement les bacilles (Allemagne – mines Saxe). Les spores de bacilles absorberaient un peu moins d’uranium que les cellules ordinaires. Ce qui fait en sorte que les l’uranium s’accumulera plus à la surface des racines avant d’entrer en elle que de rester dans les feuilles. Les plantes de la famille monocotylédones (graminées => ivraie et blé) retiennent moins l’uranium que celles de la famille des dicotylédones (moutarde, tournesol). En fournissant 100 mg/kg de nitrate d’uranyle dans une terre calcaire conséquement des tournesols ont perdu une croissance de 37% en biomasse. Les plants de, mais quant à eux vont connaître des problèmes de survie à partir de taux de 250 mg/kg dans le sol.
Dans les sols avec des taux de sulfate, carbonate, et de phosphate élevés ceux-ci vont augmenter l’absorption de l’U, tandis que le magnésium et le calcium en diminuent la mobilité de translocation. Le système racinaire des oignons a arrêté de pousser à partir d’une concentration de nitrate d’uranyle de seulement 6 mg/litre. L’uranium agit comme un oxydant qui va engendrer des stress oxydatifs risquant de perturber le potentiel d’oxydoréduction, donc de l’équilibre des couches électroniques des molécules des organismes. La pigmentation de plusieurs espèces végétales va être moins prononcée lorsqu’elles pousseront dans des sols de régions uranifères.
À partir d’une aussi faible quantité que 500 mg/kg d’uranium dans la terre l’on observe une diminution de la respiration et la décomposition des matières organiques à la surface des sols (feuilles, branches, arbres, humus, plantes, animaux, etc). 84 % de la décomposition a cessé de produire à des taux élevés de l’ordre de 25 000 mg/kg. De ce fait, l’on a remarqué que dans les forêts entourant la centrale explosée de Tchernobyl, la décomposition s’est grandement ralentie, que les arbres au sol ne se décomposent plus ce qui fait en sorte que le bois rendu très sec 28 ans après risque de façon permanente de prendre en feu et causer des incendies de forêt radioactifs épandant tous les radioéléments dans l’atmosphère par la calcination de la fumée dans l’air.
Pour démontrer comment l’eau de pluie et l’eau d’irrigation ont la possibilité de contaminer les légumes au sol, on a cultivé des plantes dans des terreaux arrosés avec de l’eau prise dans un puits du Nouveau-Mexique contaminé a 20 à 5 000 mg/litre a donné des taux d’absorption de la courge => 13 à 285 mg/kg, la tomate => 8 à 67 mg/kg, la carotte => 13 à 285 mg/kg, le radis => 82 à 2 879 mg/kg et des concentrations très élevées dans les pliures des feuilles de laitues => 79 à 2 304 mg/kg. Le riz contaminé au nitrate d’uranyle survivra moins de 84% pour 1 000 mg/kg (hauteur du plant de 62 cm), de 48% à 500 mg/kg (hauteur de 71 cm) et de 18% à 100 mg/kg (hauteur de 85 cm). Dans des terres composées de résidus miniers uranifères l’inhibition de croissance sera de 86% dans un sol avec 75% de résidus et les graines de tournesol ne poussent pas dans 100% de concentration de terreau d’une mine d’uranium.
Les organismes décomposeurs comme les vers de terre ne survivront pas dans un sol plus de 75 jours si la concentration de nitrate d’uranyle excède 1 000 mg/kg et leur couleur brunâtre se foncera avec la même quantité après une période de seulement 14 jours. Avec des teneurs de 5 à 15 mg/kg dans le terreau alors la stabilité des membranes lysosomale et des dommages à l’ADN sont observés chez les vers.
Chez les amphibiens comme la grenouille, l’uranium dans la pluie, l’eau des lacs et rivières ou les particules de boues en suspension va être absorbé au niveau de la peau et par les branchies d’où les métaux entrerons dans la circulation sanguine, les tissus épithéliaux et la paroi intestinale. Les larves de grenouille (Raza perezi) connaissent des malformations des fœtus et des ralentissements de croissance avec des teneurs de l’ordre de 1,75 mg/litre. Ce qui est très peu donc les marécages ou étangs du Québec proche des mines uranifères risquerait d’empêcher les grenouilles de naître en plus de se voir dotées d’altérations génomiques.
Chez les oiseaux comme la caille du Japon, des doses de 160 mg/kg d’uranium occasionnent leur décès à cause de la néphrotoxicité à court terme qui fera des dommages et s’accumulera dans les tubules collecteurs des reins et distaux (dépôts protéiné, lésions des reins et du foie).
Les rats qui ont ingéré des composés d’uranium élimineraient dans leur urine en moyenne jusqu’à 85 %, cependant il resterait un 15 % de la quantité qui se stockera à 10 % dans les os, 20 % dans les reins de 2 à 7 jours, 0,5 % dans la rate, et à 2 % dans le foie. Des taux de 75 % de mortalité ont été constatés après 10 minutes chez les rats ayant été mis dans une boîte avec une concentration d’hexafluorure d’uranium dans l’air de 1 544 mg/m3 et 13 à 20 % avec une dose de 637 mg/m3. Les rats et les chiens seraient un peu plus résistants aux inhalations d’hexafluorure d’uranium que les lapins et les chats. Les lapins qui respirent du 11 mg/m3 de tétrachlorure d’uranium dans la poussière durant 35 à 40 jours vont connaître une réduction de 30 % de leur poids. 50 % des rats 204 mg/kg (Sprague-Dawley) et des souris à 242 mg/kg (Swiss) vont décéder après l’administration d’un bol alimentaire radioactif à l’uranium. Ils connaîtront de plus des effets physiologiques comme de l’hypothermie, de la chair de poule, de l’exophtalmie, des pupilles plus petites et des tremblements incontrôlables. Des souris des bois (Apodemus sylvaticus) placés à 3 km d’une mine aux boues polluées ont montré de la bioaccumulation à l’uranium et au cuivre dans leur os et leur foie en plus de signes distinctifs d’anomalies génétiques.
Dans les expériences in vitro et ex vivo, le passage et l’accumulation d’uranium dans les organes de filtration comme les reins ont montré une hausse de l’incidence des cancers des reins, des poumons et des os. Chez les rats, des implants musculaires aux pattes (site possible de contamination des animaux dans la nature) contenant des doses d’uranium ont causé les effets suivants ; l’épithélium séminifère du sperme contenait de l’uranium (même effet supposé sur les soldats affectés par les munitions à l’uranium appauvri), modification des cellules de Leydig contribuant à la testostérone et par la suite à la qualité et la santé des spermatozoïdes. Diminution des portées des rates femelles ayant été exposées à des produits dérivés de l’uranium (nitrate d’uranyle). Les études in vivo supposent que les gonades humaines des adultes et encore plus celles de fœtus seraient très vulnérables à l’action néfaste nucléaire et chimique de l’uranium.
Cependant, même si la majorité de l’uranium va être excrété par les animaux, une certaine portion va quand même se stocker dans les muscles et organes de l’entité biologique. Avec les mois et les années, cette concentration va augmenter en microgrammes et former des cristaux d’uranium comme les pierres aux reins et devenir gravement dérangeante pour l’organisme en question qui verra son ADN subir d’importants dommages génétiques ultérieurs.
L’uranium possède une énergie radiante ou plutôt une activité spécifique de désintégration par rapport au poids/volume de 12,4 k•Bq-1. La radioactivité de fond dans la terre tourne habituellement autour de 1,0 à 5,5 mg U/kilogramme pour une moyenne approximative de 2,0 mg U/kilogramme. L’uranium-238 va engendre pas moins de 18 isotopes radioactifs différents en terminant sa désintégration avec le Plomb-206 qui est plus stable. Dans l’eau, les sols et les sédiments elle est présente majoritairement sous forme stable (U4+ et UO22+) ou sinon on retrouve des ions uranyles mobiles dans les liquides (U3+,UO2+). En 2003, les organismes gouvernementaux d’Environnement Canada et de Santé Canada ont reconnu les dangers chimiques et les dommages biologiques de l’ingestion de l’uranium par dose radiante interne. Même si l’uranium a tendance à être imbibé par les sols, plus la texture des particules de la terre sera fine, que la surface de réaction sera grande, que le ph montera au-dessus de 5,0 alors moins l’U collera aux ligands du sol et aura la chance de se disperser au loin dans l’environnement et contaminer les terres (sables, granules, graviers, argile, écorces, etc). L’uranium va se lier préférablement à des oxydes comme ceux contenus en abondance dans les matières organiques riches en oxygène (H2O). L’U va également converger vers les couches aquifères, les terres à l’air et les eaux souterraines (phase colloïdale).
Lorsque l’uranium est lié à d’autres atomes sous forme complexée elle est moins bien absorbable par la paroi des cellules des microorganismes vivants (plante et animaux) que du moment où l’uranium est sous forme d’ion à faible masse moléculaire. Conséquemment, quand les cellules se retrouvent dans un liquide contenant de l’U, elles captent 90% des atomes en suspension et agissent ainsi comme de véritables éponges minuscules et le stockeront fortement dans toutes les parois de leur membrane les intoxiquant graduellement les bacilles (Allemagne – mines Saxe). Les spores de bacilles absorberaient un peu moins d’uranium que les cellules ordinaires. Ce qui fait en sorte que les l’uranium s’accumulera plus à la surface des racines avant d’entrer en elle que de rester dans les feuilles. Les plantes de la famille monocotylédones (graminées => ivraie et blé) retiennent moins l’uranium que celles de la famille des dicotylédones (moutarde, tournesol). En fournissant 100 mg/kg de nitrate d’uranyle dans une terre calcaire conséquement des tournesols ont perdu une croissance de 37% en biomasse. Les plants de, mais quant à eux vont connaître des problèmes de survie à partir de taux de 250 mg/kg dans le sol.
Dans les sols avec des taux de sulfate, carbonate, et de phosphate élevés ceux-ci vont augmenter l’absorption de l’U, tandis que le magnésium et le calcium en diminuent la mobilité de translocation. Le système racinaire des oignons a arrêté de pousser à partir d’une concentration de nitrate d’uranyle de seulement 6 mg/litre. L’uranium agit comme un oxydant qui va engendrer des stress oxydatifs risquant de perturber le potentiel d’oxydoréduction, donc de l’équilibre des couches électroniques des molécules des organismes. La pigmentation de plusieurs espèces végétales va être moins prononcée lorsqu’elles pousseront dans des sols de régions uranifères.
À partir d’une aussi faible quantité que 500 mg/kg d’uranium dans la terre l’on observe une diminution de la respiration et la décomposition des matières organiques à la surface des sols (feuilles, branches, arbres, humus, plantes, animaux, etc). 84 % de la décomposition a cessé de produire à des taux élevés de l’ordre de 25 000 mg/kg. De ce fait, l’on a remarqué que dans les forêts entourant la centrale explosée de Tchernobyl, la décomposition s’est grandement ralentie, que les arbres au sol ne se décomposent plus ce qui fait en sorte que le bois rendu très sec 28 ans après risque de façon permanente de prendre en feu et causer des incendies de forêt radioactifs épandant tous les radioéléments dans l’atmosphère par la calcination de la fumée dans l’air.
Pour démontrer comment l’eau de pluie et l’eau d’irrigation ont la possibilité de contaminer les légumes au sol, on a cultivé des plantes dans des terreaux arrosés avec de l’eau prise dans un puits du Nouveau-Mexique contaminé a 20 à 5 000 mg/litre a donné des taux d’absorption de la courge => 13 à 285 mg/kg, la tomate => 8 à 67 mg/kg, la carotte => 13 à 285 mg/kg, le radis => 82 à 2 879 mg/kg et des concentrations très élevées dans les pliures des feuilles de laitues => 79 à 2 304 mg/kg. Le riz contaminé au nitrate d’uranyle survivra moins de 84% pour 1 000 mg/kg (hauteur du plant de 62 cm), de 48% à 500 mg/kg (hauteur de 71 cm) et de 18% à 100 mg/kg (hauteur de 85 cm). Dans des terres composées de résidus miniers uranifères l’inhibition de croissance sera de 86% dans un sol avec 75% de résidus et les graines de tournesol ne poussent pas dans 100% de concentration de terreau d’une mine d’uranium.
Les organismes décomposeurs comme les vers de terre ne survivront pas dans un sol plus de 75 jours si la concentration de nitrate d’uranyle excède 1 000 mg/kg et leur couleur brunâtre se foncera avec la même quantité après une période de seulement 14 jours. Avec des teneurs de 5 à 15 mg/kg dans le terreau alors la stabilité des membranes lysosomale et des dommages à l’ADN sont observés chez les vers.
Chez les amphibiens comme la grenouille, l’uranium dans la pluie, l’eau des lacs et rivières ou les particules de boues en suspension va être absorbé au niveau de la peau et par les branchies d’où les métaux entrerons dans la circulation sanguine, les tissus épithéliaux et la paroi intestinale. Les larves de grenouille (Raza perezi) connaissent des malformations des fœtus et des ralentissements de croissance avec des teneurs de l’ordre de 1,75 mg/litre. Ce qui est très peu donc les marécages ou étangs du Québec proche des mines uranifères risquerait d’empêcher les grenouilles de naître en plus de se voir dotées d’altérations génomiques.
Chez les oiseaux comme la caille du Japon, des doses de 160 mg/kg d’uranium occasionnent leur décès à cause de la néphrotoxicité à court terme qui fera des dommages et s’accumulera dans les tubules collecteurs des reins et distaux (dépôts protéiné, lésions des reins et du foie).
Les rats qui ont ingéré des composés d’uranium élimineraient dans leur urine en moyenne jusqu’à 85 %, cependant il resterait un 15 % de la quantité qui se stockera à 10 % dans les os, 20 % dans les reins de 2 à 7 jours, 0,5 % dans la rate, et à 2 % dans le foie. Des taux de 75 % de mortalité ont été constatés après 10 minutes chez les rats ayant été mis dans une boîte avec une concentration d’hexafluorure d’uranium dans l’air de 1 544 mg/m3 et 13 à 20 % avec une dose de 637 mg/m3. Les rats et les chiens seraient un peu plus résistants aux inhalations d’hexafluorure d’uranium que les lapins et les chats. Les lapins qui respirent du 11 mg/m3 de tétrachlorure d’uranium dans la poussière durant 35 à 40 jours vont connaître une réduction de 30 % de leur poids. 50 % des rats 204 mg/kg (Sprague-Dawley) et des souris à 242 mg/kg (Swiss) vont décéder après l’administration d’un bol alimentaire radioactif à l’uranium. Ils connaîtront de plus des effets physiologiques comme de l’hypothermie, de la chair de poule, de l’exophtalmie, des pupilles plus petites et des tremblements incontrôlables. Des souris des bois (Apodemus sylvaticus) placés à 3 km d’une mine aux boues polluées ont montré de la bioaccumulation à l’uranium et au cuivre dans leur os et leur foie en plus de signes distinctifs d’anomalies génétiques.
Radon
Histoire et découverte
C’est en 1900 que Friedrich Ernst Dorn comprit l’existence du gaz Radon, qu’il baptisa tout simplement gaze de Radium. Il fallut attendre l’année 1908 pour que Robert Whytlaw-Gray et William Ramsay réussirent à l’isoler clairement en tant que gaze noble à part entière. Et c’est finalement en 1923 que le Radon fut nommé ainsi et devint la troisième substance radioactive répertoriée.
Propriétés physiques
Le Radon est un gaz rare d’une famille de 35 isotopes, portant le numéro atomique 86 et le symbole international Rn. Il a une masse atomique de 222 u. Il a un point de fusion de -71 degrés Celsius et un point d’ébullition -61,7 degrés Celsius. Il arbore une structure cristalline cubique à faces centrée et possède une électronégativité est de 2,1. C’est un gaz très lourd étant 8 fois plus pesant que l’air ambiant et qui va donc peser pas moins de 21,4 livres/m3. Ce gaz autofluorescent devient phosphorescent à son point de congélation qui est de -71 degrés Celsius, et a -180 degrés Celsius il prend une teinte orangée tirant sur le rouge. Il a des affinités avec des éléments tels que les clathrates et les fluors.
Le Radon est un gaz rare d’une famille de 35 isotopes, portant le numéro atomique 86 et le symbole international Rn. Il a une masse atomique de 222 u. Il a un point de fusion de -71 degrés Celsius et un point d’ébullition -61,7 degrés Celsius. Il arbore une structure cristalline cubique à faces centrée et possède une électronégativité est de 2,1. C’est un gaz très lourd étant 8 fois plus pesant que l’air ambiant et qui va donc peser pas moins de 21,4 livres/m3. Ce gaz autofluorescent devient phosphorescent à son point de congélation qui est de -71 degrés Celsius, et a -180 degrés Celsius il prend une teinte orangée tirant sur le rouge. Il a des affinités avec des éléments tels que les clathrates et les fluors.
Demi-vie et désintégration
Le Radon se trouve à être un gaz noble très dense qui ne se dissout pas facilement le temps de sa demi-vie, or ensuite il se désintègre en d’autres éléments plus stables. Dans la nature, l’on y trouve que 4 isotopes de Radon, tel que le Radon-218 (demi-vie de 35 millisecondes) de rayonnement alpha et provenant de la désintégration de l’Astate-218 dans le processus de stabilisation de l’uranium-238. Le Radon-219 (demi-vie 3,96 secondes) d’irradiation alpha est un produit résultant de la désintégration de l’Actinium dans la chaîne atomique successive de l’Uranium-235. Le Radon-220 (demi-vie de 55,6 secondes) de rayons alpha il advient du Radium-224 et de la désintégration du Thorium-232. Et le célèbre Radon-222 (demi-vie de 3,8 jours) de rayonnement alpha il advient du Radium-224.
Le Radon se trouve à être un gaz noble très dense qui ne se dissout pas facilement le temps de sa demi-vie, or ensuite il se désintègre en d’autres éléments plus stables. Dans la nature, l’on y trouve que 4 isotopes de Radon, tel que le Radon-218 (demi-vie de 35 millisecondes) de rayonnement alpha et provenant de la désintégration de l’Astate-218 dans le processus de stabilisation de l’uranium-238. Le Radon-219 (demi-vie 3,96 secondes) d’irradiation alpha est un produit résultant de la désintégration de l’Actinium dans la chaîne atomique successive de l’Uranium-235. Le Radon-220 (demi-vie de 55,6 secondes) de rayons alpha il advient du Radium-224 et de la désintégration du Thorium-232. Et le célèbre Radon-222 (demi-vie de 3,8 jours) de rayonnement alpha il advient du Radium-224.
Radiotoxicité
Tout près des mines d’Uranium-238, il y persiste en énorme quantité du Radon-222 avec toutes les conséquences connues pour ce genre d’isotopes radiant toxique. Le Radon est inodore et incolore à moins de conditions atmosphériques particulières . Néanmoins, il est extrêmement radioactif avec une activité massique d’émission radiante de 5,73 x 1015 Bq/gramme. Celui-ci ne peut donc pas être perçu par les travailleurs du nucléaire, les mineurs et les résidents à proximité des mines d’Uranium qui le respireront avec insouciance.
Il est surprenant de constater qu’autour de la planète, les normes d’acceptabilités de l’exposition prolongée au Radon peut varier autant pour des conditions qui représentent quand même des risques sanitaires similaires pour ne pas dire identiques (récepteur biologique = humain). À moins, que l’on habite dans une région reconnue pour sa haute teneur en Radon, les maisons et appartements ne devraient pas en contenir à outrance. Une aération minimale des pièces souterraines permet aux gazes de ne pas rester en place et de sortir par la fenêtre.
Au Canada, dans les habitations des citoyens la norme limite est de 200 Bq/m3. En Italie, il est toléré que dans les écoles et les endroits de travail se maintiennent dans des valeurs de 500 Bq/m3. Aux U.S.A., un plafond national est fixé à 150 Bq/m3 pour la plupart des états américains. En Suisse, l’on conseille de se maintenir aux alentours de 400 Bq/m3, or en cas de dépassement de 1000 Bq/m3 dans ce cas il faut entreprendre des mesures de calfeutrage, d’aération et de nettoyage des lieux irradiés. En général, dans l’Union européenne il est accepté que les nouvelles demeures émettent environ 200 Bq/m3 et pas moins de 400 Bq/m3 dans les vieux bâtiments ayant plus de chance d’avoir des fissures dans leurs sous bassement.
En France, peut-être à cause qu’il y a eu beaucoup d’exploitation de mines, ainsi 92% des habitations contiendraient des valeurs tournant proches de 400 Bq/m3, 1,5% d’exception tournerait quand même autour de 1000 Bq/m3, un autre 0,5% a plus de 1000 Bq/m3 et le reste s’approchant des valeurs de 65 Bq/m3. Ces chiffres peuvent poser interrogation et être à la fois alarmante, car avec des taux semblables, il est logique de penser qu’une partie de la population française s’expose à contracter une plus forte incidence de cancer dans les années à venir lorsqu’on prend en considération que le Radon est la deuxième principale cause du cancer du poumon après la cigarette.
Tout près des mines d’Uranium-238, il y persiste en énorme quantité du Radon-222 avec toutes les conséquences connues pour ce genre d’isotopes radiant toxique. Le Radon est inodore et incolore à moins de conditions atmosphériques particulières . Néanmoins, il est extrêmement radioactif avec une activité massique d’émission radiante de 5,73 x 1015 Bq/gramme. Celui-ci ne peut donc pas être perçu par les travailleurs du nucléaire, les mineurs et les résidents à proximité des mines d’Uranium qui le respireront avec insouciance.
Il est surprenant de constater qu’autour de la planète, les normes d’acceptabilités de l’exposition prolongée au Radon peut varier autant pour des conditions qui représentent quand même des risques sanitaires similaires pour ne pas dire identiques (récepteur biologique = humain). À moins, que l’on habite dans une région reconnue pour sa haute teneur en Radon, les maisons et appartements ne devraient pas en contenir à outrance. Une aération minimale des pièces souterraines permet aux gazes de ne pas rester en place et de sortir par la fenêtre.
Au Canada, dans les habitations des citoyens la norme limite est de 200 Bq/m3. En Italie, il est toléré que dans les écoles et les endroits de travail se maintiennent dans des valeurs de 500 Bq/m3. Aux U.S.A., un plafond national est fixé à 150 Bq/m3 pour la plupart des états américains. En Suisse, l’on conseille de se maintenir aux alentours de 400 Bq/m3, or en cas de dépassement de 1000 Bq/m3 dans ce cas il faut entreprendre des mesures de calfeutrage, d’aération et de nettoyage des lieux irradiés. En général, dans l’Union européenne il est accepté que les nouvelles demeures émettent environ 200 Bq/m3 et pas moins de 400 Bq/m3 dans les vieux bâtiments ayant plus de chance d’avoir des fissures dans leurs sous bassement.
En France, peut-être à cause qu’il y a eu beaucoup d’exploitation de mines, ainsi 92% des habitations contiendraient des valeurs tournant proches de 400 Bq/m3, 1,5% d’exception tournerait quand même autour de 1000 Bq/m3, un autre 0,5% a plus de 1000 Bq/m3 et le reste s’approchant des valeurs de 65 Bq/m3. Ces chiffres peuvent poser interrogation et être à la fois alarmante, car avec des taux semblables, il est logique de penser qu’une partie de la population française s’expose à contracter une plus forte incidence de cancer dans les années à venir lorsqu’on prend en considération que le Radon est la deuxième principale cause du cancer du poumon après la cigarette.
Bioaccumulation
Afin que le Radon-222 ne s’accumule dans les mines d’uranium des dispositifs de tuyauteries sont aménagés afin de le faire évacuer à l’extérieur. Toutefois, ce Radon ne peut être totalement filtré et recyclé, donc une grande partie de son volume sera balayé par les vents sur le territoire minier et les habitations avoisinantes. Comme le Radon a la possibilité de voyager sur de longue distance, ainsi il a plus de chance de se déposer au sol, absorbée par les plantes ou d’être inhalé par les animaux qui renifle la terre et les herbages. Il provient souvent des régions uranifères, volcaniques ou granitiques. Par défaut, il se dégagerait moins de Radon dans les villes à cause de l’effet scellant de l’asphalte que dans les terrains vagues des campagnes.
Lorsque la concentration en Radon dans l’air est importante, il est presque impossible de le définir par sa détection chimique, plutôt que par la détectabilité de sa propriété radioactive, car dans 1 mètre cube il y aura 0,17 picogramme d’accumulé dans l’air pour une activité radiante de 1000 Bq/m3. En temps normal, lorsque la terre n’est pas remaniée il n’y s’évapore pas beaucoup de Radon dans l’air, car son pouvoir de migration dans la roche n’est que de 20 à 70 nm. Environ 10 à 50% du gaz radioactif dans le sol va s’échapper à l’air libre ou dans l’eau par l’entremise des microscopiques pores de la couche externe de la pierre (sous forme de poussières ou de grains + ou moins volumineux).
Les eaux en surface de la croûte terrestre contiendraient moins de Radon que les eaux des couches aquifères et sources thermales. Les eaux souterraines stagnantes et les cavernes peuvent accumuler d’impressionnantes quantités de Radon.
Afin que le Radon-222 ne s’accumule dans les mines d’uranium des dispositifs de tuyauteries sont aménagés afin de le faire évacuer à l’extérieur. Toutefois, ce Radon ne peut être totalement filtré et recyclé, donc une grande partie de son volume sera balayé par les vents sur le territoire minier et les habitations avoisinantes. Comme le Radon a la possibilité de voyager sur de longue distance, ainsi il a plus de chance de se déposer au sol, absorbée par les plantes ou d’être inhalé par les animaux qui renifle la terre et les herbages. Il provient souvent des régions uranifères, volcaniques ou granitiques. Par défaut, il se dégagerait moins de Radon dans les villes à cause de l’effet scellant de l’asphalte que dans les terrains vagues des campagnes.
Lorsque la concentration en Radon dans l’air est importante, il est presque impossible de le définir par sa détection chimique, plutôt que par la détectabilité de sa propriété radioactive, car dans 1 mètre cube il y aura 0,17 picogramme d’accumulé dans l’air pour une activité radiante de 1000 Bq/m3. En temps normal, lorsque la terre n’est pas remaniée il n’y s’évapore pas beaucoup de Radon dans l’air, car son pouvoir de migration dans la roche n’est que de 20 à 70 nm. Environ 10 à 50% du gaz radioactif dans le sol va s’échapper à l’air libre ou dans l’eau par l’entremise des microscopiques pores de la couche externe de la pierre (sous forme de poussières ou de grains + ou moins volumineux).
Les eaux en surface de la croûte terrestre contiendraient moins de Radon que les eaux des couches aquifères et sources thermales. Les eaux souterraines stagnantes et les cavernes peuvent accumuler d’impressionnantes quantités de Radon.
Radium
Histoire et découverte
Pierre et Marie Curie ont découvert cet élément en 1898 à partir de la roche Pechblende qui irradiait grandement à cause du Radium. Le mot signifie ‘’radius’’ ou ‘’rayon’’ à partir des langages de provenance latine. Il est d’un bleu luminescent et se décompose en fabricant de l’hydroxyle lorsqu’on le mélange à l’eau (H2O).
Propriétés physiques
Le Radium du symbole Ra, a le numéro atomique 88 et comporte pas moins de 25 isotopes différents dont 4 seulement se retrouve dans le minerai naturel tel que le Radium-223 (11,1 jours), Radium-224 3,64 jours), Radium-226 (1 620 ans), Radium-228 (5,76 ans). À l’état pur, ce métal alcalinoterreux est de couleur blanche toutefois si on l’expose à l’air ambiant il noirci à cause de la formation de nitrite à sa surface. Néanmoins, il n’est pas très soluble avec les phosphates acides et ordinaires, les carbonates et les sulfates. Sa stabilité décline en milieu salin lorsqu’il est contenu dans les organismes en organométalliques ou sinon 70% se retrouve sous forme de RaSO4 (tetraoxyde de sulfate de Radium).
Le Radium du symbole Ra, a le numéro atomique 88 et comporte pas moins de 25 isotopes différents dont 4 seulement se retrouve dans le minerai naturel tel que le Radium-223 (11,1 jours), Radium-224 3,64 jours), Radium-226 (1 620 ans), Radium-228 (5,76 ans). À l’état pur, ce métal alcalinoterreux est de couleur blanche toutefois si on l’expose à l’air ambiant il noirci à cause de la formation de nitrite à sa surface. Néanmoins, il n’est pas très soluble avec les phosphates acides et ordinaires, les carbonates et les sulfates. Sa stabilité décline en milieu salin lorsqu’il est contenu dans les organismes en organométalliques ou sinon 70% se retrouve sous forme de RaSO4 (tetraoxyde de sulfate de Radium).
Demi-vie et désintégration
Dans le cas des mines uranifères, c’est le Radium-226 sera le principal produit radioactif de la chaîne désintégration de l’uranium-238. Pour obtenir 1 gramme de Radium alors il faudrait concentrer les extraits de 3 tonnes de minéraux Pechblende. Il finit par se transformer en Radon-222, qui lui est un gaz dense très volatil se dispersant à distance. La désintégration habituelle du Radium va entraîner des émissions de rayons gamma et ce sont ses descendants comme le Plomb-214 et le Bismuth-214 avec lesquels il sera possible de les détecter par spectrométrie gamma. La roche de charbon contient pas moins une énergie radiante en Radium de 120 Bq x kg-1.
Dans le cas des mines uranifères, c’est le Radium-226 sera le principal produit radioactif de la chaîne désintégration de l’uranium-238. Pour obtenir 1 gramme de Radium alors il faudrait concentrer les extraits de 3 tonnes de minéraux Pechblende. Il finit par se transformer en Radon-222, qui lui est un gaz dense très volatil se dispersant à distance. La désintégration habituelle du Radium va entraîner des émissions de rayons gamma et ce sont ses descendants comme le Plomb-214 et le Bismuth-214 avec lesquels il sera possible de les détecter par spectrométrie gamma. La roche de charbon contient pas moins une énergie radiante en Radium de 120 Bq x kg-1.
Radiotoxicité
Le Radium peut irradier du rayonnement alpha, bêta et gamma, lors de sa désintégration et la perte de son énergie disponible en surplus provenant du mouvement des couches électroniques. Il peut être retrouvé dans l’eau de l’aqueduc si les couches aquifères sont riches en uranium naturel ou si une mine d’uranium a été opérée dans les entourages comme dans le compté de Harris aux États-Unis avec des concentrations de l’ordre de 23 pCi/Litre de Radium.
À une concentration de 100 mg/l et avec un pH de plus petit ou égal à 7, le Radium va se joindre aux atomes de quartz et migrera un peu moins en milieu aqueux. La kaolinite, la muscovite, la montmorillonite et l’albite peuvent modifier la migration du Radium dans les eaux de surface. Néanmoins, émis en grande quantité, il est quasi impossible d’empêcher une éventuelle dispersion du Radium dans les eaux d’un bassin hydrographique, et ce, même si une partie du Radium sera retenu par quelques types de roches sédimentaires. L’activité volumique du Radium-226 est de 0,001 et 0,02 Bq/litre dans une eau normale, tandis que les eaux qui circulent près d’une mine d’uranium ont déjà atteint des taux de 1 à 2 Bq/litre minimaux de détection.
Pour atténuer son effet toxique sur les travailleurs du nucléaire malencontreusement exposés, le sulfate de baryum ou de magnésium sont conseillés afin que le Radium ne se fixe pas aux sites moléculaires cellulaires vitaux et l’excréter par le lactate de strontium et le gluconate de calcium.
Le Radium peut irradier du rayonnement alpha, bêta et gamma, lors de sa désintégration et la perte de son énergie disponible en surplus provenant du mouvement des couches électroniques. Il peut être retrouvé dans l’eau de l’aqueduc si les couches aquifères sont riches en uranium naturel ou si une mine d’uranium a été opérée dans les entourages comme dans le compté de Harris aux États-Unis avec des concentrations de l’ordre de 23 pCi/Litre de Radium.
À une concentration de 100 mg/l et avec un pH de plus petit ou égal à 7, le Radium va se joindre aux atomes de quartz et migrera un peu moins en milieu aqueux. La kaolinite, la muscovite, la montmorillonite et l’albite peuvent modifier la migration du Radium dans les eaux de surface. Néanmoins, émis en grande quantité, il est quasi impossible d’empêcher une éventuelle dispersion du Radium dans les eaux d’un bassin hydrographique, et ce, même si une partie du Radium sera retenu par quelques types de roches sédimentaires. L’activité volumique du Radium-226 est de 0,001 et 0,02 Bq/litre dans une eau normale, tandis que les eaux qui circulent près d’une mine d’uranium ont déjà atteint des taux de 1 à 2 Bq/litre minimaux de détection.
Pour atténuer son effet toxique sur les travailleurs du nucléaire malencontreusement exposés, le sulfate de baryum ou de magnésium sont conseillés afin que le Radium ne se fixe pas aux sites moléculaires cellulaires vitaux et l’excréter par le lactate de strontium et le gluconate de calcium.
Bioaccumulation
Comme le Radium possède des caractéristiques physiques et chimiques semblables à ceux de Magnésium, le Strontium, le Béryllium et le Baryum, alors lorsque le Ra-226 sera absorbé par les organismes vivants ; le corps va se confondre avec les bons oligo-éléments comme le Calcium et le remplacé par le Radium hautement radioactif et irradiant les tissus à proximité. Le Radium va donc être retenu sur la surface osseuse (900 jours) et absorbé au centre de l’os (5,5 années). Cet effet métabolique d’accumulation radiante combiné du Rn-222 dans l’air et du Ra-226, causerait des cancers des os et des sinus.
Dans le nord de l’Australie, dans la région de la mine d’uranium Ranger, l’eau de ruissellement radioactive riche en Radium (demi-vie de 13 ans) s’est accumulée dans le bassin de la rivière Magela, et ce, même si elle est à 20 kilomètres du site minier. Les moules d’eau douce (velesunio angasi) ont vraisemblablement bioconcentré dans leur coquille et leurs tissus mous, les radioéléments toxiques pour atteindre une activité radiante de 30 000 à 60 000 fois la normalité.
Jusque dans les années 1950-1960, les aiguilles des montres antiques et cadrans horlogers et de signalisation étaient peinturées avec des composites de Radium, ce qui les rendaient vertes phosphorescentes dans l’obscurité. Les employés dédiés au coloriage des aiguilles ont connus de graves problèmes de cancer des os, car du Radium y a été découvert post-mortem. Selon le récit légendaire des médecins, les os des peintres avaient tellement bioaccumulé de Radium qu’une fluorescence verdâtre en irradiait une fois la lumière éteinte.
En Inde, dans une eau naturellement radioactive les algues vont cumuler des concentrations de 3,7 Bq/kg par 6,0 Bq/kg (Ulva Lactuca) et 3,6 à 7,4 Bq/kg (Gracilaria edulis). La concentration diminue après la période de la mousson ou l’eau des pluies va lessiver le sol et dissoudre le Radium dans l’environnement. Au Québec au printemps, l’eau supplémentaire à la fonte des neiges éprendrait le Radium au-delà des mines d’uranium sur des kilomètres à la ronde et polluerais des végétaux aquatiques et les animaux qui vont s’abreuver de l’eau de source.
Par exemple, à la mine d’Elliot Lake au Canada, de la radioactivité due au Radium-226 a été détectée dans les végétaux et arbustes dans la rivière ‘’Serpent’’ à proximité de l’exploitation uranifère a des taux relativement élevés oscillant dans le saule 93,1 50,7 Bq/kg (tronc et feuilles), le peuplier faux-tremble 41,8 à 68,9 Bq/kg (tronc et feuilles), le bouleau blanc 252,2 à 222,7 Bq/kg (tronc et feuilles) et le peuplier paumiers 34,8 à 32,0 Bq/kg (tronc et feuilles). Le limon, qui regroupe les roches de taille de 2 à 50 micromètres (sable et argile) aurait absorbé une partie du Radium. Celui-ci peut quand même se répandre dans la zone environnante à la mine lors des inondations fréquentes avec la crue des eaux saisonnières. Un conifère comme le pin va absorber plus de Radium durant ses jeunes années de croissance, le facteur de bioconcentration passant de 0,065 + ou – 0,011 à 0,044 + ou – 0,007. À moins de 0,5 kilomètre de la mine d’Elliot Lake, les bleuets contiennent des taux de 20 à 290 Bq/kg tandis que leur taux diminuerait à 6 Bq/kg à 1 km de distance. Toutefois, il est possible que la dernière mesure soit due au fait que le Radium-226 a une distribution géographique irrégulière s’apparentant à des taches disparates non uniforme sur le territoire ontarien. Une hyper concentration de Radium-226 a été rapportée dans la zone minière avec des taux radioactifs de 3 670 + ou - 890 Bq/kg.
Comme le Radium possède des caractéristiques physiques et chimiques semblables à ceux de Magnésium, le Strontium, le Béryllium et le Baryum, alors lorsque le Ra-226 sera absorbé par les organismes vivants ; le corps va se confondre avec les bons oligo-éléments comme le Calcium et le remplacé par le Radium hautement radioactif et irradiant les tissus à proximité. Le Radium va donc être retenu sur la surface osseuse (900 jours) et absorbé au centre de l’os (5,5 années). Cet effet métabolique d’accumulation radiante combiné du Rn-222 dans l’air et du Ra-226, causerait des cancers des os et des sinus.
Dans le nord de l’Australie, dans la région de la mine d’uranium Ranger, l’eau de ruissellement radioactive riche en Radium (demi-vie de 13 ans) s’est accumulée dans le bassin de la rivière Magela, et ce, même si elle est à 20 kilomètres du site minier. Les moules d’eau douce (velesunio angasi) ont vraisemblablement bioconcentré dans leur coquille et leurs tissus mous, les radioéléments toxiques pour atteindre une activité radiante de 30 000 à 60 000 fois la normalité.
Jusque dans les années 1950-1960, les aiguilles des montres antiques et cadrans horlogers et de signalisation étaient peinturées avec des composites de Radium, ce qui les rendaient vertes phosphorescentes dans l’obscurité. Les employés dédiés au coloriage des aiguilles ont connus de graves problèmes de cancer des os, car du Radium y a été découvert post-mortem. Selon le récit légendaire des médecins, les os des peintres avaient tellement bioaccumulé de Radium qu’une fluorescence verdâtre en irradiait une fois la lumière éteinte.
En Inde, dans une eau naturellement radioactive les algues vont cumuler des concentrations de 3,7 Bq/kg par 6,0 Bq/kg (Ulva Lactuca) et 3,6 à 7,4 Bq/kg (Gracilaria edulis). La concentration diminue après la période de la mousson ou l’eau des pluies va lessiver le sol et dissoudre le Radium dans l’environnement. Au Québec au printemps, l’eau supplémentaire à la fonte des neiges éprendrait le Radium au-delà des mines d’uranium sur des kilomètres à la ronde et polluerais des végétaux aquatiques et les animaux qui vont s’abreuver de l’eau de source.
Par exemple, à la mine d’Elliot Lake au Canada, de la radioactivité due au Radium-226 a été détectée dans les végétaux et arbustes dans la rivière ‘’Serpent’’ à proximité de l’exploitation uranifère a des taux relativement élevés oscillant dans le saule 93,1 50,7 Bq/kg (tronc et feuilles), le peuplier faux-tremble 41,8 à 68,9 Bq/kg (tronc et feuilles), le bouleau blanc 252,2 à 222,7 Bq/kg (tronc et feuilles) et le peuplier paumiers 34,8 à 32,0 Bq/kg (tronc et feuilles). Le limon, qui regroupe les roches de taille de 2 à 50 micromètres (sable et argile) aurait absorbé une partie du Radium. Celui-ci peut quand même se répandre dans la zone environnante à la mine lors des inondations fréquentes avec la crue des eaux saisonnières. Un conifère comme le pin va absorber plus de Radium durant ses jeunes années de croissance, le facteur de bioconcentration passant de 0,065 + ou – 0,011 à 0,044 + ou – 0,007. À moins de 0,5 kilomètre de la mine d’Elliot Lake, les bleuets contiennent des taux de 20 à 290 Bq/kg tandis que leur taux diminuerait à 6 Bq/kg à 1 km de distance. Toutefois, il est possible que la dernière mesure soit due au fait que le Radium-226 a une distribution géographique irrégulière s’apparentant à des taches disparates non uniforme sur le territoire ontarien. Une hyper concentration de Radium-226 a été rapportée dans la zone minière avec des taux radioactifs de 3 670 + ou - 890 Bq/kg.
Protactinium
Histoire et découverte
En 1913, Otto H. Göhring et Kasimir Fajans ont découvert le Protactinium-234 et le dénommèrent ‘’brevium’’, car il se désintègre rapidement. Par la suite en 1934, Lise Meitter et Otto Hahn ont mis jour un nouvel isotope de la même famille atomique, soit le Protactinium-231.
Propriétés physiques
Le Protactinium est un métal de la famille des actinides de couleur argent. Il possède le numéro atomique 91 et est représenté par le symbole Pa. Il détient une structure cristalline de forme orthorhombique et a un point de fusion de 1 572 degrés Celsius. Son rayon atomique est de 163 pm avec une électronégativité de 1,5.
Le Protactinium est un métal de la famille des actinides de couleur argent. Il possède le numéro atomique 91 et est représenté par le symbole Pa. Il détient une structure cristalline de forme orthorhombique et a un point de fusion de 1 572 degrés Celsius. Son rayon atomique est de 163 pm avec une électronégativité de 1,5.
Demi-vie et désintégration
Dans les différents 29 isotopes appartenant aux éléments dérivés du Protactinium, la durée de vie du Protactinium-231 retrouvé dans les sols uranifères (demi-vie de 32 760 ans), Protactinium-233 (durée de 29,697 jours), Protactinium-230 (durée de 17,4 jours), Protactnium-217 (1,15 milliseconde), Protactitnium-234 (1,17 minute). Il est créé à partir de la désintégration du Thorium-234 pour engendre du Protactinium-234 qui perdura une période de seulement 1,2 minute. Cependant, lorsque l’élément radioactif n’a pas une longue demi-vie il émettra davantage de rayonnement ionisant.
Dans les différents 29 isotopes appartenant aux éléments dérivés du Protactinium, la durée de vie du Protactinium-231 retrouvé dans les sols uranifères (demi-vie de 32 760 ans), Protactinium-233 (durée de 29,697 jours), Protactinium-230 (durée de 17,4 jours), Protactnium-217 (1,15 milliseconde), Protactitnium-234 (1,17 minute). Il est créé à partir de la désintégration du Thorium-234 pour engendre du Protactinium-234 qui perdura une période de seulement 1,2 minute. Cependant, lorsque l’élément radioactif n’a pas une longue demi-vie il émettra davantage de rayonnement ionisant.
Radiotoxicité
Le Proactinium-231 advient de la désintégration de l’uranium et est naturellement contenu dans les sols, toutefois avec une faible concentration de 1 partie par million. Lors de l’extraction des roches uranifère le Pa-231 va se retrouver en plus grande concentration à l’air libre, dans l’eau et les sols. Il possède une énergie d’ionisation sur la 1ère de 5,89 eV, a une structure cristalline orthorhombique. Ce métal émet du rayonnement Gamma d’une puissance de 800 keV et des Bêta d’une force de 2,3 MeV.
Le Proactinium-231 advient de la désintégration de l’uranium et est naturellement contenu dans les sols, toutefois avec une faible concentration de 1 partie par million. Lors de l’extraction des roches uranifère le Pa-231 va se retrouver en plus grande concentration à l’air libre, dans l’eau et les sols. Il possède une énergie d’ionisation sur la 1ère de 5,89 eV, a une structure cristalline orthorhombique. Ce métal émet du rayonnement Gamma d’une puissance de 800 keV et des Bêta d’une force de 2,3 MeV.
Bioaccumulation
Comme la demi-vie du Pa-231 est de 32 760 ans, on peut estimer qu’il polluera en profondeur les divers biomes de la faune et la flore à long terme. Au Québec, il causera des dommages génétiques aux populations environnantes des mines et même plus loin, car le transport des poussières chargées de Protactinium-231, de l’eau de ruissellement et des couches aquifères à des kilomètres à la ronde. Une fois dans l’organisme, les rayons Gamma et Bêta vont casser les brins d’ADN des cellules vivantes des récepteurs biologiques comme les plantes, animaux et humaines.
Thorium
Histoire et découverte
En Norvège sur l’île de Lovoy, Morten Thrane Esmark a déniché pour la première fois une pierre noire compacte et la rapporta à son père minéralogiste, Jens Esmark. Ne pouvant définir l’origine de cette roche énigmatique alors ce dernier l’envoya à un autre savant de renom. Jöns Jacob Berlius identifia et baptisa en 1829 cet élément en l’honneur du Dieu Thor dans la mythologie scandinave. Il fallut attendre l’année 1898 pour que Gerhard Carl Schmidt et Marie Curie arrivent à la conclusion de l’activité radiante manifeste du Thorium dans la pierre. En 1925, Jan Hendrik Boer et Eduard van Arkel parvinrent enfin à fabriquer un métal de Thorium parfaitement pur grâce à la technique de la zone fondue.
De nos jours, l’industrie nucléaire aimerait bien développer une filière d’extraction du Thorium afin d’alimenter d’éventuels futurs réacteurs à sel fondu radioactifs, car il est 3 à 4 fois plus abondant que l’uranium-238. Toutefois, pareil à la filière uranifère ce secteur minier actuellement prôné par le Canada, la France, la Chine, le Japon et l’Inde (réacteur de 4ième génération) serait possiblement autant polluant et contaminant pour la nature avec tous les effets perturbateurs que l’on connaît de la radioactivité dans les écosystèmes. Le palier entre son point de fusion et d’ébullition est très large et fait en sorte que sa plage de température de liquéfaction est de 3033 Kelvins. Certains des derniers prototypes de réacteurs seraient prêts pour l’an 2025, et constituerons donc un éventuel danger sanitaire et environnemental de potentielle source de pollution nucléaire pour l’humanité.
Propriétés physiques
Le Thorium a le numéro atomique 88, une masse atomique de 232,0377 ± 0,0004 u, porte le symbole Th et appartient de la famille des actinides. Il affiche une couleur blanc argenté, une structure cristalline cubique à faces centrées et une électronégativité de 1,3. Ce matériau réfractaire a une température de fusion de 3 300 °C (oxyde de Thorium – ThO2), un point de fusion à 1750 °C et un point d’ébullition de 4 788 °C. Comme dans le cas de l’uranium en poudre pulvérisée, il est pyrophorique, c’est-à-dire que lorsqu’il brûle celui-ci il produit une vive lumière blanchâtre et connaît une combustion rapide.
Le Thorium a le numéro atomique 88, une masse atomique de 232,0377 ± 0,0004 u, porte le symbole Th et appartient de la famille des actinides. Il affiche une couleur blanc argenté, une structure cristalline cubique à faces centrées et une électronégativité de 1,3. Ce matériau réfractaire a une température de fusion de 3 300 °C (oxyde de Thorium – ThO2), un point de fusion à 1750 °C et un point d’ébullition de 4 788 °C. Comme dans le cas de l’uranium en poudre pulvérisée, il est pyrophorique, c’est-à-dire que lorsqu’il brûle celui-ci il produit une vive lumière blanchâtre et connaît une combustion rapide.
Demi-vie et désintégration
Dans les 13 isotopes répertoriés du Thorium, nous retrouvons essentiellement dans la nature le Thorium-234 (24,1 jours) et l’élément mononucléique Thorium-232 d’une demi-vie de 14 milliards d’années (soit 10 milliards d’années de plus que la demi-vie de l’Uranium-238). En captant un neutron, le Th-232 se transforme en Th-233, ensuite en Protactinium-233 et finalement en Uranium-233 qui est fissile et peut servir dans les réacteurs nucléaires à sels liquides thoriques. Le Thorium-228 (demi-vie de 1,91 année), le Thorium-229 (7 340 ans), le Thorium-230 (75 000 ans), le Thorium-231 (25,5 heures), le Thorium-231 (25,2 heures) et le Thorium-233 (22,3 minutes).
Le Thorium est à la base d’éclat blanc, néanmoins lorsqu’il est soumis à l’oxygène dans ce cas il devient progressivement grisâtre et noir. La couche d’oxyde la plus externe au métal ralentit cette réaction d’oxydation à l’air libre. Il forme des minéraux bruts tels que le ThO2 (thorianite), le ThSiO4 (thorite) associés à des groupes phosphates. Les roches de monazite que l’on retrouve en Amérique du Sud (Brésil), en Amérique du Nord, en Europe, en France, en Inde, en Australie, en Afrique (Madagascar), en Malaisie et en Turquie, peuvent contenir des concentrations d’oxyde de Thorium allant jusqu’à un maximum de 12% de leur masse totale.
Dans les 13 isotopes répertoriés du Thorium, nous retrouvons essentiellement dans la nature le Thorium-234 (24,1 jours) et l’élément mononucléique Thorium-232 d’une demi-vie de 14 milliards d’années (soit 10 milliards d’années de plus que la demi-vie de l’Uranium-238). En captant un neutron, le Th-232 se transforme en Th-233, ensuite en Protactinium-233 et finalement en Uranium-233 qui est fissile et peut servir dans les réacteurs nucléaires à sels liquides thoriques. Le Thorium-228 (demi-vie de 1,91 année), le Thorium-229 (7 340 ans), le Thorium-230 (75 000 ans), le Thorium-231 (25,5 heures), le Thorium-231 (25,2 heures) et le Thorium-233 (22,3 minutes).
Le Thorium est à la base d’éclat blanc, néanmoins lorsqu’il est soumis à l’oxygène dans ce cas il devient progressivement grisâtre et noir. La couche d’oxyde la plus externe au métal ralentit cette réaction d’oxydation à l’air libre. Il forme des minéraux bruts tels que le ThO2 (thorianite), le ThSiO4 (thorite) associés à des groupes phosphates. Les roches de monazite que l’on retrouve en Amérique du Sud (Brésil), en Amérique du Nord, en Europe, en France, en Inde, en Australie, en Afrique (Madagascar), en Malaisie et en Turquie, peuvent contenir des concentrations d’oxyde de Thorium allant jusqu’à un maximum de 12% de leur masse totale.
Radiotoxicité
Le Thorium-228, le Thorium-230 et le Thorium-234 qui produit des émissions gamma et alpha (- de 1% de la masse minérale) et le Thorium-232 sont un élément radioactif dégageant du rayonnement alpha (99.99% de la masse minérale terrestre). Ainsi, lorsqu’ils se dissolvent dans l’environnement ils peuvent occasionner des dommages aux êtres vivants, surtout lorsqu’ils sont ingérés par la voie digestive (dose dangereuse de 2,3 x 10-7 Sv•Bq-1) ou absorbés par le système respiratoire (dose dangereuse de 1,1 x 10-4 Sv•Bq-1). Son absorption est donc toxique à cause de sa forte activité massique radioactive de 4,1 kiloBq/gramme et est donc affiliée à l’apparition de nombreux types de maladies hépatiques et teratogèniques comme le cancer des poumons, du sang et du pancréas. Même si théoriquement, il faudrait en une seule contamination ingérer par l’estomac la quantité de 2,33 livres de métal ou de 2,22 grammes de Thorium-232 dispersés dans l’air respiré, on peut s’attendre à ce qu’une exposition prolongée dans le cadre d’un travail minier et ou par la simple résidence près d’une mine soit suffisante pour accumuler par ingestion et inhalation nombres d’atomes de radio-isotopes dans les tissus et organes du corps après un certain nombre d’années. La suite de désintégration du Thorium-232 finit par produire de l’Actinium-228, qui lui, va occasionner un fort rayonnement gamma.
Le Thorium-228, le Thorium-230 et le Thorium-234 qui produit des émissions gamma et alpha (- de 1% de la masse minérale) et le Thorium-232 sont un élément radioactif dégageant du rayonnement alpha (99.99% de la masse minérale terrestre). Ainsi, lorsqu’ils se dissolvent dans l’environnement ils peuvent occasionner des dommages aux êtres vivants, surtout lorsqu’ils sont ingérés par la voie digestive (dose dangereuse de 2,3 x 10-7 Sv•Bq-1) ou absorbés par le système respiratoire (dose dangereuse de 1,1 x 10-4 Sv•Bq-1). Son absorption est donc toxique à cause de sa forte activité massique radioactive de 4,1 kiloBq/gramme et est donc affiliée à l’apparition de nombreux types de maladies hépatiques et teratogèniques comme le cancer des poumons, du sang et du pancréas. Même si théoriquement, il faudrait en une seule contamination ingérer par l’estomac la quantité de 2,33 livres de métal ou de 2,22 grammes de Thorium-232 dispersés dans l’air respiré, on peut s’attendre à ce qu’une exposition prolongée dans le cadre d’un travail minier et ou par la simple résidence près d’une mine soit suffisante pour accumuler par ingestion et inhalation nombres d’atomes de radio-isotopes dans les tissus et organes du corps après un certain nombre d’années. La suite de désintégration du Thorium-232 finit par produire de l’Actinium-228, qui lui, va occasionner un fort rayonnement gamma.
Bioaccumulation
Dans la concentration habituelle des sols et de la roche, se maintient un taux approximatif de 12 ppm de Thorium-232. Toutefois, ce taux peut augmenter sensiblement dans les milieux géologiques riches en Monazite ou les mines d’Uranium.
Comme il ressemble atomiquement au Plutonium, au Titane et au Cérium avec lequel il peut être confondu dans le corps humain. Même si le sol contient en moyenne seulement 9 à 12 grammes de Thorium par tonne de terre, il peut se retrouver en plus grande concentration dans le minerai uranifère. Nous recevions une dose annuelle de 0,15 mSv/an de radioactivité naturelle provenant du Thorium. Les effets chimiques toxiques sont à peu près les mêmes qu’avec l’Uranium, sauf que le Thorium émet encore plus de puissance de rayonnement alpha. Le Thorium va s’accumuler dans les organes comme les os à 60% (4 à 8 fois plus chez l’enfant), ou dans le foie. Autrefois, l’on a administré par intraveineuse un médicament contenant de l’oxyde de Thorium du nom de ‘’Thorotrast’’, causant des accumulations de grains de Th dans les organes comme la rate, le foie, la moelle osseuse et les reins. De multiples cancers advinrent jusqu’à 20 ans plus tard suite à ce traitement (leucémie, foie et poumon). En cas d’accident, il est possible de détoxifier les travailleurs du nucléaire avec 0,5 gramme d’un réducteur d’absorption intestinal comme le DTPA (acide diéthylène triamine pentaactétique).
Il existerait environ 80 types de roches avec de concentration faible à élevés en Thorium. Les phénomènes cycliques naturels dispersant fréquemment le Th dans l’environnement sont : l’érosion, la percolation des sols, le transport biologique, la suspension dans l’air, le lessivage des sols et la diffusion.
Bismuth
Histoire et découverte
En 1753, Claude Geoffroy le Jeune a réussi pour la première fois à le séparer le Bismuth (Bi) du plomb (Pb). En 1860, Antoine Béchamp affirmait déjà que les sels de Bismuth représentaient des risques pour la santé humaine.
Propriétés physiques
Dans la nature, nous ne retrouvons que le Bismuth-209 radioactif émetteur de rayonnement alpha avec un taux d’énergie de 3,14 MeV. Le Bismuth est un métal de couleur fondamentalement blanche et dotée d’éclats de rosacée et de texture cristalline. Comme il détient des propriétés diamagnétiques, alors il n’y a que le Mercure qui a une aussi faible conductivité thermique.
Le Bismuth, dont le symbole chimique est Bi possède le numéro atomique 83 et fait partie de la famille des pnictogènes. Il détient d’une densité liquide plus grande que 9,8 et de densité solide de 9,780. La masse atomique du Bismuth varie de 184 et 218 u, et 35 isotopes différents.
Dans la nature, nous ne retrouvons que le Bismuth-209 radioactif émetteur de rayonnement alpha avec un taux d’énergie de 3,14 MeV. Le Bismuth est un métal de couleur fondamentalement blanche et dotée d’éclats de rosacée et de texture cristalline. Comme il détient des propriétés diamagnétiques, alors il n’y a que le Mercure qui a une aussi faible conductivité thermique.
Le Bismuth, dont le symbole chimique est Bi possède le numéro atomique 83 et fait partie de la famille des pnictogènes. Il détient d’une densité liquide plus grande que 9,8 et de densité solide de 9,780. La masse atomique du Bismuth varie de 184 et 218 u, et 35 isotopes différents.
Demi-vie et désintégration
Lors de la désintégration de l’uranium c’est bel et bien le Bismuth-210 qui sera émis et il est un isotope radioactif perdurant une période de 5 jours et il produit du rayonnement bêta. Ce rayonnement bêta produira une énergie de 4,94 MeV, ce qui représente une quantité appréciable de facteur d’ionisation.
Lors de la désintégration de l’uranium c’est bel et bien le Bismuth-210 qui sera émis et il est un isotope radioactif perdurant une période de 5 jours et il produit du rayonnement bêta. Ce rayonnement bêta produira une énergie de 4,94 MeV, ce qui représente une quantité appréciable de facteur d’ionisation.
Radiotoxicité
Les effets rapportés sur la santé sont : la gingivostomatite, les taches noirâtres sur les gencives, de la salivation excessive, des dommages au rein et au foie, des problèmes neurotoxiques sur le système nerveux central.
Le Bismuth une fois absorbé dans le corps, avec des doses modérées a élevées est connu pour causer des dommages au foie, aux reins, de l’insomnie, de l’anémie, la diarrhée, la dermatite, des dépressions, nausées, des sensations de malaise général, rhumatisme, perte de poids, urine riche en albumine, de la fièvre, des maux de tête, perte d’appétit. Même si le Bismuth est légèrement radioactif et être mortel à fortes doses, et ce, même s’il est considéré comme un oligo-élément.
Les souris intoxiquées au nitrate de Bismuth ont été partiellement détoxifiées à l’aide de la substance D-pénicillamine et la N-acétyle grâce à l’administration d’une injection intrapéritonéale.
Les effets rapportés sur la santé sont : la gingivostomatite, les taches noirâtres sur les gencives, de la salivation excessive, des dommages au rein et au foie, des problèmes neurotoxiques sur le système nerveux central.
Le Bismuth une fois absorbé dans le corps, avec des doses modérées a élevées est connu pour causer des dommages au foie, aux reins, de l’insomnie, de l’anémie, la diarrhée, la dermatite, des dépressions, nausées, des sensations de malaise général, rhumatisme, perte de poids, urine riche en albumine, de la fièvre, des maux de tête, perte d’appétit. Même si le Bismuth est légèrement radioactif et être mortel à fortes doses, et ce, même s’il est considéré comme un oligo-élément.
Les souris intoxiquées au nitrate de Bismuth ont été partiellement détoxifiées à l’aide de la substance D-pénicillamine et la N-acétyle grâce à l’administration d’une injection intrapéritonéale.
Bioaccumulation
L’administration de Bismuth lors de soins médicaux devrait être arrêtée à partir du moment où l’on perçoit des effets de la gingivite qui adviennent car des stomatites séreuses ulcérées risquent d’apparaître. À grande dose le Bismuth non radioactif est un des métaux lourds industriels les moins toxiques, mais à forte dose il peut quand même représenter des doses létales. Suite a environ un millier de cas en Australie et en France, l’on a décidé d’interdire le Bismuth en dose massive, mais seulement en très faible dose comme médicament en oligothérapie.
L’administration de Bismuth lors de soins médicaux devrait être arrêtée à partir du moment où l’on perçoit des effets de la gingivite qui adviennent car des stomatites séreuses ulcérées risquent d’apparaître. À grande dose le Bismuth non radioactif est un des métaux lourds industriels les moins toxiques, mais à forte dose il peut quand même représenter des doses létales. Suite a environ un millier de cas en Australie et en France, l’on a décidé d’interdire le Bismuth en dose massive, mais seulement en très faible dose comme médicament en oligothérapie.
Polonium
Histoire et découverte
Comme ce sont les Polonais Marie Curie et son mari Pierre Curie qui l’ont découvert en 1898 alors la communauté scientifique leur ont dédié le nom d’élément ‘’Polonium’’. Cette trouvaille a été faite dans leur investigation du minerai Pechblende retrouvé dans les mines d’argent de Jachymov en République tchèque.
Propriétés physiques
Le Polonium est un métal pauvre de numéro atomique 84, porte le symbole Po et comporte pas moins de 33 radio-isotopes de masse atomique variant entre 188 et 220 u. Le polonium a une structure cristalline cubique et un point de fusion de 254 degrés Celsius. Il a un point d’ébullition de 962 degrés Celsius et une énergie de fusion de 60,1 kJ-mol-1. Il a une couleur argent et fait partie des oxydes amphotères. Dans l’océan, il est généré avec le brassage de l’eau, se sédimente avec la roche en fond marin et les combinaisons minérales de sulfure.
Par l’irradiation du Bismuth avec des neutrinos, les Russes ne produisent artificiellement en réacteur environ que 100 grammes de Polonium-210 par année, car la transformation de 10 grammes d’Uranium donne 1 milliardième de gramme de Po-210.
Le Polonium est un métal pauvre de numéro atomique 84, porte le symbole Po et comporte pas moins de 33 radio-isotopes de masse atomique variant entre 188 et 220 u. Le polonium a une structure cristalline cubique et un point de fusion de 254 degrés Celsius. Il a un point d’ébullition de 962 degrés Celsius et une énergie de fusion de 60,1 kJ-mol-1. Il a une couleur argent et fait partie des oxydes amphotères. Dans l’océan, il est généré avec le brassage de l’eau, se sédimente avec la roche en fond marin et les combinaisons minérales de sulfure.
Par l’irradiation du Bismuth avec des neutrinos, les Russes ne produisent artificiellement en réacteur environ que 100 grammes de Polonium-210 par année, car la transformation de 10 grammes d’Uranium donne 1 milliardième de gramme de Po-210.
Demi-vie et désintégration
Ce métal d’une masse volumique de 9,20 gxcm-3 est contenu dans l’écorce terrestre en très petite quantité parmi les autres matériaux : minéraux, gazes et métaux. Lorsque le gaz Radon se décompose après coup et gendrera le Polonium qui a une électronégativité de 2,0. Le Polonium-210 se retrouve donc dans l’environnement lorsqu’il y a de l’uranium dans les sols. Sa demi-vie est de 138,376 jours. Le Polonium-209 a quant à lui une demi-vie de 103 ans. En laboratoire, il est nécessaire de le manipuler avec des protocoles de protection sécuritaire particulière.
La moyenne d’émission normale de radioactivité du Polonium-210 dans le sol est de 10 à 200 becquerels par kilogrammes. Cependant, sur les terrains miniers uranifères sa radiation peut atteindre des niveaux très élevés oscillant entre 15 000 à 22 000 Bq/kg.
Ce métal d’une masse volumique de 9,20 gxcm-3 est contenu dans l’écorce terrestre en très petite quantité parmi les autres matériaux : minéraux, gazes et métaux. Lorsque le gaz Radon se décompose après coup et gendrera le Polonium qui a une électronégativité de 2,0. Le Polonium-210 se retrouve donc dans l’environnement lorsqu’il y a de l’uranium dans les sols. Sa demi-vie est de 138,376 jours. Le Polonium-209 a quant à lui une demi-vie de 103 ans. En laboratoire, il est nécessaire de le manipuler avec des protocoles de protection sécuritaire particulière.
La moyenne d’émission normale de radioactivité du Polonium-210 dans le sol est de 10 à 200 becquerels par kilogrammes. Cependant, sur les terrains miniers uranifères sa radiation peut atteindre des niveaux très élevés oscillant entre 15 000 à 22 000 Bq/kg.
Radiotoxicité
Il a une forte radiation alpha d’une puissance de 5,3 MeV et peut donc occasionner des dégâts à l’ADN, l’intégrité et l’activité des cellules vivantes. Un gramme de Po-210 émet autant de radioactivité alpha que 13,5 tonnes d’uranium, 9,9 livres de Radium, car le Polonium-210 dégage pas moins de 166 TBq/gramme ou dit autrement, 166 millions de becquerels par microgramme. Le tabac de cigarette poussé à partir d’engrais a minéraux d’apatites peut contenir un peu plus de Po-210 et contribuer à augmenter l’incidence de divers types de cancer après seulement quelques années d’utilisation récréative (1 cigarette = 5 à 10 microSieverts). C’est pourquoi nous savons implicitement aujourd’hui selon des milliers d’études que la fumée de cigarette est cancérigène.
Il dégage une énergie telle qu’un seul gramme de Polonium-210 produit 140 Watts de chaleur. Sa température pourrait monter jusqu’à 500 degrés Celsius pour seulement 0,5 gramme de Po-210 (Argonne National Laboratory) pour cette raison des échantillons ont été prises comme énergie de longue durée dans différents satellites planétaires. Une minime quantité de 1 à 10 microgrammes est suffisante pour provoquer la mort chez l’être humain. Figurez-vous comment d’impressionnantes quantités de Polonium-210 peuvent être libérées dans l’environnement après l’extraction d’une mine d’uranium et contaminer toute la chaîne alimentaire des écosystèmes québécois.
Bioaccumulation
Même si en temps normal, le sol ne contient que quelques milligrammes de Polonium-210, il n’en fait pas de grandes quantités pour causer des perturbations biologiques chez les organismes. À cause que le Polonium a une chimie semblable celle du Bismuth et du Tellure, de ce fait les micro-organismes vont être capable de le méthyler (méthylcobalamine) comme ils le font naturellement avec le Mercure et le Sélénium. Ce poison est 10 000 000 de fois plus fort que le cyanure (sodium ou potassium). Lorsqu’il entrera dans le corps, le Po-210 va se diriger dans la circulation sanguine ainsi 90% s’adjoindra au globule rouge hématites et les protéines plasmatiques. Environ 30% de la quantité initiale de Polonium-210 va se loger dans les poumons lors de l’inhalation, les ganglions lymphatiques, la moelle osseuse et même les cheveux. Il finira par détruire et réduire le nombre total de globules blancs disposant la personne dans une grave vulnérabilité face aux espèces infectieuses (virus, bactéries, champignons, etc).
La dangerosité du Po-210 a fait les manchettes lorsque quelques microgrammes seulement ont été préparés pour contaminer Alexandre Litvinenko (ex-espion russe) en 2006 par l’entremise d’une théière à thé et sur les effets personnels de Yasser Arafat (politicien palestinien) en 2004. L’ancien espion russe en cavale est décédé en 3 semaines et son corps était tellement radioactif que le cercueil a dû être renforcé de Plomb dans les parois afin de ne pas irradier les porteurs. Le peigne de Yasser Arafat a été retrouvé avec des radioéléments mortels de Polonium-210.
Le tabac de cigarette poussé à partir d’engrais à minéraux d’apatites peut contenir un peu plus de Po-210 et contribuer à augmenter l’incidence de divers types de cancer après seulement quelques années d’utilisation récréative
Dans le règne des végétaux, il se concentrera dans les feuillages par le phénomène de transfert foliaire avec peu de translocation. Les fruits de mer en contiennent plus que les organismes terrestres avec par exemple les moules qui peuvent émettre entre 150 et 600 Bq/kg.
Des événements nucléaires désastreux tels que l’explosion des 4 réacteurs à Fukushima et de l’épandage de produits radioactifs dans l’océan au Japon faisant monter le taux de becquerels par kilogramme à des niveaux bien supérieurs à la normalité, rendant les fruits de mer interdits à la consommation. Au Québec, avec la fonte des neiges hivernale alors l’eau contaminée au Polonium-210 aurait la chance de se transférer aux organismes terrestres et marins des lacs, rivières, plages et estuaires jusqu’au Fleuve Saint-Laurent. De plus, le plancton et les invertébrés comme les pieuvres ont la fâcheuse capacité de concentrer le Po-210 dans les viscères et tissus. Cette caractéristique leur causant encore plus de torts génétiques et de probables problèmes de santé qu’ils peuvent par la suite transmettre leur descendance et ensuite dans la chaîne alimentaire. Les revenus générés par la pêche et les activités maritimes du Québec en seraient gravement perturbés et la qualité des prises aquatiques ne pourrait plus être formellement garantie ici et à l’étranger.
Entre les années 1940 à 1970, de nombreux tests ont été effectués chez les animaux afin de mesurer les dommages sur leur santé, telle que : le chien, le chat, le rat, le lapin, le babouin et le tamarin. Des extraits de différents isotopes ont été utilisés comme les nitrates, chlorures, hydroxyde et citrates de Polonium. Les effets constatés en laboratoire étaient : l’asthénie, vaisseaux sanguins sclérosés au niveau des reins et testicules (infertilité), perte de poids, léthargie, dysfonctionnement des reins-foie-poumon-pancréas, diminution de la taille des ganglions lymphatiques et finalement décès par collapsus cardiovasculaire. À partir de 18 nanogrammes par kilogramme du poids du corps de l’animal (lapin, chat, souris et chien), et de 9 nanogrammes/kg chez le rat ont été suffisants pour causer la mort de 50% des cas des cobayes en moins de 20 jours.
Même si en temps normal, le sol ne contient que quelques milligrammes de Polonium-210, il n’en fait pas de grandes quantités pour causer des perturbations biologiques chez les organismes. À cause que le Polonium a une chimie semblable celle du Bismuth et du Tellure, de ce fait les micro-organismes vont être capable de le méthyler (méthylcobalamine) comme ils le font naturellement avec le Mercure et le Sélénium. Ce poison est 10 000 000 de fois plus fort que le cyanure (sodium ou potassium). Lorsqu’il entrera dans le corps, le Po-210 va se diriger dans la circulation sanguine ainsi 90% s’adjoindra au globule rouge hématites et les protéines plasmatiques. Environ 30% de la quantité initiale de Polonium-210 va se loger dans les poumons lors de l’inhalation, les ganglions lymphatiques, la moelle osseuse et même les cheveux. Il finira par détruire et réduire le nombre total de globules blancs disposant la personne dans une grave vulnérabilité face aux espèces infectieuses (virus, bactéries, champignons, etc).
La dangerosité du Po-210 a fait les manchettes lorsque quelques microgrammes seulement ont été préparés pour contaminer Alexandre Litvinenko (ex-espion russe) en 2006 par l’entremise d’une théière à thé et sur les effets personnels de Yasser Arafat (politicien palestinien) en 2004. L’ancien espion russe en cavale est décédé en 3 semaines et son corps était tellement radioactif que le cercueil a dû être renforcé de Plomb dans les parois afin de ne pas irradier les porteurs. Le peigne de Yasser Arafat a été retrouvé avec des radioéléments mortels de Polonium-210.
Le tabac de cigarette poussé à partir d’engrais à minéraux d’apatites peut contenir un peu plus de Po-210 et contribuer à augmenter l’incidence de divers types de cancer après seulement quelques années d’utilisation récréative
Dans le règne des végétaux, il se concentrera dans les feuillages par le phénomène de transfert foliaire avec peu de translocation. Les fruits de mer en contiennent plus que les organismes terrestres avec par exemple les moules qui peuvent émettre entre 150 et 600 Bq/kg.
Des événements nucléaires désastreux tels que l’explosion des 4 réacteurs à Fukushima et de l’épandage de produits radioactifs dans l’océan au Japon faisant monter le taux de becquerels par kilogramme à des niveaux bien supérieurs à la normalité, rendant les fruits de mer interdits à la consommation. Au Québec, avec la fonte des neiges hivernale alors l’eau contaminée au Polonium-210 aurait la chance de se transférer aux organismes terrestres et marins des lacs, rivières, plages et estuaires jusqu’au Fleuve Saint-Laurent. De plus, le plancton et les invertébrés comme les pieuvres ont la fâcheuse capacité de concentrer le Po-210 dans les viscères et tissus. Cette caractéristique leur causant encore plus de torts génétiques et de probables problèmes de santé qu’ils peuvent par la suite transmettre leur descendance et ensuite dans la chaîne alimentaire. Les revenus générés par la pêche et les activités maritimes du Québec en seraient gravement perturbés et la qualité des prises aquatiques ne pourrait plus être formellement garantie ici et à l’étranger.
Entre les années 1940 à 1970, de nombreux tests ont été effectués chez les animaux afin de mesurer les dommages sur leur santé, telle que : le chien, le chat, le rat, le lapin, le babouin et le tamarin. Des extraits de différents isotopes ont été utilisés comme les nitrates, chlorures, hydroxyde et citrates de Polonium. Les effets constatés en laboratoire étaient : l’asthénie, vaisseaux sanguins sclérosés au niveau des reins et testicules (infertilité), perte de poids, léthargie, dysfonctionnement des reins-foie-poumon-pancréas, diminution de la taille des ganglions lymphatiques et finalement décès par collapsus cardiovasculaire. À partir de 18 nanogrammes par kilogramme du poids du corps de l’animal (lapin, chat, souris et chien), et de 9 nanogrammes/kg chez le rat ont été suffisants pour causer la mort de 50% des cas des cobayes en moins de 20 jours.
Plomb
Histoire et découverte
Il y a 40 000 ans avant J.-C., des pigments de plomb ont été identifiés sur les tombes, les objets des artefacts funéraires des hommes de la préhistoire. Du plomb a également été retrouvé sur les premiers sites miniers à l’âge du bronze dans les endroits de fonte de métaux. Dès l’Antiquité, les médecins de l’époque avaient remarqué que les mineurs (prisonniers et esclaves) pouvaient être intoxiqués par l’ingestion de plomb. Les Romains utilisaient de l’acétate de plomb afin de garder plus longtemps le vin et le sucre des provisions alimentaires.
Propriétés physiques
Le plomb à un numéro atomique de 82, porte le symbole Pb et est un métal pauvre de couleur blanc-gris. Il a une électronégativité de 2,33 et une structure cubique à faces centrées. Son point de fusion est de 327, 46 degrés Celsius et son point d’ébullition de 1 749 degrés Celsius. Sa dureté est de 1,5 et sa pression de vapeur est de 1,3 mbar (973 degrés Celsius). Son état d’oxydation est de 4,2 et il est un oxyde amphotère.
Le plomb à un numéro atomique de 82, porte le symbole Pb et est un métal pauvre de couleur blanc-gris. Il a une électronégativité de 2,33 et une structure cubique à faces centrées. Son point de fusion est de 327, 46 degrés Celsius et son point d’ébullition de 1 749 degrés Celsius. Sa dureté est de 1,5 et sa pression de vapeur est de 1,3 mbar (973 degrés Celsius). Son état d’oxydation est de 4,2 et il est un oxyde amphotère.
Demi-vie et désintégration
Lors de la désintégration de l’uranium-238, le Plomb-210 et le Plomb 214 seront émis et son des isotopes radioactifs relativement dangereux pour l’homéostasie des êtres vivants. Le Plomb-210 a une demi-vie de 22,2 années et il émettra des rayons bêta avant de se désintégrer en Bismuth-240. Tandis que le Plomb-214 a une demi-vie de 26,8 minutes et produit des rayons bêta et les puissants rayons gamma. Le Plomb-206 quant à lui est le dernier produit de désintégration alors on le considère comme stabilisé avec ses 124 neutrons et dans ses dernières couches électroniques (électrons de valence).
Lors de la désintégration de l’uranium-238, le Plomb-210 et le Plomb 214 seront émis et son des isotopes radioactifs relativement dangereux pour l’homéostasie des êtres vivants. Le Plomb-210 a une demi-vie de 22,2 années et il émettra des rayons bêta avant de se désintégrer en Bismuth-240. Tandis que le Plomb-214 a une demi-vie de 26,8 minutes et produit des rayons bêta et les puissants rayons gamma. Le Plomb-206 quant à lui est le dernier produit de désintégration alors on le considère comme stabilisé avec ses 124 neutrons et dans ses dernières couches électroniques (électrons de valence).
Radiotoxicité
Le plomb n’est pas un oligo-élément essentiel et est considéré pour les organismes vivants comme un poisson toxique. Il posséderait des effets mutagènes sur les cellules vivantes (causant des anomalies génétiques dans la réplication des noyaux d’ADN. De ce fait, il peut être cancérigène à la longue s’il est accumulé en grande quantité dans les tissus biologiques. Il est également reprotoxique, ce qui signifie qu’il amoindrit les capacités de reproduction des êtres vivants et par conséquent nuit à leur chance de survie à long terme.
Le plomb n’est pas un oligo-élément essentiel et est considéré pour les organismes vivants comme un poisson toxique. Il posséderait des effets mutagènes sur les cellules vivantes (causant des anomalies génétiques dans la réplication des noyaux d’ADN. De ce fait, il peut être cancérigène à la longue s’il est accumulé en grande quantité dans les tissus biologiques. Il est également reprotoxique, ce qui signifie qu’il amoindrit les capacités de reproduction des êtres vivants et par conséquent nuit à leur chance de survie à long terme.
Bioaccumulation
Dans un contexte de mine uranifère, le plomb radioactif libéré interférera chimiquement (toxicité chimique) et physiquement (toxicité physique nucléaire) avec la nature, puisque du rayonnement ionisant interviendra aussi en jeu rendant la survie des espèces encore plus difficile. Son intoxication chez l’humain est quant à elle dénommée ‘’saturnisme’’ et pour l’éviter la concentration de plomb dans l’eau potable se situe à 50 microgrammes en France, mais au Canada une limite davantage sécuritaire a été adoptée avec ses moins de 10 microgrammes. Les oiseaux sont intoxiqués par 100 mg/kg d’aliment et la production d’œufs de caille a été altérée à partir de seulement 10 mg/kg. Les larves d’insectes sont plus susceptibles de connaître des dérèglements de la croissance et de la reproduction avec des doses minimes de quelques milligrammes de sels de plomb (chenilles & papillons). Les amphibiens quant à eux affectés à partir d’une concentration de plomb de 10 mg/kg dans la nourriture et de 5 mg/litre, de 0,4 mg/litre pour les œufs dans un milieu aqueux comme un marécage contaminé surchargé au Pb. Chez les ancêtres des crustacés, seuls les Cloportes seraient capables de métaboliser le plomb sans trop de problèmes de santé. Des problèmes de reproduction sont constatés lorsque les nématodes ingèrent du plomb dans des bactéries ou des champignons. Les poissons naissants verront souvent apparaître des taches noires sur leurs nageoires caudales et des malformations spinales (colonnes vertébrales).
Dans l'histoire moderne, la véritable première exploitation a été la mine de Radium de Jachymov nécessaire à l’approvisionnement du laboratoire de Marie Curie. Dans les mines d’uranium lorsque la situation géologique le permet peut être extirpé de la terre en même temps d’autres minéraux de valeur comme les phosphates, l’or ou le cuivre, etc. Depuis plus de soixante-dix décennies que l’exploitation de l’uranium a rependu sur des milliers de kilomètres de la radioactivité partout sur la Terre.
La mine ayant fourni le combustible pour la bombe atomique d’Hiroshima au Japon a été récoltée à Shinkolobwe au Congo belge et à partir des mines canadiennes. Les U.S.A. n’attendirent pas longtemps et entamèrent leur réserve d’uranium à même les gisements de Vanadium et commencer à se monter un arsenal nucléaire. Les pigments d’uranium et ses sels ont longtemps été à la mode pour teindre les poteries et colorier de vert ou de teinte jaune la verrerie de luxe. À cause de leurs émissions radioactives cancérigènes, les sels d’uranium orangés ont été interdits dans la vaisselle à partir des années 1960.
Dans la décennie des années 1990, les mines souterraines représentaient 55% de la production dans le monde et en 2009 avec une production totale de 15 95 tonnes, soit pour un taux de 29%. Dans le désert australien, le parc Kakadu détiendrait pas moins de 10% de toutes les réserves d’U3O8 de la planète Terre. En situation ou les prix de la tonne d’uranium sont bas sur les marchés boursiers internationaux en conscéquence les actionnaires et investisseurs miniers seront donc moins enclins à payer des frais de prospection ne garantissant pas ensuite d’opérer les activités de la mine avec des gains financiers profitables. Donc il est plus coûteux pour les propriétaires de la mine d’uranium d’opérer une installation souterraine à cause des coûts de creusements, de maintien des parois des tunnels, de l’évacuation par ventilation des gazes radiotoxiques comme le Radon, l’arrosage de la poussière radioactive et le remontage des pierres avant de les passer au concassage.
De plus, lorsque la quantité d’uranium n’est pas très présente dans la roche, il devient non rentable d’investir les sommes colossales nécessaires à l’exploitation complète d’une installation minière. Les chiffres varient, mais sous toute réserve l’on soutire environ 500 grammes de poudre jaune d’uranium avec 1 tonne de pierre uranifère. Seulement 10 pays ont fait la production de 96% et plus de l’uranium dans l’année 2012. Pour ce qui a trait des mines à ciel ouvert, une production de 13 541 tonnes donnant un pourcentage total du marché mondial de 25%.
Dans un contexte de mine uranifère, le plomb radioactif libéré interférera chimiquement (toxicité chimique) et physiquement (toxicité physique nucléaire) avec la nature, puisque du rayonnement ionisant interviendra aussi en jeu rendant la survie des espèces encore plus difficile. Son intoxication chez l’humain est quant à elle dénommée ‘’saturnisme’’ et pour l’éviter la concentration de plomb dans l’eau potable se situe à 50 microgrammes en France, mais au Canada une limite davantage sécuritaire a été adoptée avec ses moins de 10 microgrammes. Les oiseaux sont intoxiqués par 100 mg/kg d’aliment et la production d’œufs de caille a été altérée à partir de seulement 10 mg/kg. Les larves d’insectes sont plus susceptibles de connaître des dérèglements de la croissance et de la reproduction avec des doses minimes de quelques milligrammes de sels de plomb (chenilles & papillons). Les amphibiens quant à eux affectés à partir d’une concentration de plomb de 10 mg/kg dans la nourriture et de 5 mg/litre, de 0,4 mg/litre pour les œufs dans un milieu aqueux comme un marécage contaminé surchargé au Pb. Chez les ancêtres des crustacés, seuls les Cloportes seraient capables de métaboliser le plomb sans trop de problèmes de santé. Des problèmes de reproduction sont constatés lorsque les nématodes ingèrent du plomb dans des bactéries ou des champignons. Les poissons naissants verront souvent apparaître des taches noires sur leurs nageoires caudales et des malformations spinales (colonnes vertébrales).
☢ Mines d’Uranium dans le monde ☢
Dans l'histoire moderne, la véritable première exploitation a été la mine de Radium de Jachymov nécessaire à l’approvisionnement du laboratoire de Marie Curie. Dans les mines d’uranium lorsque la situation géologique le permet peut être extirpé de la terre en même temps d’autres minéraux de valeur comme les phosphates, l’or ou le cuivre, etc. Depuis plus de soixante-dix décennies que l’exploitation de l’uranium a rependu sur des milliers de kilomètres de la radioactivité partout sur la Terre.
La mine ayant fourni le combustible pour la bombe atomique d’Hiroshima au Japon a été récoltée à Shinkolobwe au Congo belge et à partir des mines canadiennes. Les U.S.A. n’attendirent pas longtemps et entamèrent leur réserve d’uranium à même les gisements de Vanadium et commencer à se monter un arsenal nucléaire. Les pigments d’uranium et ses sels ont longtemps été à la mode pour teindre les poteries et colorier de vert ou de teinte jaune la verrerie de luxe. À cause de leurs émissions radioactives cancérigènes, les sels d’uranium orangés ont été interdits dans la vaisselle à partir des années 1960.
Dans la décennie des années 1990, les mines souterraines représentaient 55% de la production dans le monde et en 2009 avec une production totale de 15 95 tonnes, soit pour un taux de 29%. Dans le désert australien, le parc Kakadu détiendrait pas moins de 10% de toutes les réserves d’U3O8 de la planète Terre. En situation ou les prix de la tonne d’uranium sont bas sur les marchés boursiers internationaux en conscéquence les actionnaires et investisseurs miniers seront donc moins enclins à payer des frais de prospection ne garantissant pas ensuite d’opérer les activités de la mine avec des gains financiers profitables. Donc il est plus coûteux pour les propriétaires de la mine d’uranium d’opérer une installation souterraine à cause des coûts de creusements, de maintien des parois des tunnels, de l’évacuation par ventilation des gazes radiotoxiques comme le Radon, l’arrosage de la poussière radioactive et le remontage des pierres avant de les passer au concassage.
De plus, lorsque la quantité d’uranium n’est pas très présente dans la roche, il devient non rentable d’investir les sommes colossales nécessaires à l’exploitation complète d’une installation minière. Les chiffres varient, mais sous toute réserve l’on soutire environ 500 grammes de poudre jaune d’uranium avec 1 tonne de pierre uranifère. Seulement 10 pays ont fait la production de 96% et plus de l’uranium dans l’année 2012. Pour ce qui a trait des mines à ciel ouvert, une production de 13 541 tonnes donnant un pourcentage total du marché mondial de 25%.
Proportion des ressources d’uranium sur Terre
Canada => 20,1 %
Australie = > 15,7 %
Namibie => 9,1 %
Russie => 7,0 %
Niger => 6,4 %
Canada => 20,1 %
Australie = > 15,7 %
Namibie => 9,1 %
Russie => 7,0 %
Niger => 6,4 %
Il
y aurait au total 35 millions de tonnes d’uranium à extraire sur Terre,
mais seulement un 5 à 6 millions de tonnes facilement extractibles à un
prix en dessous de 100$/livre (coûts d'extraction et/ou raffinage
standard) comparables au problème de l’extraction de pétrole liquide
brut versus le nettoyage coûteux des sables bitumineux. Évidemment, si
on sortait de la croûte terrestre et de l’océan les 35 millions de
tonnes d’uranium alors il persisterait à la surface de la planète une
pollution radioactive résiduelle et une destruction définitive de notre
monde.
Après l’explosion d’Hiroshima et de Nagazaki, toutes les grandes puissances d’importance ont voulu acquérir l’arme atomique ce qui a fait que la production d’uranium est montée lentement pour atteindre en 1953 à 100 000 tonnes par année. En 1953, la quantité tomba à 50 000 tonnes d’uranium pour finalement redescendre à 30 000 tonnes à la fin de l’année 1958. Ce chiffre monta graduellement jusqu’à 65 000 pour revenir à un 30 000 tonnes d'uranium dans les années de 1990.
De 2008 à 2012, grâce au Kazakhstan, il y a eu une croissance de 25% de la production d’uranium sur Terre. C’est pourquoi, il est devenu le 1er pays producteur avec ses 27,3% des parts de marché en montant comme chef de file depuis les années 2000. En 2009, pas moins de 50 572 tonnes d’uranium ont été extraites ce qui fait pas moins de 50 572 000 tonnes de résidus miniers (valeur minimale optimiste à 1 tonne d’uranium pour 1000 tonnes de résidus miniers) ou bien 2 528 600 000 tonnes de résidus miniers (valeur maximale pessimiste à 1 tonne d’uranium pour 50 000 tonnes de résidus miniers).
Les prix mondiaux de l'uranium auraient descendu entre la période de 1980 et 1990 avec la baisse des stocks miliaires, de la meilleure utilisation parcimonieuse de l’électricité et de la trouvaille de gisements miniers exploitables. En 2001, le prix de l’oxyde d’uranium a atteint un prix très bas à 6,41$/livre au mois de janvier. En juin 2007, le plus haut prix est advenu à 135$/livre à cause de la rareté soudaine de minerai suite au feu radioactif de la mine Olympic Dam en Australie et à l'inondation catastrophique au Canada de la mine du lac Cigar. En août 2010, le prix de l'uranium a chuté ces dernières années à 46,50 $ et en janvier 2011, il se situait à environ 63 $/livre.
Après l’explosion d’Hiroshima et de Nagazaki, toutes les grandes puissances d’importance ont voulu acquérir l’arme atomique ce qui a fait que la production d’uranium est montée lentement pour atteindre en 1953 à 100 000 tonnes par année. En 1953, la quantité tomba à 50 000 tonnes d’uranium pour finalement redescendre à 30 000 tonnes à la fin de l’année 1958. Ce chiffre monta graduellement jusqu’à 65 000 pour revenir à un 30 000 tonnes d'uranium dans les années de 1990.
De 2008 à 2012, grâce au Kazakhstan, il y a eu une croissance de 25% de la production d’uranium sur Terre. C’est pourquoi, il est devenu le 1er pays producteur avec ses 27,3% des parts de marché en montant comme chef de file depuis les années 2000. En 2009, pas moins de 50 572 tonnes d’uranium ont été extraites ce qui fait pas moins de 50 572 000 tonnes de résidus miniers (valeur minimale optimiste à 1 tonne d’uranium pour 1000 tonnes de résidus miniers) ou bien 2 528 600 000 tonnes de résidus miniers (valeur maximale pessimiste à 1 tonne d’uranium pour 50 000 tonnes de résidus miniers).
Les prix mondiaux de l'uranium auraient descendu entre la période de 1980 et 1990 avec la baisse des stocks miliaires, de la meilleure utilisation parcimonieuse de l’électricité et de la trouvaille de gisements miniers exploitables. En 2001, le prix de l’oxyde d’uranium a atteint un prix très bas à 6,41$/livre au mois de janvier. En juin 2007, le plus haut prix est advenu à 135$/livre à cause de la rareté soudaine de minerai suite au feu radioactif de la mine Olympic Dam en Australie et à l'inondation catastrophique au Canada de la mine du lac Cigar. En août 2010, le prix de l'uranium a chuté ces dernières années à 46,50 $ et en janvier 2011, il se situait à environ 63 $/livre.
ALLEMAGNE
SAXE
En Saxe et Thuringe, il y a eu 40 ans de production minière uranifère et ceci a été suffisant pour entraîner une pollution notable à l’ensemble de certaines zones étendues de l'arrière pays en Allemagne. Puisqu’il y a une distance de seulement 3 200 kilomètres entre les 2 principales mines d’importances. Des centaines de montagnes de roche ou ‘’terrils’’, se sont accumulés au fil du traitement de minerai d’uranium. Les mines ont fermé définitivement le 31 décembre 1990 dans un contexte de tension politique durant la Guerre Froide entre l’Allemagne de l’Ouest et de l’Est avec la Russie.
En Saxe dans la ville de Heimlich, alors Micheal Beleites de Gera prit dans les années 80 des photographies inédites des étangs liquides de retraitement nucléaire et des montagnes de pierres radioactives pensant pourtant à tord au tout départ quelles étaient d’anodins tas de charbon. Alors la police secrète ‘’Stazi’’, le talonna pour essayer de le faire taire au sujet de la présence des résidus miniers. Car déjà que la ville et les installations minières n’étaient même pas représentées sur les cartes de l’Allemagne comme les villes atomiques d'Union Soviétique. Les médecins, ingénieurs et une partie de la population ont finalement réussi à faire fermer la mine à cause de toute la pollution engendrée en pleine zone résidentielle allemande très densément peuplée.
Dans une étude épistémologique fait 18 ans après la fermeture d'une mine au sujet des mineurs de l’uranium, celle-ci démontra que sur les 120 000 personnes qui ont travaillé dans les mines allemandes et sur un échantillon de 59 000 travailleurs, au moins 7 163 ont eu des problèmes pulmonaires et de nombreux cancers. Karl Stöhr, un ex-mineur ayant contracté un cancer du poumon a travaillé 26 ans à la Wismut. Il racontait qu’à l’époque au début de son métier, il rapportait 1100 $ Deutschemark pour une semaine d’ouvrage lorsque le salaire ordinaire d'un travailleur n’était que de 300 $/semaine. Les mineurs n’ont pas été mis en garde des risques reliés à la présence du Radon dans les mines, et ce, jusqu’à la fin des années 1980. Parfois, ils éteignaient la ventilation pendant des périodes de plus 30 minutes pour réchauffer la température ou pour d’autres raisons de confort et ce, sans avoir de remontrances de leurs contremaîtres et employeurs. Une fois l’explosion de la mine effectuée, les mineurs se dépêchaient à aller dans la fumée de roche radioactive et vérifier le soutènement des tunnels. Même si presque 99% de la roche extraite sera rejetée dans l’environnement, la quantité de minerais sortis des sols allemands a équivalu à la production de 32 000 bombes atomiques.
Le nettoyage du site de Ronnenburg s’effectue en opérant des puits à ciel ouvert de résidus miniers. La flotte de véhicules devant dorénavant arranger le site minier désaffecté allemand consomme pas moins de 40 000 litres d’essence et équivaudra le parcours de 39 fois le tour de la Terre pour son travail journalier. C'est pourquoi il est faux de prétendre que le nucléaire va sauver le réchauffement climatique puisque énormément d’essence est gaspillée à toutes les étapes de la production à partir de la filière uranifère, des centrales et lors du retraitement. Au moins 2 à 4 accidents arrivent par jour lorsque les camions s’enfoncent dans la boue radioactive et que les autres camions doivent agir comme des remorqueuses de fortune et les sortir du pétrin.
À Zelingstadt, il est impossible de se débarrasser complètement des 150 à 300 millions de tonnes de la WISMUT, il faudrait bien les mettre quelque part rapporta Hans Dieter Straker (responsable de tous les déchets et l’assainissement de la Wismut). Dès le départ, il aurait fallu de gigantesques réservoirs hermétiques pouvant contenir les liquides radioactifs, mais rien n’a été et ne sera fait en ce sens en Allemagne ou dans le reste monde. La solution jusqu’à présent n’a été que d’assécher graduellement les berges avec des moustiquaires et ensuite de pomper l’eau chargée des isotopes et de la retraiter ou de la rediriger ailleurs. Cette idée dans les faits est pratiquement irréalisable puisque les boues descendent à une profondeur de 60 mètres et la mine était de 250 mètres. Le coût total aux contribuables allemands pour l’assainissement et de réhabilitation paysagère de la mine Wismut s’est élevé à la somme faramineuse de 6,5 milliards d’Euros.
En Allemagne, le ministre de l’Environnement Micheal Müller stipula que les compagnies reliées au nucléaire sont incapables de stocker sécuritairement les déchets, que de graves accidents nucléaires sont avenir, qu’il y a souvent des abus de la part de l’industrie militaire et qu’il y a également une possibilité de danger avec le nouveau phénomène de terrorisme mondial. Au cours du Committee of the German Parliament dans les années 1980, le professeur Michealis (handbook for Nuclear Energy) a répondu avec l’aide d’experts scientifiques au sujet de la question à savoir si l’énergie nucléaire pourrait sauver les changements climatiques et la réponse des spécialistes fut non à l’unanimité. La politique et la démocratie seraient désormais dans les mains des corporations qui gouvernent le monde sans que les politiciens ne puissent suivre le bal.
Les
montagnes de roches nucléaires sont si imposantes qu’on finit par
croire qu’elles font parti du décor et pourtant elles laissent des
traces toxiques dans l’environnement et les villes allemandes.
FRANCE
AREVA – COGEMA (210 mines radioactives)
En France, ce sont 25 départements et 300 millions de tonnes de déchets radioactifs provenant des 210 mines désaffectées qui ont exploité de 1946 à 2001 en creusant d’énormes trous et carrières de roche uranifère. Le nucléaire a été géré par le CEA (Commission à l’Énergie Atomique) et la Cogema, cette dernière qui a changé de nom pour Areva s’est occupée des combustibles nucléaires et indirectement de l’approvisionnement en matériaux fissibles pour la construction de la première bombe atomique française. La France s’est donc retrouvée contaminée pour des millions d’années comme un fromage gruyère radioactif en seulement 55 ans de production minière uranifère. La contamination de l’eau, des plantes aquatiques et des terres est due aussi aux roches stériles réutilisées à la grandeur du pays pour la construction des chemins, et déversées comme sédiments radioactifs dans les lacs et rivières. Pour finaliser le tout, les compagnies minières n’ont que renfloué les trous qu’avec de la roche et quelques centimètres de terre, cependant les terrains de baseball municipaux et les routes qu’ils construisirent par-dessus sont encore très radioactifs. La compagnie AREVA est détenue à 87 % par le gouvernement de la République française ce qui fait en sorte que les autorités du pays protège et passe sous silence les erreurs et pollutions monstrueuses que l'entreprise nucléaire a engendrée car elle lui rapporte des profits à l'étranger avec la vente des réacteurs et de l'exploitation des mines d'uranium en lui garantissant sa propre autosuffisance énergétique à 75 %.
Ils ne cessèrent leur activité minière en sol français à Jouac/Le Bernardan (Haute-Vienne) qu'au mois de mai 2003 avec les derniers convois de minerais et connurent donc un bilan de production d’uranium totale de 72 800 tonnes. La pratique de la Cogema consistait donc à remplir la mine désaffectée avec des roches et de la terre pour finalement recouvrir le tout avec une mince couche de terre de 70 centimètres d’épaisseur, ce qui ne bloquait pas l’entièreté du rayonnement ionisant émis par les millions de tonnes de pierres de la mine en dessous. Le pire est que l’épaisseur moyenne pour bloquer les rayons gamma lorsqu'on construit un abri atomique est de 3 pieds ou environ 1 mètre de terre donc pour ainsi dire la minière française n’a même pas été capable de respecter cette simple norme de base de sécurité en radioprotection.
La CRIIRAD est un organisme public indépendant qui a été fondé en 1986 après l’accident de Tchernobyl en Ukraine. Christian Courbon de la CRIIRAD a donc détecté des taux de 4000 Bq/seconde sur un site minier uranifère. Un taux de 0,6 microSievert/heure sur un stationnement et un terrain de football aménagé par-dessus une ancienne mine où reposent encore 30 000 tonnes de résidus radioactifs, et ce, pour un total de 225 555 tonnes réparties sur 12 hectares. Jean-Paul Seignol, un ex-camionneur pour la COGEMA, confirma que les municipalités ont utilisé des roches radiantes pour les travaux usuels de la voirie, que les habitants et entreprises pouvaient venir acheter de la pierre quasi gratuitement en échange de quelques dollars. Par exemple, Patrick Charbier alla en chercher avec son père pour construire la fondation de son garage, sauf qu’à l’époque ont ne mentionnait pas la dangerosité des rayonnements gamma émis par ces tas de roches uranifères aux travailleurs et aux acheteurs. Récemment, il voulut vendre son garage contaminé, néanmoins l’acheteur exigea que le bâtiment soit décontaminé pour la vente. Areva ne veut pas commencer les travaux avant que le vendeur se soit trouvé un acheteur. Patrick Charbier ne veut pas non plus laisser en héritage un garage pollué sur la terre familiale rendu radioactive ce qui risquerait de mettre en danger la vie de ses enfants, lui-même ayant été affecté à sa santé pulmonaire désormais affaiblie.
LOIRE
En Loire, une brillante dame avertie des dangers du nucléaire prend des mesures de la radioactivité sur le terrain de son village. Arlette Manson du Collectif écologique Bois Noirs a détectée des taux de 600 Bq/seconde dans sa voiture, puisque la route en-dessous est construite en stérile minier et elle irradie quiconque roule dessus. Sur le bord de la rue de son village de Saint-Priest-la-Prugne, des taux spectaculaires de 13 000 Bq/seconde sont révélés, ce qui se rapproche des mesures prises sur le sol dans la région de Tchernobyl en Ukraine où l’on retrouve souvent des taux de 10 000 Bq/seconde. Avec le temps, elle put réaliser une carte de dizaines de lieux contaminés de sa municipalité afin d’en alerter le gouvernement français et de la compagnie nucléaire Areva. Cependant, les autorités supposées agir dans le sens du bien des communautés n’ont encore rien fait de concret pour enlever la plupart des résidus miniers dans l'ensemble des villages de la France, démolir sécuritairement les routes dans le but de les récupérer et de les décontaminer leurs matériaux radioactifs.
Selon Philippe Ledenvic, de la DRIRE (Délégué Territorial & Autorité de Sureté Nucléaire), il n’y aurait pas de dangerosité en fonction des normes actuelles de radioprotection stipulant que les mesures doivent être prise à 1 mètre du sol. Dans les lieux à risque, les seuils de radioactivité ne dépasseraient pas à cette hauteur 0,5 microSievert/an. Néanmoins, la norme internationale en lieu radioactif est bel et bien de 0,3 microSievert/an (Commission Internationale de la Radio-Protection). Pour les agences de sécurités nucléaires, il n’y aurait supposément pas de problème à cette hauteur car les gens ne devraient pas se coucher par terre, directement sur les sources plus puissantes d’éléments rocheux radioactifs. Comme si les gens des régions contaminées et leurs visiteurs du camp pouvant s’y promener ne toucherons jamais au sol par inadvertance. Dans ce sens, les enfants sur ces territoires par défaut sont soumis en permanence à la radioactivité de fond, et ce, lorsqu’ils ramassent des pierres au sol pour jouer avec ou en s’amusant dans le sable. Ils irradient dès lors leur bagage génétique dès leur plus jeune âge et risquent d’absorber des poussières chargées en radioéléments ce qui risque de leur donner des nodules ou des cancers de la thyroïde. Les poussières nucléaires peuvent être respirées lorsque les promeneurs les soulèvent du sol par le frottement du mouvement de leurs pieds à la surface de la terre. Les adultes qui marchent aussi sur ces pierres radiantes vont rapporter de la radioactivité à leur maison et peuvent par la suite l’épandre sur le plancher et leur mobilier sans le savoir. Les pieds de tout le monde s’en retrouvent donc irradié, peu importe les déplacements que les personnes voudront faire comme les travailleurs du nucléaire ou les randonneurs. Les campeurs et marcheurs des bois peuvent donc se coucher ou s’asseoir sur des roches radioactives et être irradiés durant quelques heures, ce qui peut représenter des doses importantes de rayons alpha, bêta et gamma. Une seule journée de pêche assise sur une roche ou une nuit de sommeil couché sur des pierres radioactives peut réellement égaler une dose annuelle de rayonnement. Les parties génitales et gonades sexuelles mâles et femelles se trouvent en permanence irradié parce qu'ils sont souvent dans une zone sensible à moins de 1 mètre du sol. Les sources d’eau et l’aqueduc de la municipalité s’en trouvent aussitôt en danger de contamination et risquent d’alimenter les habitants en source d’éléments tératogènes quotidiens des isotopes de l’uranium.
Au centre de villégiature Lalier, où il y a un club de ski de fond, des voyageurs et des groupes scolaires qui vont se promener, ont été mesurés des taux de radioactivité de l’ordre de 20 microSievert/heure à 65 microSievert/heure sur un simple caillou dans le stationnement de l’entrée du parc. À Guegnon, on a capté des taux de 15 000 Bq/seconde près de l’ancien site de l’usine uranifère. Des doses qui donnent environ 20 microSievert/heure, donc en seulement 10 heures on encaisse une dose de dangerosité annuelle de radiation, car nous ne devrions pas recevoir plus de 300 microSievert par an.
SAINT-PIERRE
Dans le Cantal à l’usine de Saint-Pierre, il eut une production de poudre uranifère jusqu’en 1985. L’un de ses travailleurs soudeur du nom de Jean-Jacques Mesine confirme qu’il ne portait pas de masque dans le temps, que très souvent de l’uranate s’accumulait dans le convoyeur sur les chiffres de soir ou de nuit et que les employés devaient se dépêcher à nettoyer la poudre jaune tombée sur le sol avec une simple ose à jardin. On peut s’imaginer que ces opérations étaient très irradiantes et toxiques pour le personnel sans le port d’un matériel plus sécuritaire et protecteur des poussières et vapeurs orangées de l’uranium. 600 000 tonnes de résidus ont été laissées sur le site et des promoteurs ont quand même construit un village par-dessus comme si de rien n’était (la compagnie minière Total ayant même déconseillé au maire de continuer le projet immobilier). Des professionnels du paysagement ont graduellement fait disparaître les traces et masqués la mine par de la végétation. Gilbert Audit, le secrétaire de l’Association pour une qualité de vie, a demandé à Areva de nettoyer un grand parc de son village, toutefois la compagnie minière n’a évidemment pas été en mesure d’enlever les milliers de tonnes pour les mettre ailleurs en sécurité car elle déborde déjà de déchets miniers. 15 habitations longent le cratère de l’ancienne mine et enregistrent des taux de Radon de 5 000 Bq/m3, la moyenne acceptée dans cette zone étant plutôt de 160 Bq/m3 et la Communauté Européenne des seuils tolérables de 200 Bq/m3 (maison de Pascal Dumas loué de 1997 à 2002).
En Haute-Vienne, Gilbert Mougnaud atteint un d’un cancer du larynx, affirma qu’à l’époque son employeur ne l’obligeait pas à porter de masque protecteur ou de combinaison antiradiation et qu’après avoir terminé sa carrière à la mine alors il n’a plus fait l’objet d’un suivi médical adéquat par la minière Areva. Et donc sur la plupart de ses connaissances ayant travaillé à la mine, plusieurs d’entre eux ont eu d’importants cancers, cela affectant leur espérance de vie faisant en sorte qu’ils ont de la difficulté à passer le cap des 40 à 50 ans. Par exemple, à Tchernobyl où la radioactivité s’est rependu partout autour du réacteur explosé alors dans un rayon de quelques centaines de kilomètres cela fait en sorte que les gens en absorbent durant des années et verrons leur espérance de vie diminuer de 75 à 85 ans pour 40 à 55 ans. Et ce, parce que les gens ont des cancers très tôt à partir de l’adolescence et le jeune âge adulte vu qu'ils ont absorbés de la radioactivité depuis 10 à 20 ans. Il en de même pour les régions uranifères où l’on a dispersé des radioisotopes dans l’environnement de la même façon à ce qui advient aisément avec les mines d’uranium. Le même sort attendra bientôt les japonnais résidant trop près de la zone de la centrale détruite de Fukushima car chez les humains les effets de l’irradiation des ovaires et spermatozoïdes n’apparaissent qu’après 3 générations de naissances successives.
Selon un rapport de l’IRSN, cette étude démontra que chez les mineurs de l’uranium, il y a avait 2 fois plus de cancer des reins et 1,5 fois plus de cancer des poumons essentiellement contractés par la respiration interne chronique du gaz Radon et du rayonnement externe isotopique irradiant le personnel durant des heures.
LIMOGE
À Limoge dans le Limousin, 3 sites d’exploitation ont laissés des résidus radioactifs en altitude dans les montagnes ce qui fait que des poussières d’Uranium se sont retrouvées en quantité alarmante dans l’eau des plusieurs aqueducs municipaux. Vu que la mine était un peu plus haute sur le flanc d’une montagne alors par gravité l’eau de ruissellement atteignit lentement mais sûrement la ville de Limoge plus basse. 240 000 personnes habitent a Limoge et sont condamnés à boire de l’eau radioactive qui vient des lacs en aval ou se trouve encore 5 000 000 millions de tonnes de résidus de retraitement. Des taux minimaux d’irradiation de 1000 Bq/seconde ont été détectés sur les terres proches des mines du Limousin. La mine à ciel ouvert Peni, fermée il y a 25 ans est encore rempli d’une eau contenant de fines particules de radioéléments en suspension qui descendent irrémédiablement la colline dans la rivière Gartan et Vienne cheminant vers les villes de la vallée (Thierry Lamireau).
Tout près à l’ancienne mine MARNIAC, Areva a utilisé et enfoui 176 000 barils contenant des résidus miniers radioactifs au fond d'une carrière et n'a rajouté qu'un peu de terre par-dessus. En juin 2005, Areva a été traînée en cour par les habitants de ce village sous les accusations d'abandon de déchets, pollution et mise en danger de la vie d’autrui. Le 14 juin, la compagnie fut acquittée parce que selon le jugement de la cour la définition du terme de ‘’déchets’’ était trop floue pour qu’ils soient considérés comme dangereux.
Selon André-Claude Lacoste de l’Autorité de la Sûreté Nucléaire (ASN), il n’y aurait pas lieu de s’inquiéter, car les déchets nucléaires des mines comme les résidus et stériles miniers, ne sont que ‘’potentiellement’’ dangereux, ou sinon les autorités compétentes interviendraient immédiatement, ainsi il n’y a pas de situations urgentes pour agir. Il va même plus loin en affirmant qu’il n’y a pas d’importance de mener une enquête épidémiologique sur les effets à faibles doses de la radiation sur les populations, puisque selon lui les effets ne seraient pas repérables. Il est déboussolant d’entendre de tels propos venant de la part d’un prétendu spécialiste en radioprotection qui ne semble pas avoir la volonté d'entreprendre de véritables études statistiques publiques sur les effets de la pollution des mines radioactives sur les citoyens de la France. Les autorités n’auraient donc pas bougé depuis 30 ans, car les contrôles d’inspection n’ont que commencé vers l’année 2004. Pourtant, en 1991 Pierre Desgraupes avait sorti un rapport pour le gouvernement de la République la mettant en garde, décriant tous les effets et conséquences des mines d’uranium en France et des hautes concentrations des résidus dans l’environnement en Radium-226. Soudainement, à peine six mois après la sortie de son rapport il fût voté de nouvelles lois par le parlementaire Chirstian Bataille pour boucher un vide judiciaire sur la gestion des mines d’uranium. Néanmoins, selon certains experts la loi serait incomplète, elle ne tient pas compte des effets des autres isotopes de l’uranium une fois les résidus traités par les procédés chimiques (Radium, Radon, Thorium, Polonium, etc). Pourtant, dès 1997 Michelle Rivasi (cofondatrice de la CRIIRAD), réalisa une nouvelle étude sur les dangers des mines, hélas son dossier fut refusé de publication par le conseil de ses collèges au gouvernement.
Christian Courbon (technicien à la CRIIRAD), montra que les balises disposées sur le terrain français étant censées prendre des mesures de la radioactivité ambiante ne sont souvent installées qu'aux endroits dans la nature les moins radioactifs . Par exemple, le long d’une clôture où sont enregistrés des taux de 800, 900, 1000 et 2000 Bq/seconde au sol alors la balise officielle quant à elle est positionnée plus loin à plus de 1 mètre du sol et ne mesure que 400 Bq/seconde. Par conséquent, on peut aisément démontrer que trop souvent les balises ne sont donc pas positionnées aléatoirement, mais à des endroits bien précis qui ne révéleront que très peu le véritable état radioactif du sol des prairies françaises à l'égard des agences de surveillance de l’industrie nucléaire. Donc, il paraît clair que les données transmises ne peuvent en rien leur servir de point de repère réaliste et pertinent à leur enquête sur la contamination à moins de 10 centimètres du sol.
BELZANE
Un site de projet pilote de stockage des résidus miniers a été testé dans le canyon de la BELZANE, ou les déchets de 3 mines ont été déversés au même endroit représentant un total de 1 500 000 tonnes. Toutefois, la crevasse est tellement radioactive que selon certaines associations de surveillance régionale, le site devrait être considéré comme du niveau de l’émissivité radioactive d’une centrale nucléaire classique (mine de la Crouzille, Saint-Pardoux, Belzane). Des citoyens ont rapporté que des terres contaminées de la Crouzille qui étaient censée aller à Belzane, ont plutôt été transportées en cachette dans une autre forêt à proximité. La confirmation d’une radioactivité oscillant des terres à été confirmée de près de 0,5 microSievert/heure (Thierry Lamireau). Les représentants de l’IRSN affirmèrent que le site de projet de stockage centralisé s’est avéré être un échec lamentable parce que le bassin fuyait de partout, que la qualité de l’eau y est mauvaise et qu’elle aurait besoin d’être traitée pour en améliorer sa qualité. Sur le terrain, une usine de traitement des eaux visitées par Bruno Chareyron (directeur de la CRIIRAD) montra qu’il est très facile d’entrer sur le site, que l’eau ressortie traitée est encore très radioactive et que le sol de la plaine est dangereusement irradié. Des taux de 2 000 Bq/seconde mesurés à 1 mètre du sol, et de 3 000 Bq/sec directement par terre à un endroit devant pourtant avoir été bel et bien décontaminé. Selon monsieur Chareyron, Balzane est un exemple typique de site inefficace et dysfonctionnel démontrant l’incapacité des compagnies minières comme Areva (anciennement la Cogema), a nettoyer les boues radioactives pour un entreposage sécuritaire définitif. L’eau passe ensuite dans les canalisations du sol et lorsqu’il y a de la pluie ou des débordements des eaux alors les radionucléides vont flotter à la surface de l’eau, tourner en cercle et se répandre dans la prairie. Dans le Rhône-Alpes, 2 000 000 de tonnes de terres radioactives ont été entreposé sur un site hautement contaminé ou la sécurité de la barrière est défaillante, car elle ouvre avec n’importe quelle carte de crédit. Des jeunes et même des familles avec leurs enfants ont été vu pique-niquer et faire la fête sur un dépotoir minier uranifère durant les jours fériés. On peut considérer que les promesses de l’industrie nucléaire en France, mais aussi ailleurs sur Terre, n’ont pas été à la hauteur de ce quelle furent et montrèrent leur incompétence à assurer une purification de la nature, un maintien des installations et une véritable sécurité sur les sites miniers désaffectés supposés l'être pour minimum 10 000 ans. La population et les générations d’aujourd’hui sont en en droit de se demander si les compagnies et gouvernements ne sont pas coupables de graves négligences, d’avoir mis en danger la vie des gens, d’avoir polluée la France à jamais et tout cela pour s’alimenter à l’électricité quelques décennies sans oublier l'importance de leur encensée production de bombes atomiques. Il n'y a rien qui nous assure qu'Areva et les autres compagnies minières au Canada n'utiliseront pas l'Uranium du Québec pour alimenter la fabrication de ses futures bombes nucléaire, personne ne peut en avoir la certitude pas même le gouvernement du Canada et du Québec.
En 2008, à la centrale nucléaire de Tricastin s’est donc 6000 litres de liquides chargés en éléments radioactifs qui se sont rependus dans les lacs et rivières françaises. Il y a eu des fuites de Tritium radioactif dans le sol et l’eau souterraine. Le spécialiste en radioprotection Bruno Chareyron y a détecté dans le stationnement des employés et visiteurs des taux d’irradiation élevés de 270 Bq/seconde et de 340 Bq/seconde près de la clôture des installations.
Renflouement d’une mine d’uranium (séparation boue, stériles et terre)
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Terre (70 centimètres)
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Terre (70 centimètres)
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Stériles miniers
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Boues radioactives
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Boues radioactives
Mine
d’uranium désaffecté qui a été camouflé par de la verdure et sur
laquelle on a construit un village avec plusieurs habitations
Transport et dompage en secret de déchets miniers radioactifs sans avertir les villageois
Areva
a utilisé et enfoui des 176 000 barils contenant des résidus miniers
radioactifs dans une carrière et a n’a rajouté que quelques mètres de
terre par-dessus.
En juin 2005, Areva est traînée en cour par les habitants du village pour abandon de déchets, pollution et mise en danger de la vie d’autrui. Le 14 juin, la compagnie fut acquittée parce que la définition du terme de ‘’déchets’’ était trop floue pour qu’ils soient considérés comme dangereux et que la compagnie soit imputable de négligence criminelle.
Usine de traitement des isotopes de l’uranium dans l’eau du canyon nucléaire de la Belzane
Ancien site d’une usine de raffinage de l’uranium francais où du gâteau jaune toxique a été laissé sous 10 centimètres de terre
Ancien site d’une usine de raffinage de l’uranium francais où du gâteau jaune toxique a été laissé sous 10 centimètres de terre
AUSTRALIE
OLYMPIC DAM URANIUM
Tout près de la ville de Melbourne au Sud de l'Australie, à 1 300 kilomètres y réside l’un des plus grands dépotoirs nucléaires miniers au monde, il s’appelle l’Olympic Dam Uranium installé tout près de la mine de production de la poudre jaune. Chaque année on emporte au dépotoir environ 4 000 tonnes de résidus d’uranium qui n’est plus nécessaire à son utilisation efficace dans la chaine de production. Des barils produits sont donc remplis d’oxyde d’uranium de 205 litres et chacun sont déposés au nombre de 48 barils dans des conteneurs hermétiques de transport. Le convoi sera prêt à partir par train vers le port d’Adélaïde afin de voguer ensuite vers les ports européens à 21 500 kilomètres et les centrales nucléaires ou centre de recherche à approvisionner. Ce qui représente un risque non négligeable de possibilité de naufrage nucléaire grave des cargos en haute mer et d’une grande pollution marine subséquente de l’océan Pacifique dans un premier temps et ensuite par dispersion des courants à l’échelle de la planète. Lorsque les conteneurs seront arrivés à destination désirée à ce moment ils prendront tout bonnement la route des grandes voies routières en plein milieu de la circulation parmi les conducteurs automobilistes comme si ces manœuvres n'étaient pas dangereuses. Par exemple, une mesure de l’irradiation à distance d’un camion de transport nucléaire sur l'autoroute a été de 60 Bq/sec à 10 mètres et 1672 Bq/sec a 3 mètres (Bruno Chareyron – CRIIRAD).
L’Australie exporte environ 10 000 tonnes d’uranium par année et l’industrie nucléaire privée a généré des profits de 2006-2007 de 586 millions, 2008-2009 = 972 millions, 2011-2012 = 1,3 milliards de dollars australiens.
ROXBY DOWS
La ville minière de ROXBY DOWS fondé en 1987 pour faciliter la vie des mineurs se trouvent tout juste à 115 kilomètres de l’Olympic Dam. C’est la seule ville d’Australie ou le maire n’est pas soumis au vote démocratique de citoyens, mais plutôt à la bonne volonté des propriétaires de la mine (BhpBillion). Comme 50% des gens de cette ville travaillent à la mine, il n’y a que 1% de chômeurs. La mine ROXBY utilise 35 millions de litres d’eau par jour pour laver la roche uranifère et vide ainsi rapidement les réserves d’eau souterraine de l’Australie plus que millénaires. Toutefois, cette prospérité éphémère ne profitera pas longtemps aux travailleurs et leurs familles qui auront plus de chance de contracter des maladies pulmonaires ou divers types de tumeurs et ce, même chez leurs femmes et leurs enfants qui seront soumis au gaz Radon et aux poussières radioactives parsemées à gauche et à droite dans la ville minière. Pareillement, l’Olympic Dam Mine s’approvisionne à partir d’un pipeline de 250 kilomètres connecté dans le « Great Artesian Bassin », qui est la plus grande réserve d’eau aquifère d’Australie recouvrant près du ¼ du continent. À la mine ROXY, dans une accommodation de travailleurs près de l’Olympic Dam Mine, 3 kg de yellow cake ont été retrouvé sans qu’on puisse savoir qui l’a volé. La compagnie minière BhpBillion voudrait agrandir l’Olympic et tripler sa production d’ici quelques années.
Sans la nappe phréatique Great Artesian Basin, il ne pourrait pas y avoir d’exploitation minière dans la région parce que le lavage de la roche consomme quotidiennement des quantités sans cesse croissantes d’eau. Pourtant, les minières prennent l’eau gratuitement sans la payer aux aborigènes ou aux Australiens de différentes provenances continentales. Seule la compagnie prend des données avec leur appareillage de mesure à propos de la pollution entraîné dans l’eau des bassins et l’environnement à cause de leurs activités minières (Dave Sweeney – Australian Conservation Foundation). Par exemple, 250 millions de tonnes sont versées dans le fleuve sans cuve pour les protéger du sol, soit 30 000 tonnes par jour pour une production de 10 tonnes d’uranium (yellow cake).
Le spécialiste David Noona (Australian Conservation Foundation) considère que le volume d’eau radioactive est tellement important que les minières australiennes ne savent pas comment et ne peuvent pas déplacer les déchets ailleurs faute de place et de populations qui veulent d’un territoire comme dépotoir. Il souligne également le problème particulier des déserts ou comme le climat est très sec alors les poussières radioactives auront tendance à se soulever plus facilement pour voyager dans l’air et atteindre les villes.
Dans la ville de Darwin, se trouve le siège social de la compagnie Energy Resources of Australia, le directeur Chris Salisbury garanti que les déchets miniers resterons sur les sites pour 10 000 ans et stipule que l’opération des mines d’uranium se compare en tout point à quelques exceptions près aux autres secteurs miniers sauf pour ce qui en est de l’irradiation. Selon le docteur Gavin M. Mudd de la Monash University of Melbourne, crois au contraire que même s’ils sont obligés de garantir la sécurité légale des sites pour 10 000 ans, ils ne peuvent en rien prévoir avec exactitude l’érosion des sols, la stabilité chimique, physique et radiologique des installations, des tassements inégaux des sols et des interactions avec les biomes vivants évolutifs. Il existerait également de grandes incertitudes quant aux méthodes d’estimations sur les processus qui jouent sur la stabilité des milieux naturels.
La mine Langer-Heinrich en Australie (propriété de Paladia Ressources) a vu ses actions montées de 2 500% à la bourse et compte donc exploiter encore plus de ses gisements sans se soucier de la pollution territoriale irréversible qu’elle laissera derrière elle. Ce qui pousse les entreprises minières à faire des pieds et des mains pour acheter n’importe qu’elle terre (Afrique, Australie, Mongolie, Québec, etc), risquer de mettre les citoyens en danger et finalement extraire le minerai. Ils vendraient presque leur mère pour avoir de la poudre jaune uranifère et accéder à cette matière puissante mais toxique.
RANGER
En Australie du Nord, sur la terre des Mirarr et ailleurs sur le continent les aborigènes ont par la loi le droit de véto sur l’utilisation ou non de leur patrimoine territorial. Depuis les années 1976, les autorités australiennes ont proposé des projets miniers sur ces territoires autochtones. S’impatientant de la lenteur des pourparlers alors les prospecteurs commencèrent à construire la ville minière avant même que les autorisations n’aient été données par les premières nations en place. Jusqu’à temps 6 ans après, que le ministre Viner des affaires aborigènes soit envoyé afin de négocier avec le chef des Mirarr monsieur Toby Gangale. L’émissaire leur proposa de contracter un accord sur l’uranium et de démarrer une fondation s’assurant d’une garantie pour les descendants de leur peuplade. Même si Toby signa le contrat il le regretta le restant de sa vie et il fit promettre à sa fille Yvonne Margarula de ne pas accepter l’ouverture de nouveaux projets miniers à n’importe quel prix. Cet infâme tour de force avec les aborigènes fit en sorte que les premiers barils d’uranium ne sortirent finalement de la mine qu’à partir de l’année 1981. Par la suite, encore une fois les autorités ont voulu développer des projets miniers sans l’accord des Mirarr, donc une aide provenant d’avocats, de scientifiques et d’experts environnementaux se joint à leur importante cause. Il existe cependant, une mauvaise close faisant en sorte que les minières peuvent renégocier tous les 5 ans leur permission d’exploiter les mines. Donc, Rio Tinto et les autres trusts miniers attendent impatiemment comme des loups dans la bergerie assoiffés d’uranium, l’autorisation d’une génération de représentants des premiers occupants aborigènes moins informés et en connaissance des effets mortels de l’industrie uranifère. À une journée de protestation populaire ‘’Non à Jabiluka’’, la chef Yvonne Margarula fut arrêtée en mai 1998 par les agents de sécurité de la mine et sommée de payer une amende 500$ pour avoir occupé un terrain privé (violation de la propriété). Suite a une fulgurante victoire sur les minières et contre toute attente, le 14 août 2003, les camions remplis de minerais ont dû retourner leurs cargaisons dans la mine même si ceux-ci traitaient en catimini les roches uranifères déjà extraites de la mine durant l’étirement du conflit. Dave Sweeney de l’Australian Conservation Foundation, affirme que la saison des moussons apporte de grandes quantités de pluies dans les mines à ciel ouvert et il sera très ardu d’opérer des restaurations écologiques adéquates de dépollution. Plus de 150 accidents ont été répertoriés sur le terrain et les installations de la mine Ranger. Tout près de la mine Ranger, la chef des Mirarr craint que la pluie, les cyclones et la fréquente montée des eaux sur son territoire délocalisent les contaminants et ne les fassent se rendre jusqu’à leur zone de chasse et de cueillette.
Jeffrey le dernier représentant des Djork dans la région de Congara (Blue Town Dreaming) ne donne et ne donnera pas la permission à une compagnie minière comme Areva de venir exploiter la mine sur son héritage ancestral appartenant autrefois à sa famille aborigène d’Arnhem depuis des centaines d’années mêmes si elles contiennent 14 000 tonnes d’uranium, car cela voudrait dire au moins une quantité de 1 000 fois plus de stériles et résidus miniers radioactifs sur ses terres (14 000 tonnes d’U x 1000 = 14 000 000 tonnes de résidus miniers toxiques). Son père et son grand-père ont été harcelés par les compagnies minières européennes qui voulaient opérer des exploitations uranifères sur leur territoire en plus que ceux-ci ne leur expliquaient pas vraiment les dangers réels de la radiation. Pour sa part, il veut garder une terre propre et une eau pure de qualité pour lui et ses proches, car c’est ce qui a le plus de valeur à ses yeux. Il trouve que les jeunes d’aujourd’hui n’en savent pas assez sur le fonctionnement de la nature. Les travailleurs de la mine Ranger au nord, comme Micheal C. Norris aurait contracté de nombreuses formes de cancer comme les leucémies (patron, opérateurs, frères et connaissances). En 2004, 20 employés auraient bu et utilisé comme eau de douche des liquides radioactifs de la mine. En 1985, 25 000 litres d’eau irradiée provenant des bassins se sont déversés et ont contaminé le site et les eaux souterraines sur des kilomètres à la ronde.
Entrée du territoire ancestral de Jeffrey où il refusa d’exploiter des mines d’uranium
Les minières uranifères ont voulu exploiter la terre de Jeffrey qui comprend des kilomètres à la ronde.
Le retour d’un chargement de camion vers la mine après le refus d’autorisation du bail minier par les Mirrar.
Le centre de l’Olympic Dam Mine ou sont concentrés les installations minières nucléaires
En Australie du Nord, sur la terre des Mirarr et ailleurs sur le continent les aborigènes ont par la loi le droit de véto sur l’utilisation ou non de leur patrimoine territorial. Depuis les années 1976, les autorités australiennes ont proposé des projets miniers sur ces territoires autochtones. S’impatientant de la lenteur des pourparlers alors les prospecteurs commencèrent à construire la ville minière avant même que les autorisations n’aient été données par les premières nations en place. Jusqu’à temps 6 ans après, que le ministre Viner des affaires aborigènes soit envoyé afin de négocier avec le chef des Mirarr monsieur Toby Gangale. L’émissaire leur proposa de contracter un accord sur l’uranium et de démarrer une fondation s’assurant d’une garantie pour les descendants de leur peuplade. Même si Toby signa le contrat il le regretta le restant de sa vie et il fit promettre à sa fille Yvonne Margarula de ne pas accepter l’ouverture de nouveaux projets miniers à n’importe quel prix. Cet infâme tour de force avec les aborigènes fit en sorte que les premiers barils d’uranium ne sortirent finalement de la mine qu’à partir de l’année 1981. Par la suite, encore une fois les autorités ont voulu développer des projets miniers sans l’accord des Mirarr, donc une aide provenant d’avocats, de scientifiques et d’experts environnementaux se joint à leur importante cause. Il existe cependant, une mauvaise close faisant en sorte que les minières peuvent renégocier tous les 5 ans leur permission d’exploiter les mines. Donc, Rio Tinto et les autres trusts miniers attendent impatiemment comme des loups dans la bergerie assoiffés d’uranium, l’autorisation d’une génération de représentants des premiers occupants aborigènes moins informés et en connaissance des effets mortels de l’industrie uranifère. À une journée de protestation populaire ‘’Non à Jabiluka’’, la chef Yvonne Margarula fut arrêtée en mai 1998 par les agents de sécurité de la mine et sommée de payer une amende 500$ pour avoir occupé un terrain privé (violation de la propriété). Suite a une fulgurante victoire sur les minières et contre toute attente, le 14 août 2003, les camions remplis de minerais ont dû retourner leurs cargaisons dans la mine même si ceux-ci traitaient en catimini les roches uranifères déjà extraites de la mine durant l’étirement du conflit. Dave Sweeney de l’Australian Conservation Foundation, affirme que la saison des moussons apporte de grandes quantités de pluies dans les mines à ciel ouvert et il sera très ardu d’opérer des restaurations écologiques adéquates de dépollution. Plus de 150 accidents ont été répertoriés sur le terrain et les installations de la mine Ranger. Tout près de la mine Ranger, la chef des Mirarr craint que la pluie, les cyclones et la fréquente montée des eaux sur son territoire délocalisent les contaminants et ne les fassent se rendre jusqu’à leur zone de chasse et de cueillette.
Jeffrey le dernier représentant des Djork dans la région de Congara (Blue Town Dreaming) ne donne et ne donnera pas la permission à une compagnie minière comme Areva de venir exploiter la mine sur son héritage ancestral appartenant autrefois à sa famille aborigène d’Arnhem depuis des centaines d’années mêmes si elles contiennent 14 000 tonnes d’uranium, car cela voudrait dire au moins une quantité de 1 000 fois plus de stériles et résidus miniers radioactifs sur ses terres (14 000 tonnes d’U x 1000 = 14 000 000 tonnes de résidus miniers toxiques). Son père et son grand-père ont été harcelés par les compagnies minières européennes qui voulaient opérer des exploitations uranifères sur leur territoire en plus que ceux-ci ne leur expliquaient pas vraiment les dangers réels de la radiation. Pour sa part, il veut garder une terre propre et une eau pure de qualité pour lui et ses proches, car c’est ce qui a le plus de valeur à ses yeux. Il trouve que les jeunes d’aujourd’hui n’en savent pas assez sur le fonctionnement de la nature. Les travailleurs de la mine Ranger au nord, comme Micheal C. Norris aurait contracté de nombreuses formes de cancer comme les leucémies (patron, opérateurs, frères et connaissances). En 2004, 20 employés auraient bu et utilisé comme eau de douche des liquides radioactifs de la mine. En 1985, 25 000 litres d’eau irradiée provenant des bassins se sont déversés et ont contaminé le site et les eaux souterraines sur des kilomètres à la ronde.
Entrée du territoire ancestral de Jeffrey où il refusa d’exploiter des mines d’uranium
Les minières uranifères ont voulu exploiter la terre de Jeffrey qui comprend des kilomètres à la ronde.
Le retour d’un chargement de camion vers la mine après le refus d’autorisation du bail minier par les Mirrar.
Le centre de l’Olympic Dam Mine ou sont concentrés les installations minières nucléaires
AFRIQUE
NIGER (Arlit, Imouaren et Agadez)
Au Niger, l’activité minière liée au minerai représente pas moins de 50% de son revenu national annuel. En 2007, le ministre nigérien de la communication Mohamed Ben Omar, fit la déclaration publique que le gouvernement avait mis les pendules à l’heure avec les compagnies afin que la population reçoive plus de redevances minières. Sur une période de 40 ans d’exploitation, les estimations disent que sur 100 000 tonnes d’uranium extraites, uniquement les revenus de 3 000 tonnes ont été récupéré pour le profit des gouvernements et des citoyens de ce pays plus que pauvre (Moussa Tchangari de l’Association Alternative Niger). Et pourtant, plusieurs ont confirmé les coûts et conséquences sur l’environnement du à la présence et les dépôts fréquents de poussière en provenance des mines se déposant sur les villes par l’intermédiaire du vent quotidien et des tempêtes de désert occasionnelles.
À l’époque, le gouvernement n’était pas assez fortuné pour investir dans les parts de l’entreprise, ainsi le pays n’a presque rien reçu en dividendes minières. La mine d’ARLIT qui fonctionne 24/24 a été fondé en 1972 et l’on y a produit 20 millions de tonnes de boues minières avec des taux détectés dans les résidus de retraitement jusqu’à 500 000 Bq/kilos ce qui est très énergétique et cancérigène. La mine consomme 40% de l’eau des réserves aquifères sous la terre et lorsqu’elle est rendue à la fin du processus alors celle-ci est devenue très radioactive. De plus, une viciation des couches aquifères a été constatée et le drame est que les populations s’y approvisionnent malgré tout en eau potable des puits artésiens. Selon les responsables d’Areva, la formation d’une croûte sèche à la surface des montagnes de résidus miniers auparavant humide à la sortie de l’usine, serait suffisante pour empêcher le vent de faire envoler la poussière chargée en isotopes nucléaires. Une étude publiée par l’IRSN en 2007, a pourtant confirmé la détection des taux de radioactivité de 20 fois supérieurs à la norme dans un village tout près. Pas loin de là, y est adossé également la capitale au sud a seulement 7 kilomètres de la mine qui s’appelle Yamé et contient pas moins de 80 000 Africains, les employés de la mine comptant pour près de 4 000 habitants.
Les convois de travailleurs, d’ingénieurs et de visiteurs s’y rendant doivent être protégés par des gardiens, car les Touareg font de régulières attaques sur le personnel. Le gouvernement aurait massacré les populations de Touareg pour essayer de les faire taire et continuer l’exploitation du secteur minier. En représailles, les Touaregs auraient enlevé des ingénieurs français quelques jours et demandé qu’on les écoute enfin dans leur requête, car la situation de négociation n’avançait pas depuis plusieurs années. À 45 kilomètres de là-bas, Amhed Wagaya affirma que les Touareg ne sont pas assez nombreux pour s’attaquer de front à l’armée nigérienne et ne peuvent donc que les harceler de temps à autre. Selon le docteur Michel Brugière de l’organisation les Médecins du Monde, les gens de la région ont un plus haut taux de cancer des os, de fibrose pulmonaire, de problèmes de ganglions lymphatiques et dégénérescence des reins avec la dialyse qui s’en suit comme traitement palliatif.
Au plus grand hôpital du Niger payé par Areva, les médecins ne seraient pas équipés adéquatement pour dépister et traiter différentes maladies spécifiques comme le cancer (traitement = chimiothérapie antimitotique, chirurgie et radiothérapie), le diagnostic et le suivi des patients en serait déficient. En plus du fait que les médecins sont les seuls à répertorier et cumuler les donnes statistiques relatives au cas et aux recommandations de traitement à prôner. Jean-Pierre Getti de l’Association SHERPA, critiqua vivement cette façon de procéder, car selon lui en deviennent plus ou moins indépendants et ne sont pas de véritables experts en radiodétection alors ils ne peuvent pas bien diagnostiquer les affectations physiologiques liées à la radiation. Par exemple, il est impossible que seulement 2 cas de maladies professionnelles aient été répertoriés en 40 ans d’exploitation minière. Même si l’exploitant AREVA promet de dédommager les personnes lésées, il sera difficile de le faire si les maladies et les malades ne sont même pas répertoriées convenablement.
Dans les plaines désertiques du Mont L’Aïr (patrimoine de l’humanité selon l’UNESCO), les vents transporteraient la poussière sur la montagne jusque sur les récoltes de fruits et légumes des vergers comme les oignons, les citrons, les dates et les oranges cultivés, ceux-ci sont pourtant vendus par la suite sur le marché public. Selon un agriculteur local, Soulé Barka, parmi de ses meilleurs arbres palmier-dattier connaissent désormais des retards de croissance, ont des branches plus courtes et ne produisent presque plus de fruits. Cet effet biologique ressemble beaucoup à ce que l’on observe dans les expériences scientifiques d’écotoxicologies chez les plantes ayant absorbé une trop grande quantité d’éléments radioactifs toxiques. Des chameaux et dromadaires tomberaient malades également après avoir bu dans des flaques d’eau au sol possiblement contaminé à l’uranium et ses isotopes mortels.
Au Niger (au massif d’Aïr) à ARLIT, y sont donc exploitées 2 mines depuis 40 ans et un nombre de 1 500 mineurs. L’une s’appelle COMINAK, elle est creusée à 250 mètres de profondeur et produisent 1 300 tonnes d’Uranium par année. À la SOMAÏR, une quantité de 13 000 tonnes par an sont sortie de la terre africaine, ce qui représente une quantité astronomique de pollution en résidus miniers supplémentaires dont l’entreprise ne sait pas quoi en faire et ou les disposer dans un lieu sécuritaire qui n’est pas à l’air libre au contact des Africains.
Dans le sable à cet endroit, il est nécessaire de raffiner 50 000 tonnes de roches pour obtenir 1 tonne d’Uranium. Adamou Maraye, le chef en radioprotection de la compagnie affirma que les taux de Radon captés dans les tunnels frôlent les 30 microSievert/heure. Jusqu’en 1986, il n’y avait pas de règlements stricts très sécuritaires à appliquer sur le site de travail minier. Parfois, les employés ne portent pas leur masque respiratoire et doivent nettoyer leur habit de protection. À la COMINAK, sont produites une quantité approximative de 2 000 tonnes d’uranium par année.
35 millions de tonnes de boues radioactives gisent sur le terrain minier de la COMINAK, les tests indépendants de la CRIIRAD ont donné des taux de :
Thorium-234 : 19 000 Bq/kg
Radon-222 : 33 000 Bq/kg
Plomb-210 : 50 000 Bq/kg
Radium-226 : 50 000 Bq/kg
Il y a un hôpital à proximité payé par AREVA et selon le médecin docteur Alassane Seydo, il n’y aurait pas de maladies du travail déclarées à la mine. Pourtant, au moins 130 cas minimum ont déjà été déclarés depuis quelques années selon les autorités responsables. La bâtisse, les équipements et le personnel médical sont payés par la compagnie minière Areva. Donc, le personnel est peu ou pas impartial et indépendant de diagnostic, car si un médecin critique trop ouvertement la minière il risque de se faire réprimer et perdra possiblement son emploi.
La CRIIRAD, l’Association SHERPA et les médecins du monde qui défendent les intérêts des populations ayant été soumises à des crimes de nature économique ont réussi à obtenir par une cour de justice ; des indemnisations monétaires compensatoires pour les populations lésées. Selon le verdict, AREVA ne pourra plus dire qu’elle ne savait et ne connaissait pas les risques d’irradiation des mineurs qu’il y avait des moyens d’y remédier. Et comme elle ne l’a pas fait en connaissance de cause alors elle devenait coupable de certains manquements. Même si Areva a concédé que le suivi sanitaire postprofessionnel a été défaillant elle ne reconnaît pas en tant que telle sa véritable responsabilité. Une possible autre raison est que le milieu du nucléaire ne veut pas avouer qu’il y a un lien de causalité et d’imputabilité imminent entre le fait de travailler ou de résider à proximité d’une mine uranifère ou même d’une centrale nucléaire et être malade. Ou sinon après cet aveu les compagnies devront s’engager à indemniser encore plus souvent les victimes et proches familles ayant subi des préjudices personnels à cause des dommages collatéraux de leurs activités industrielles et commerciales.
Les eaux des puits environnants la mine où les gens vont chercher leur eau, ont enregistrés des taux de 150 à 200 microgrammes/litre d’Uranium lorsque la norme sanitaire est plutôt de 15 microgrammes/litre. On peut supposer que la poussière contamine les puits à la surface est que l’eau coulant sur les montagnes de résidus miniers s’infiltre dans les couches d’eau souterraine aquifères.
Dans le nord du Niger, se trouvent actuellement 122 concessions minières à vendre d’une superficie de 90 000 km2 qui sont disponibles pour les pays qui désirent y pratiquer des activités minières. Des pays tels que la France, le Canada, la Russie, l’Angleterre, la Chine, l’Inde l’Afrique du Sud et l’Australie y sont déjà installés comme des vampires pour extraire le minerai uranifère. Le 27 mars 2009, Areva a signé avec la présidence un accord de 35 ans pour l’ouverture en 2012 et l’exploitation du site d’Imouaren. Ce qui en fait la 2e plus grande mine d’uranium de la planète avec une concession de 2 km de largeur par 8 km de longueur. Les gisements seraient à une concentration d’un facteur de 8 pour 1000, et signifieraient une production prochaine de 200 000 tonnes d’uranium à extraire en environ 40 ans d’exploitation.
Par contre, les tribus africaines des Touareg s’opposent à l’installation des mines sur leur territoire et ont formé un groupe de lutte de 3200 guerriers œuvrant contre les abus des compagnies minières et des autorités gouvernementales. Ils ont l’impression d’avoir été ni plus ni moins qu’exclus du processus politique décisionnel et veulent être reconnus en tant que peuples autochtones originaires et bénéficier du droit d’utilisation et de disposition de leurs propres terres comme ils l’entendent.
Un problème récalcitrant rencontré en Afrique est que les populations sont si pauvres, elles vont aller voler les équipements des mines abandonnés et tenter de les recycler en ferraille pour réparer leurs voitures, leurs casseroles, se faire des outils et construire leur maison, etc. Ce phénomène d’amassage des rebus radioactifs est très problématique, car le fait que les compagnies minières ne garantissent pas toujours le ramassage complet de leurs équipements déchus alors ce laxisme contribue encore une fois à plus de contamination indirecte des récupérateurs eux-mêmes, des familles et citoyens avoisinants. Des taux de radioactivité minimaux de 71 Bq/minute ont été détectés sur différents objets métalliques (Almousapha Alhacen de l’Association Aghirin Man). Bruno Chareyron le président de la CRIIRAD, a quant à lui mesuré des taux de 10 fois supérieures à la norme internationale recommandée.
GABON
Dieudonné Bokoko, l’ancien maire d’une municipalité où se tenait une mine d’uranium à ciel ouvert fermé en 1998 (C.O.M.U.F), habite dans une maison ou le solage a été construit avec des stériles, et ce, comme les autres maisonnées juxtaposées à côté des installations d’exploitation. Il vit 3000 citoyens dans la ville, répartit dans 600 logements radioactifs avec seulement 20 blocs appartement qui ont été détruit et dont les décombres n’ont presque pas été nettoyés par les anciens exploitants AREVA. Le marché public et l’épicerie du village ont été construits avec des stériles uranifères et irradie en permanence la communauté lorsqu’elle fait ses emplettes journalières.
Selon le maire et les villageois la compagnie, une fois l’exploitation d’uranium terminée Areva a donc laissé comme à son habitude ses équipements miniers au fond de la mine (bulldozers, camions, matériaux, etc) et a par la suite inondé la fosse jusqu’à temps qu’un lac artificiel radioactif soit formé. Cette technique a peut-être été accomplie dans l’objectif de faire de la pseudo réintégration paysagère (un terme qui veut dire dans le jargon nucléocrate qu’ils ne veulent pas exposer trop de traces visibles du passage de cette industrie). Ce qui serait hautement questionnable du fait qu’en ajoutant de l’eau dans le réservoir ou cavité rocheuse alors les radioéléments se sont dispersés encore plus loin sur les berges des 3 lacs radioactifs du village. Ensuite avec la dispersion continuelle des fluides par la gravité descendront en fonction des dénivellations du terrain sablonneux africain. En plus que le fait de laisser des matériaux métalliques radioactifs dans le fond va faire en sorte que ceux-ci vont continuer à rouiller et se désagréger dans l’eau avec les années, remonter à la surface par les courants et recontaminer le site minier et la zone écosystémique.
Les travailleurs sont maintenant majoritairement au chômage et non plus vraiment de revenu pour habiter ailleurs que dans les maisons radioactives précédemment construites par la compagnie minière Areva. On retrouve dans les maisons de stériles miniers, des taux de radioactivité oscillants autour de 0,78 microSievert/heure. Le seuil moyen acceptable d’irradiation est pourtant de 0,01 microSievert/heure donc la radioactivité y dépasse de 8 fois les taux imposés par la réglementation internationale. 2 000 000 de tonnes de résidus miniers ont été laissés sur le site et sont de plus contaminés aux produits chimiques et radioactifs. 200 000 mètres cubes ont été dispersés pour aménager et disposer de la terre en surplus afin de renflouer une partie un ancien nid de rivière pour faire converger un des bassins. L’activité spécifique des boues mesurées dans le marécage radioactif oscille entre des valeurs de 3,55 et 7,07 microSievert/heure, soit de 70 x la norme sécuritaire de 0,01 microSievert/heure. Malheureusement, comme les Africains pauvres n’ont pas toujours l’eau courante conscéquement ils doivent aller laver leurs aliments ou leurs bébés dans les étangs et nappes d’eau à même les dépôts de boues radioactives. On voit bien que les techniques pour détourner les étangs et rivières de l’industrie nucléaire ne fonctionnent pas et que les radioéléments vont toujours trouver leur chemin pour se répandre à tous azimuts peu importe ce qu’en pense et prévoit les ingénieurs (ex : Limoge en France).
À l’époque les mineurs n’ont pas été formés à l’effet que ce genre de travaux comportait des risques importants pour la santé et que leur maison a bel et bien été fabriquée avec des stériles miniers. Donc aujourd’hui beaucoup de ces travailleurs souffrent de maladies pulmonaires, malgré cela ils ne sont plus soignés par la compagnie AREVA, car celle-ci est déménagée et n’assure plus de services hospitaliers et de fourniture en médicaments.
Les relevés de la CRIIRAD, sur les sols du Gabon ont mesuré des taux de radioactivité extrêmement élevés pour chaque kilogramme de boue. Ce qui est révoltant lorsqu’on pense que les quantités de résidus miniers sur place se comptent en million de tonnes :
Uranium-238 : 640 Bq/kg
Thorium-230 : 18 200 Bq/kg
Radon-220 : 11 000 Bq/kg
Plomb-210 : 11 600 Bq/kg
NAMIBIE
En Namibie se trouve l’une des plus grandes usines du monde dénommées la Rossing de Rio Tinto qui débuta en 1967. Le tout est transporté 2 fois semaine à Port Wolvis Bay où il y a des transports maritimes de barils (O3U8).
Ce pays a été dans le top 3 des plus grands producteurs d’uranium dans le monde. En 30 ans d’exploitation de la mine, plus de 1 milliard de tonnes de déchets ont été produites. Il resterait encore une production possible de 10 à 15 ans, donc un autre 500 000 millions de tonnes de roches radioactives qui s’accumulera dans le paysage devenu apocalyptique.
Un camion-benne géant consommera environ 1000 litres d’essence par jour. 1 à 2 fois par semaine, ils font exploser la moitié de la mine afin de ramasser les pierres qui vont passer sous les détecteurs de radiations dans le but de savoir si elles vont être gardées ou non pour la production. Il a été constaté à maintes reprises que lors de la chute de pluie l’eau ruisselait hors de la mine et se dispersait par irrigation dans les sols.
Mick Leache le directeur général de Rossing Uranium entrevois des exploitations jusqu’en 2030-2040 et l’ouverture de 2 autres sites miniers à proximité du complexe déjà existant. 1 300 hommes et femmes y travaillent et sont exposés à des doses quotidiennes d’irradiation. La compagnie finance certains projets sociaux de la Namibie afin de faire taire les rumeurs et trafiquer les données médicales recueillies. Peut-être pour s’excuser de l’avoir autant pollué et détruit le pays pour des millions d’années. 1 tonne de minerai donne environ 265 grammes d’uranium et il prend au camionneur 1 heure à travers un canyon de 340 mètres de profondeur pour remonter en cercle en haut de la mine grâce à un système de fil électrique semblable à celui des tramways. Rainer Scheeweis le responsable du stockage de longue durée confirma qu’il y avait 250 000 000 de tonnes de ‘’tailings’’ et qu’ils sont impossibles à déplacer en tant que tel. Rossing produit 10 tonnes d’uranium par jour et 30 000 tonnes de produits résiduels de traitement minier qui s’accumuleront donc sur une période de 30 ans, équivaudront à 1 000 000 000 de tonnes de roches irradiantes à gérer pour les Nigériens (1 milliard de tonnes).
En Afrique la compagnie Westport Ressource a acheté un terrain et ouvert la mine Valencia et le géologue en chef responsable de la mine est Rick Bonner. Lors de l’échantillonnage des carottes de terre, a ce moment beaucoup de Radon et de poussières sont générés dans l’air, seront respirés un peu par les employés malgré les masques, se déposeront sur leurs vêtements et lorsqu’ils les reporteront leur équipement souillé de radioactivité au courant de la semaine. La poussière radioactive colle aussi à la peau, aux cheveux, dans les yeux, la bouche, le nez et les oreilles.
En Namibie se trouve l’une des plus grandes usines du monde dénommées la Rossing de Rio Tinto qui débuta en 1967. Le tout est transporté 2 fois semaine à Port Wolvis Bay où il y a des transports maritimes de barils (O3U8).
Ce pays a été dans le top 3 des plus grands producteurs d’uranium dans le monde. En 30 ans d’exploitation de la mine, plus de 1 milliard de tonnes de déchets ont été produites. Il resterait encore une production possible de 10 à 15 ans, donc un autre 500 000 millions de tonnes de roches radioactives qui s’accumulera dans le paysage devenu apocalyptique.
Un camion-benne géant consommera environ 1000 litres d’essence par jour. 1 à 2 fois par semaine, ils font exploser la moitié de la mine afin de ramasser les pierres qui vont passer sous les détecteurs de radiations dans le but de savoir si elles vont être gardées ou non pour la production. Il a été constaté à maintes reprises que lors de la chute de pluie l’eau ruisselait hors de la mine et se dispersait par irrigation dans les sols.
Mick Leache le directeur général de Rossing Uranium entrevois des exploitations jusqu’en 2030-2040 et l’ouverture de 2 autres sites miniers à proximité du complexe déjà existant. 1 300 hommes et femmes y travaillent et sont exposés à des doses quotidiennes d’irradiation. La compagnie finance certains projets sociaux de la Namibie afin de faire taire les rumeurs et trafiquer les données médicales recueillies. Peut-être pour s’excuser de l’avoir autant pollué et détruit le pays pour des millions d’années. 1 tonne de minerai donne environ 265 grammes d’uranium et il prend au camionneur 1 heure à travers un canyon de 340 mètres de profondeur pour remonter en cercle en haut de la mine grâce à un système de fil électrique semblable à celui des tramways. Rainer Scheeweis le responsable du stockage de longue durée confirma qu’il y avait 250 000 000 de tonnes de ‘’tailings’’ et qu’ils sont impossibles à déplacer en tant que tel. Rossing produit 10 tonnes d’uranium par jour et 30 000 tonnes de produits résiduels de traitement minier qui s’accumuleront donc sur une période de 30 ans, équivaudront à 1 000 000 000 de tonnes de roches irradiantes à gérer pour les Nigériens (1 milliard de tonnes).
En Afrique la compagnie Westport Ressource a acheté un terrain et ouvert la mine Valencia et le géologue en chef responsable de la mine est Rick Bonner. Lors de l’échantillonnage des carottes de terre, a ce moment beaucoup de Radon et de poussières sont générés dans l’air, seront respirés un peu par les employés malgré les masques, se déposeront sur leurs vêtements et lorsqu’ils les reporteront leur équipement souillé de radioactivité au courant de la semaine. La poussière radioactive colle aussi à la peau, aux cheveux, dans les yeux, la bouche, le nez et les oreilles.
Montagne de boues radioactives si haute qu’on peine à voir le convoyeur au sommet.
Échantillonnage des prélèvements de carotte avec de l’uranium ou les employés respirent des nuages de poussières radioactives
Entrée de la mine nucléaire souterraine africaine COMINAK
Mine d’uranium radioactif à ciel ouvert à Imouaren au Niger
Mine dont il faut 1 heure pour remonter grâce à un système de poteaux et de fils électrique.
Cadrage de détection de la radioactivité des roches afin de vérifier si elles seront gardées ou iront immédiatement rejoindre les montagnes de déchets miniers
Les mines fonctionnent en continu 24/24 avec des chargements jusqu’à l’usine de traitement.
Au monent ou les camions versent leur cargaison alors du liquide est vaporisé au-dessus pour éviter que trop de poussière nucléaire ne se disperse sur la machinerie et les employés.
Explosion de la mine engendrant des tonnes de poussière chargée en uranium
Entrée de la mine nucléaire souterraine africaine COMINAK
Mine d’uranium radioactif à ciel ouvert à Imouaren au Niger
Mine dont il faut 1 heure pour remonter grâce à un système de poteaux et de fils électrique.
Cadrage de détection de la radioactivité des roches afin de vérifier si elles seront gardées ou iront immédiatement rejoindre les montagnes de déchets miniers
Les mines fonctionnent en continu 24/24 avec des chargements jusqu’à l’usine de traitement.
Au monent ou les camions versent leur cargaison alors du liquide est vaporisé au-dessus pour éviter que trop de poussière nucléaire ne se disperse sur la machinerie et les employés.
Explosion de la mine engendrant des tonnes de poussière chargée en uranium
Échantillons d’uranium manipulés sans protection sécuritaire pour les travailleurs
KAZAKHSTAN
La première exploration d’uranium au Kazakhstan débuta en 1943 avec la découverte de gisement abondant en minerai radiant et durant les années 1950 ont y a opéré quelques mines souterraines toutefois elles ont été fermées par la suite pour raison d'insalubrité et en rapport à la dangerosité d’effondrement probable des nombreuses galeries. À partir du 5 décembre 1936, fut fondé la République socialiste soviétique kazakhe ainsi le pays a été sous l’emprise de l’URSS suite aux conquêtes communistes de Staline et le pays a dû fournir des isotopes nucléaires à la grande mère Russie. Un grand nombre de mineurs ont travaillé dans des conditions très dangereuses au Kazakhstan, y ont subi de fortes doses d’irradiation et intoxications au Radon et ont subséquement souffert du cancer en grand nombre.
En 1991, le pays est devenu indépendant suite à la dislocation de l’Union soviétique. L’État garde malgré tout de d'innombrables cicatrices, souffrance de la population lésées et des sites géologiques condamnés radioactifs dans les steppes sibériennes. Comme la société du Kazakhstan vit dans la pauvreté de cette situation précaire elle a quand même gardé contact avec l’expatrie dans les échanges commerciaux et la vente de ses ressources minières au détriment des conditions sanitaires et de l’indice favorable de sa santé publique.
Le Kazakhstan est devenu un fournisseur majoritaire d’uranium dans le monde à partir de l’année 2001 jusqu’à 2011. Tellement que de l’année 2009 à 2010, le pays a augmenté de 40% sa production annuelle d’uranium puisqu’il essaie de réponde aux accords et demandes de ses partenaires comme le Canada, la France, le Japon, l’Inde, la Chine et surtout la Russie. Les Russes ont encore un grand intérêt pour aller chercher les ressources de leur ancienne possession sous l’Union soviétique et de continuer la réalisation leurs expériences sur le nucléaire dans les villes atomiques et pour l’autre partie de leur besoin en approvisionnement énergétique civil russe. Pourtant, les pays sollicitant le labeur minier et les services du Kazakhstan rapportent certes un peu monétairement parlant pour l’instant à ce pays par l’entremise de la gestion de son agence officielle de l’énergie Kazatomprom. Néanmoins, ils sont en train de produire une quantité phénoménale de pollution radioactive habituelle par l’amoncellement successif de lacs et de montagnes de résidus nucléaires qui s’épandent à perte de vue jusque sur les pays voisins comme l’Ouzbékistan, le Turkménistan, le Tadjikistan, le nord-ouest de la Chine et une partie de l’ouest de la Mongolie.
Listes des mines d’uranium et sites radioactifs pollués du Kazakhstan
Inkai (1976-2010 => 1637 tons)
Moinkum (2004-)
Kharasan (2005-)
West Mynkuduk (2006-)
East Mynkuduk (2006-)
Zarechnoye (2006-)
Akdala (2006-2009 => 1046 tons)
South Inkai (2007-2011 => 1900 tons)
Central Mynkuduk (2007-)
Tortkuduk (2008-)
Karatau (2008-)
Irkol (2008-)
Semyibai (2009-)
Akbastau (2009-)
Zhalpak (2012-)
Inkai (1976-2010 => 1637 tons)
Moinkum (2004-)
Kharasan (2005-)
West Mynkuduk (2006-)
East Mynkuduk (2006-)
Zarechnoye (2006-)
Akdala (2006-2009 => 1046 tons)
South Inkai (2007-2011 => 1900 tons)
Central Mynkuduk (2007-)
Tortkuduk (2008-)
Karatau (2008-)
Irkol (2008-)
Semyibai (2009-)
Akbastau (2009-)
Zhalpak (2012-)
Employé
Kasakhstanais en train de brasser le gâteau jaune d’uranium sans masque
de protection aussitôt il respire des particules radioactives qui se
disséminent dans l’air autour des bassins.
Bassin
d’eau et de produits chimiques servant à concentré les atomes d’uranium
afin de les filtrer par la suite et les faire sécher en poudre jaune
radioactive.
RUSSIE
La Russie ayant une très grande superficie territoriale de 17 millions de km2 elle possède une population de 144 millions de Russes. Après avoir conquis plusieurs territoires en Europe de l’est grâce à leur victoire contre l'Axe durant la Deuxième Guerre Mondiale, les Russes ont hérité des ressources des pays satellites qui leur fournissaient les matières premières nécessaires à leur pleine croissance en Union soviétique. Au temps du stalinisme, les prisonniers des goulags servaient de mineurs forcés pour aller chercher et extraire l’uranium dans les mines du nord de la Tchoukotka. Les goulags ont été abolis par décrets en 1960, devenaient illégaux dès lors les mineurs ont pu commencer à être libéré de leurs travaux concentrationnaires. À l’époque, les travailleurs ne portaient pas de protection antiradiation et ont souffert de nombreuses maladies des rayons sans aucun suivi post-professionnel et étudies épistémologies sur leur états de santé. Suite à la chute du mur de Berlin en 1989, de nombreux de ces anciens pays alliés ont voulu faire leur indépendance et quitter l’empire russe effrité. C'est pourquoi encore de nos jours la Russie n’a pas le choix de contracter des alliances et signatures avec les pays de l’Europe de l’Est jusqu’en Eurasie afin de veiller à certains de ses approvisionnements en minerai comme grâce au Kazakhstan et à l’Arménie.
Il a ainsi été signé un accord le 22 avril 2008 entre des entreprises arméniennes et russes pour se partager l’exploitation de l’uranium sur leurs territoires conjoints. Les principaux partenaires miniers sont donc les pays du Kirghizstan, Ouzbékistan, Tadjikistan et le Kazakhstan situés dans la république d’Asie centrale.
Il est dispendieux d’extraire l’uranium en Russie, car le minerai se trouve normalement en très grande profondeur comme dans les sols à l’Aldan. Il y aurait au total un 615 000 tonnes total d'uranium sur toute la superficie du territoire enneigé dans l'ex-empire des Tsars. La Russie opère en ce moment dans la région de Tchita les mines de Streltsovski et dans la république d’Iakoutie-Sakha il y aurait une réserve de 344 000 tonnes pour ce qui est du gisement minéral d'Elkon. Ce coin de la Russie contiendrait environ 150 000 tonnes, mais on aurait trouvé en Sibérie orientale d’autres réserves d’uranium de 70 000 tonnes additionnelles.
La Russie serait en mesure de produire pour 50 ans environ 3 400 tonnes d’uranium par année. En 2030, elle aimerait se placer comme le principal fabricant de centrale nucléaire (25%) et comme enrichisseur d’uranium au monde (45%). La Mongolie est un futur partenaire de la Russie, car y serait engrangés de grandes quantités d’uranium.
Il n’y a qu’une grande entreprise en Russie qui exploitait les gisements du nom de JSC TVEL, et est subdivisé avec la JSC Priargunsky Industrial Mining & Chemincal Union et la CJSC Dalur (Kurgan Oblast => 200 tonnes en 2010) et la JSC Dalur enterprise oeuvrant sur un site de 100 000 tonnes de réserve (Khiagda => 1 000 tonnes en 2005).
Un total de 1 071 000 personnes travaillent dans le secteur minier en Russie ce qui représente 20% des investissements du pays. Jusqu’en 1992, les minières avaient le droit d’explorer et de creuser n’importe où sur le territoire et ce, sans avoir à demander l’autorisation légale préalable aux résidents en place. Sur 985 sites miniers, il y en aurait 163 avec d'autres secteurs d’activité comme ceux des champs d’hydrocarbure. Et le secteur des mines représente au moins 70% de toutes les exportations vers l'extérieur du pays. Les infrastructures et la population russe consomment annuellement pas moins de 9 000 tonnes d’uranium. La TVEL Corportation a démarré un projet pour augmenter la production d’uranium à l'échelle nationale qu'elle appela le TVEL programme.
Il existait en Union Soviétique et encore aujourd’hui en Russie des complexes militaro-industriels citadins dédiés entièrement à la confection de pièce de réacteurs et de centrales nucléaires, de bombes, jusqu'au traitement et au raffinage de la poudre d’uranium dans le but d’alimenter le secteur nucléaire civil et le programme d’armement nucléaire. Les ‘’villes-atomiques’’ ou ‘’atomgrads’’ (Закрытое административно-территориальное образование) sous le règne soviétique n’étaient pas répertoriées sur les cartes officielles du gouvernement entre les années 1940 à 1990 et donc ne portaient que le nom de leur code postal. Encore aujourd’hui l’on doit être un habitant officiellement enregistré de la ville pour s’y trouver ou bien avoir une permission spéciale de l’état nous autorisant à nous y promener. Pratiquement aucune donnée et étude n’a été menée sur les travailleurs des mines associés à la production et les employés des usines secrètes de raffinage. Ce qui fait en sorte que beaucoup de populations des villes proches et même à de longues distances des usines sont tombées malades et en sont mort de plus que leur famille et proches parents à l’extérieur des sites n’ont jamais su pourquoi et n’ont été dédommagé en rien pour ces situations de vie injuste. Autant, les parents que les enfants soumis à la radioactivité des villes-atomes et ce, peu importe qu’ils travaillent dans l’industrie nucléaire ou non. Les dommages collatéraux à la faune, la flore et l’environnement autour des villes sont plus que catastrophiques comme a Tcheliabinsk ou à Tomsk. Nonobstant les autorités gouvernementales russes ne font presque rien pour pallier à la situation désastreuse comme à l’endroit le plus radioactif de la planète au Lac Karatchaï ou on enregistre des taux de 4,44 EBq ou exabecquerels, soit 4,44×1018 Bq. De nos jours résident encore pas moins de 1 500 000 personnes dispersées travaillant dans 42 villes secrètes nucléaires. Ces entités militaro-industriels sont gérées à 25 pourcents par l’Agence Fédérale de l’Énergie Atomique et la majorité par la Ministère de la Défense de Russie sur 75 pourcents du territoire. Ce système ressemble quelque peu aux villes australiennes vivant de l’industrie nucléaire des mines ou l'on applique un code de loi minicipale antidémocratiques dans lequel le maire est choisi strictement par les dirigeants de l’entreprise minière et ce, afin d’éviter toute surprise et contestation de la mairie et des élus municipaux contre la compagnie mère fondatrice investissant dans la ville. Il est ironique de penser que même si la Russie n'a jamais enclenchée la Guerre Froide contre les Américains, la paranoïa politique de ses dirigeants lui a tellement fait produire d'armes atomiques que de nos jours son territoire et ses populations sont pollués de l'Est à l'Ouest sans qu'aucune bombe nucléaire ne soit tombé sur son pays par la main d'un ennemi occidental.
Atomgrads secrets
Nom d’aujourd’hui Oblast Fondation Travaux effectués
Arzamas-16 Sarov
Oblast de Nijni Novgorod
1946 Conception et développement d'armements, assemblage d'ogives
Sverdlovsk-44 Novoouralsk
Oblast de Sverdlovsk
1946 Enrichissement d'uranium
Tcheliabinsk-40 (par la suite 65) Oziorsk
Oblast de Tcheliabinsk
1947 Production de plutonium, fabrication de composants
Sverdlovsk-45 Lesnoï
Oblast de Sverdlovsk
1947 Enrichissement d'uranium, assemblage d'ogives
Tomsk-7 Seversk
Oblast de Tomsk
1949 Enrichissement d'uranium, fabrication de composants
Krasnoïarsk-26 Jeleznogorsk
Kraï de Krasnoïarsk
1950 Production de plutonium
Zlatooust-36 Triokhgorny
Oblast de Tcheliabinsk
1952 Assemblage d'ogives
Penza-19 Zaretchny
Oblast de Sverdlovsk
1955 Assemblage d'ogives
Krasnoïarsk-45 Zelenogorsk
Kraï de Krasnoïarsk
1956 Enrichissement d'uranium
Tcheliabinsk-70 Snejinsk
Oblast de Tcheliabinsk
1957 Conception et développement d'armements
Arzamas-16 Sarov
Oblast de Nijni Novgorod
1946 Conception et développement d'armements, assemblage d'ogives
Sverdlovsk-44 Novoouralsk
Oblast de Sverdlovsk
1946 Enrichissement d'uranium
Tcheliabinsk-40 (par la suite 65) Oziorsk
Oblast de Tcheliabinsk
1947 Production de plutonium, fabrication de composants
Sverdlovsk-45 Lesnoï
Oblast de Sverdlovsk
1947 Enrichissement d'uranium, assemblage d'ogives
Tomsk-7 Seversk
Oblast de Tomsk
1949 Enrichissement d'uranium, fabrication de composants
Krasnoïarsk-26 Jeleznogorsk
Kraï de Krasnoïarsk
1950 Production de plutonium
Zlatooust-36 Triokhgorny
Oblast de Tcheliabinsk
1952 Assemblage d'ogives
Penza-19 Zaretchny
Oblast de Sverdlovsk
1955 Assemblage d'ogives
Krasnoïarsk-45 Zelenogorsk
Kraï de Krasnoïarsk
1956 Enrichissement d'uranium
Tcheliabinsk-70 Snejinsk
Oblast de Tcheliabinsk
1957 Conception et développement d'armements
Liste de nom des villes-atomiques russes
1-Oblast d'Arkhangelsk (Mirny)
2-Oblast d'Astrakhan (Znamensk)
3-République de Bachkirie (Mejgorié)
4-Oblast de Tcheliabinsk (Oziorsk, Snejinsk, Triokhgorny)
5-Kraï du Kamtchatka (Vilioutchinsk)
6-Kraï de Krasnoïarsk Jeleznogorsk, Norilsk, Zelenogorsk
7-Oblast de Moscou (Krasnoznamensk)
8-Oblast de Mourmansk (Gadjievo, Ostrovnoï, Poliarny, Severomorsk, Snejnogorsk, Zaoziorsk)
9-Oblast de Nijni Novgorod (Sarov)
10-Oblast de Penza (Zaretchny)
11-Kraï du Primorie (Bolchoï Kamen, Fokino)
12-Oblast de Saratov (Chikhany)
13-Oblast de Sverdlovsk (Lesnoï, Novoouralsk)
14-Oblast de Tomsk (Seversk)
15-Oblast de Vladimir (Radoujny)
CANADA
Dans l’histoire contemporaine, le Canada s’est retrouvé à être l’un des plus grands producteur de minerai avec un peu moins du 1/3 des ressources d’uranium dans le monde. Girlbert Labine fut le premier découvreur de la roche uranifère dans les Territoires du Nord-Ouest ce qui mena à la fondation à Port Radium de l’Eldorado Mine en 1932. Ensuite, on raffinait les extraits d’uranium en Ontario dans la ville portuaire de Port Hope. En 1943, la mine Eldorado fût expropriée et acquis par le gouvernement du Canada devenant ainsi sa propriété privée étant légalement la seule au pays pouvant assurer la production et l’approvisionnement des États-Unis d’Amérique en poudre jaune uranifère. Le Projet Manhattan initié par la lettre de Leo Szilard et d’Albert Einstein adressée le 11 octobre 1938 au président Franklin D. Roosevelt afin de l’avertir des avancées des Allemands et de l’inciter à créer la première bombe nucléaire états-unienne qu'ils mirent de l'avant finalement pour finir le conflit avec les Japonais dans le Pacifique. Suite à la guerre en 1947, on réautorisa finalement la prospection privée des minières canadiennes ce qui entraîna un engouement pour l’uranium et mena à l’ouverture de la mine Rayrock au territoire du nord-ouest, des mines d’Elliot Lake et de Bancroft ainsi que la célèbre mine a Uranium City en Saskatchewan. Des milliers d’incidents anormaux et de manquements éthiques graves ont été répertoriés depuis le début des activités des mines d’uranium au Canada. Il y avait 23 mines en opération dans les années 1959 sur une totalité de 5 districts miniers canadiens.
En 1965, la demande en uranium chuta sensiblement et le gouvernement demanda aux producteurs de stocker l’uranium jusqu’au moment opportun qui mena à l’année 1974 ou le retour de la demande internationale en combustible nucléaire pour la production d’électricité devint suffisante afin de recommencer à extraire et à le vendre. Par exemple, aujourd'hui à la mine de la rivière McArthur, son minerai fournissait 14,5% de toute la production mondiale en 2009.
TERRITOIRES DU NORD-OUEST
Dans un premier temps, c’est donc à Port Radium que débuta l’histoire de l’uranium au Canada dans les années 1930 sur les rives des Grands Lacs de l’Ours dans les Territoires du Nord-Ouest ou une mine a été opérée entre 1931 et 1940. Jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale, personne n’avait besoin d’uranium, mais plutôt de Radium pour l’industrie de l’horlogerie et de la signalisation phosphorescente. Au moment de l’effort de guerre en 1942, des mineurs ont rapidement été expédiés pour combler cette lacune et enclencher une production de masse d’oxyde d’uranium. George Blondin, un ex-mineur rapporte que la compagnie jetait ses résidus miniers directement dans l’eau du lac ou les pêcheurs amérindiens et les travailleurs du camp se rendaient quotidiennement pour boire de l’eau et manger du poisson censé être comestible. Les mineurs autochtones n’étaient pas non plus informés à savoir quel était le minerai qu’il remontait à la surface et si c’était pour de l’or ou de l’argent.
Les boues radioactives contiennent encore de 75 % à 85 % d’isotopes de l’uranium encore très radioactif comme le Radium-226 et le Radon-222. Sont contenus à l’intérieur des boues de retrait de l’acide sulfurique, de peroxyde et d’innombrables substances radioactives, les gazes et la poussière qui s’accumuleront également dans la forêt et la végétation. L’industrie minière canadienne aurait produit 300 millions de tonnes de déchets miniers avant le tournant de l’an 2000. . Elizabeth et Jimmy Lacorde un ancien mineur résidant près du terrain minier prétend que lorsque les animaux vont s’abreuver trop près des sources d’eau de la mine ils tombent rapidement malade et ne donne plus signe de vie. Selon le chasseur autochtone Martin Josie, les Amérindiens se nourrissent essentiellement de 3 sources d’aliments comme le poisson, le caribou et l’orignal.
-Port Radium
-Eldorado Mine (1932–1940 et 1943–1960)
-Rayrock Mine (1957–1959)
ONTARIO
Dans un premier temps, c’est donc à Port Radium que débuta l’histoire de l’uranium au Canada dans les années 1930 sur les rives des Grands Lacs de l’Ours dans les Territoires du Nord-Ouest ou une mine a été opérée entre 1931 et 1940. Jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale, personne n’avait besoin d’uranium, mais plutôt de Radium pour l’industrie de l’horlogerie et de la signalisation phosphorescente. Au moment de l’effort de guerre en 1942, des mineurs ont rapidement été expédiés pour combler cette lacune et enclencher une production de masse d’oxyde d’uranium. George Blondin, un ex-mineur rapporte que la compagnie jetait ses résidus miniers directement dans l’eau du lac ou les pêcheurs amérindiens et les travailleurs du camp se rendaient quotidiennement pour boire de l’eau et manger du poisson censé être comestible. Les mineurs autochtones n’étaient pas non plus informés à savoir quel était le minerai qu’il remontait à la surface et si c’était pour de l’or ou de l’argent.
Les boues radioactives contiennent encore de 75 % à 85 % d’isotopes de l’uranium encore très radioactif comme le Radium-226 et le Radon-222. Sont contenus à l’intérieur des boues de retrait de l’acide sulfurique, de peroxyde et d’innombrables substances radioactives, les gazes et la poussière qui s’accumuleront également dans la forêt et la végétation. L’industrie minière canadienne aurait produit 300 millions de tonnes de déchets miniers avant le tournant de l’an 2000. . Elizabeth et Jimmy Lacorde un ancien mineur résidant près du terrain minier prétend que lorsque les animaux vont s’abreuver trop près des sources d’eau de la mine ils tombent rapidement malade et ne donne plus signe de vie. Selon le chasseur autochtone Martin Josie, les Amérindiens se nourrissent essentiellement de 3 sources d’aliments comme le poisson, le caribou et l’orignal.
-Port Radium
-Eldorado Mine (1932–1940 et 1943–1960)
-Rayrock Mine (1957–1959)
ONTARIO
En Ontario à Elliot Lake a été opérée une mine à partir des années 1950. Le fond de la mine d’Elliot Lake déborde et renvoie son eau contaminée à même la ‘’Serpent River’’ qui se déverse ensuite dans le réservoir des Grands Lacs. À l’époque, peu ou pas d’emplois étaient offertes aux personnes d’origine autochtone jusqu’en 1970 lorsque monsieur Assinewi fut embauché. Par exemple, Martin Assinewi combat désormais un cancer depuis plusieurs années et n’a travaillé que 15 à la mine.
Ed Burt, un fermier résident sur l’Ile Malytoland à quelques kilomètres d’Elliot Lake, et au confluent de la ‘’Serpent River’’, croit fermement que le vent charrie souvent des poussières et des radioéléments jusqu’à sa ferme et qu’il subsiste d’énormes quantités de Radium dans l’eau qu’il utilise pour arroser son jardin et abreuver son cheptel de vaches. Selon lui, même en fonction de la réglementation actuelle, les grenouilles, les mille-feuilles, les joncs, les mousses de lichens et nénuphars absorberaient les isotopes de l’uranium et les font entrer dans tout le cycle de la chaîne alimentaire jusqu’à l’homme (comparativement en France le lait et le fromage des vaches broutant de l’herbe est radioactif à un taux de 100 Bq/litre). Ceux qui travaillent pour les agences de surveillance et de réglementation ont souvent œuvré auparavant pour les mêmes compagnies énergétiques et ne semblent pas avoir fait la transition de métier afin de redevenir impartiaux puisqu’il semble souvent que les agences indépendantes défendent un peu trop les intérêts des compagnies minières au lieu de les contrôler adéquatement et de faire leur devoir de surveillance. Selon monsieur Burt, les gouvernements et les agences jouent à un jeu très dangereux avec la vie des Canadiens et Canadiennes.
À 80 kilomètres en aval de la mine sur la rivière du Serpent juxtaposée au village oũ il y habite quelques centaines d’Ojibwé, se tenait jadis une fabrique d’acide sulfurique ayant pour but l’alimention des bassins de purification de certaines usines d’uranium au Canada. À la fin de sa production l’armée canadienne a fait explosé le bâtiment, poutant les responsables en chef n’ont que très peu ramasser les décombres. Alors depuis 20 ans, la communauté a demandée de faire nettoyer le site mais sans succès apparent jusqu'à temps qu'une enquête de l’Institut International de la Santé Publique y répertorie plusieurs maladies et problèmes de santé apparents pour que finalement en 1988 soit déplacés les déchets. Le gouvernement a fini par acquiescer à leur demande sauf qu’il n’a fait que déplacer la terre souillée aux acides dans une autre municipalité plus loin ce qui ne fait que leur reléguer les fardeaux environnementaux. La femme médecin amérindienne Rosary Burtol affirme que les radiations finissent par affecter le développement intellectuel des nouvelles générations d’Amérindiens et d’Ontariens en les rendant encore plus incapables de se mobiliser contre les projets des mines ayant la possibilité de détruire leur existence et leur communauté.
Omer Séguin le responsable régional du syndicat des Métallos, raconta qu’en 1978 des taux élevés de Radium ont été détecté dans la rivière et que suite à ce constat une demande a été faite au Gouvernement du Canada, afin qu’une usine de traitement des eaux soit installée et filtre les dépôts restants de radioéléments. L’installation d’épuration a été construite, mais ne fournit de l’eau qu’à la communauté de blanc et non pas aux Amérindiens de l’autre côté du lac et de la rivière débordante de Radium. La réponse du gouvernement a été de répondre que cette question relevait plutôt de juridiction fédérale et que les affaires des blancs du provincial même si les recommandations du gouvernement stipulaient de ne pas boire ou manger de poisson de la rivière irradiée. Les animaux comme les orignaux vont par la suite aller s’abreuver à ces sources et contaminer les chasseurs autochtones. Les résidus miniers d’Elliot Lake, cheminent dans la ‘’Serpent River’’, ensuite dans la ‘’Sprag’’, se jetent dans l’immense réservoir des Grands Lacs et finalement aboutissent par décantation dans le Fleuve Saint-Laurent pour finir leur course dans l’océan Atlantique.
Les mines uranifères polluées de l'Ontario
Elliot Lake
Pronto Mine (1955–1970)
Buckles Mine (1956–1960)
Lacnor Mine "Lake Nordic" (1956–1960)
Nordic Mine (1956–1970)
Stanleigh Mine (1956–1960 et 1982–1996)
Spanish American Mine (1957–1959)
Can-Met Mine (1957–1960)
Milliken Mine (1957–1964)
Panel Mine (1957–1961 et 1978–1990)
Denison Mine (1957–1992)
Stanrock Mine (1958–1960 et 1964–1985)
Quirke Mine(s) (1955–1961 et 1965–1990)
Agnew Lake
Bancroft
Faraday/Madawaska Mine
Bicroft Mine
COLOMBIE BRITANNIQUE
En Colombie Britannique, selon le docteur Woollard de Clear Lake, des promoteurs miniers réussirent à obtenir les permissions officielles des agences et instances gouvernementales canadiennes de sureté nucléaire avec l'objectif d'y opérer une mine à flan de montagne en face de l’école primaire du village. Les citadins de la municipalité se sont rassemblés et ont contesté ce projet insensé à leur conseil municipal pour finalement empêcher la mine d’ouvrir dans un contexte aussi dangereux pour la sécurité et la santé des enfants et des adultes. Selon le docteur, les entreprises minières n’ont vraiment rien fait pour contrer les dangers qui sont pourtant connus depuis fort longtemps dans le monde médical et scientifique. Il subsisterait dans ce milieu une incapacité du gouvernement de réglementer adéquatement cette industrie plus que délinquante. L’industrie nucléaire en arrive à un bilan abominable, car il règne une incapacité de la part des gouvernements de réglementer correctement ce secteur d'activité minier. Les autorités et agences de sécurité ont autorisés des sites de stockage de déchets miniers concentrés en Saskatchewan avec des méthodes ne garantissant pas leur stabilité au-delà de quelques décennies seulement (ex : Cluff Lake). Les gouvernements en industriels pensent que les moyens de sécurité ne doivent protéger que les populations actuelles et non pas les générations futures qui seront prises avec ces nombreux fardeaux radioactifs sur les bras. De plus, il n’y a aucun accord international étant en mesure d’assurer que l’uranium canadien et ou québécois n’aboutira pas dans un missile d’un autre pays mal intentionné. Comme le gouvernement canadien n’est pas capable de nous le certifier il devrait arrêter immédiatement la production de gâteau jaune. Le gouvernement, l’industrie et les agences de surveillance nucléaire ne savent pas comment stocker les déchets de résidus miniers selon leurs propres plans et théories irréalisables projetant leurs fausses prédictions couvrant une période aussi longue que 200 000 ans. Ed Vance de la United Steelworker, stipule qu’aucune autre industrie ne connaît autant de maladies industrielles que celle du secteur nucléaire, et ce, même après la fermeture des mines. Une étude en 1982 du Commissaire de contrôle de l’Énergie Atomique, démontra qu'il y a 2 à 4 fois plus de cancer de poumon chez les travailleurs des mines d’uranium. Le risque de cancer pourrait doubler si on tenait compte d’une évaluation plus stricte en fonction de la norme de doses réglementaires et potentiellement acceptables.
Même si le gouvernement exige aux acheteurs que notre uranium ne soit utilisé qu’à des fins pacifiques, il n’y a rien qui peut nous le garantir car une fois que le combustible de poudre d’uranium a quitté le pays alors il peut être revendu à des terroristes ou bien être volé dans des installations nucléaires à faible niveau de sécurité afin de servir à l’enrichissement de bombes atomiques.
L’industrie du nucléaire coûte très cher à développer et est financé en grande partie par les contribuables canadiens qui héritent d’une grave responsabilité nucléaire et qui ne retire que peu de bénéfice monétaire à long terme, parce qu'au total très peu d’emplois sont générés a comparé les emplois non invasifs comme la pêche, la foresterie, son industrie de la fabrication et le tourisme.
En 1980 la Colombie-Britanique a décidé de signer un moratoire sur l’exploration et l’exploitation de l’uranium et depuis ce temps la population a cru bon de ne pas le modifier dans le but avoué de protéger son territoire des dangereux lobbys inquisiteurs du nucléaire mondiale. En 2008 a été instauré le Tenure Act for Uranium and Thorium, interdisant formellement toute autorisation de licence et de bail minier pour l’exploitation de minéraux radioactifs comme le Thorium et l’Uranium dans cette province canadienne. Le gouvernement de la Colombie Britannique a ensuite statué et assuré qu’il n’y aura plus de dépôts miniers uranifères en phase de développement.
En Colombie Britannique, selon le docteur Woollard de Clear Lake, des promoteurs miniers réussirent à obtenir les permissions officielles des agences et instances gouvernementales canadiennes de sureté nucléaire avec l'objectif d'y opérer une mine à flan de montagne en face de l’école primaire du village. Les citadins de la municipalité se sont rassemblés et ont contesté ce projet insensé à leur conseil municipal pour finalement empêcher la mine d’ouvrir dans un contexte aussi dangereux pour la sécurité et la santé des enfants et des adultes. Selon le docteur, les entreprises minières n’ont vraiment rien fait pour contrer les dangers qui sont pourtant connus depuis fort longtemps dans le monde médical et scientifique. Il subsisterait dans ce milieu une incapacité du gouvernement de réglementer adéquatement cette industrie plus que délinquante. L’industrie nucléaire en arrive à un bilan abominable, car il règne une incapacité de la part des gouvernements de réglementer correctement ce secteur d'activité minier. Les autorités et agences de sécurité ont autorisés des sites de stockage de déchets miniers concentrés en Saskatchewan avec des méthodes ne garantissant pas leur stabilité au-delà de quelques décennies seulement (ex : Cluff Lake). Les gouvernements en industriels pensent que les moyens de sécurité ne doivent protéger que les populations actuelles et non pas les générations futures qui seront prises avec ces nombreux fardeaux radioactifs sur les bras. De plus, il n’y a aucun accord international étant en mesure d’assurer que l’uranium canadien et ou québécois n’aboutira pas dans un missile d’un autre pays mal intentionné. Comme le gouvernement canadien n’est pas capable de nous le certifier il devrait arrêter immédiatement la production de gâteau jaune. Le gouvernement, l’industrie et les agences de surveillance nucléaire ne savent pas comment stocker les déchets de résidus miniers selon leurs propres plans et théories irréalisables projetant leurs fausses prédictions couvrant une période aussi longue que 200 000 ans. Ed Vance de la United Steelworker, stipule qu’aucune autre industrie ne connaît autant de maladies industrielles que celle du secteur nucléaire, et ce, même après la fermeture des mines. Une étude en 1982 du Commissaire de contrôle de l’Énergie Atomique, démontra qu'il y a 2 à 4 fois plus de cancer de poumon chez les travailleurs des mines d’uranium. Le risque de cancer pourrait doubler si on tenait compte d’une évaluation plus stricte en fonction de la norme de doses réglementaires et potentiellement acceptables.
Même si le gouvernement exige aux acheteurs que notre uranium ne soit utilisé qu’à des fins pacifiques, il n’y a rien qui peut nous le garantir car une fois que le combustible de poudre d’uranium a quitté le pays alors il peut être revendu à des terroristes ou bien être volé dans des installations nucléaires à faible niveau de sécurité afin de servir à l’enrichissement de bombes atomiques.
L’industrie du nucléaire coûte très cher à développer et est financé en grande partie par les contribuables canadiens qui héritent d’une grave responsabilité nucléaire et qui ne retire que peu de bénéfice monétaire à long terme, parce qu'au total très peu d’emplois sont générés a comparé les emplois non invasifs comme la pêche, la foresterie, son industrie de la fabrication et le tourisme.
En 1980 la Colombie-Britanique a décidé de signer un moratoire sur l’exploration et l’exploitation de l’uranium et depuis ce temps la population a cru bon de ne pas le modifier dans le but avoué de protéger son territoire des dangereux lobbys inquisiteurs du nucléaire mondiale. En 2008 a été instauré le Tenure Act for Uranium and Thorium, interdisant formellement toute autorisation de licence et de bail minier pour l’exploitation de minéraux radioactifs comme le Thorium et l’Uranium dans cette province canadienne. Le gouvernement de la Colombie Britannique a ensuite statué et assuré qu’il n’y aura plus de dépôts miniers uranifères en phase de développement.
SASKATCHEWAN
En 1989, il y avait 3 mines à ciel ouvert au nord de la Saskatchewan du nom de Cluff Lake, Key Lake et Collins Bay au bord du lac Wallasting, où l’on a construit une digue et enlevé l’eau du lac pour aller chercher la poudre d’uranium sous celui-ci dans le fond du lac. Et pourtant en face se trouve le village de la tribu des Itchépéwayan comprenant une population de 800 métis autochtones. Même si les politiciens promirent longtemps que les mines d’uranium apporteraient de la richesse aux Amérindiens et communautés du nord et bien elle n’a hérité que d’énormes problèmes de pollution, de malformations génétiques, d’épidémies de cancers mais de très peu de dividendes. Entre 1981 et 1989, il y a eu 90 déversements radioactifs qui ont été répertoriés dans les environs de la mine du Lac Wallasting. Pourtant, plusieurs habitants des premières nations doivent s’alimenter en poissons dans les lacs et rivières avoisinantes et accepter invariablement les dangers de contamination nucléaire de la faune aquatique. Le gouvernement canadien a quand même autorisé 3 autres projets de mines dans la zone de la ‘’Serpent’’ en Ontario et du village des Itchépéwayan en Saskatchewan.
La mine de Key Lake a ouvert en 1983 et est devenue la plus riche exploitation uranifère du Canada en 1990. Au début la compagnie se venta comme à l’habitude d’opérer la mine la plus sûre du monde et d’utiliser les techniques les plus avancés prônés dans le forage minier sécuritaire faisant en sorte que leurs 450 employés ne devraient plus subir d’irradiation. Le vice-président de la société minière Key Lake, raconta que les mesures de sécurité ont grandement évolué depuis 30 ans et que les exploitants essayent même d’en faire plus. Sur leur site d'exploitation afin d'accéder au minerai, ils ont dû drainer l’eau d’un lac en la pompant pour ensuite l’assécher lentement jusqu’à obtenir l’emplacement d’une mine à ciel ouvert. La conséquence résultante a été que l’eau de pluie et de ruissellement a quand même continué à s’infiltrer dans la mine en soulevant les particules radioactives du fond et les faisant converger vers les autres sources d’eau a proximité. La compagnie a dû creuser une tranchée menant à un bassin artificiel temporaire permettant d’accumuler les surplus d’eaux usées radiantes et de réutiliser cette eau plus tard pour traitement. Et pourtant, lors de la période des fêtes au mois de décembre ; une réduction du nombre de personnels à l’usine de concentration de l’uranium, une absence de système d’alerte des jauges et un manque de vigilance du niveau de l’eau des réservoirs a fait en sorte qu’un débordement majeur survint dans les installations. À minuit seulement, le contremaître en charge fut informé de la situation catastrophique lorsqu’il était déjà trop tard pour retarder l’accident nucléaire. En débordant du réservoir, 100 millions de litres d’eau ont inondés les installations, la route et la machinerie ce qui a entraîné la formation d’un lac radioactif très riche en Radium (reconnu pour sa propriété à donner le cancer des os). La minière a dû même construire d’urgence une digue en terre de quelques pieds de hauteur afin d’empêcher l’eau de se répandre plus loin sur le site et dans la nature. Il eut 8 autres accidents de ce genre depuis l’ouverture de la mine et à l’époque le président de la Key Lake osa affirmer que ces débordements fréquents n’ont aucune incidence sur l’environnement et ont un impact nul sur la nature. Cette attitude tend vers un aveuglement volontaire des minières nucléaires ou bien de la nécessité égoïstes de cacher la vérité catastrophique leur faisant courir inutilement la chance d’être emprisonné pour de graves crimes environnementaux.
À Cluff Lake, les déchets résiduels concentrés ont été entreposés dans des caissons de béton ordinaire supposé durer un minimum de 100 ans et pourtant après 6 ans seulement les conteneurs connurent d’importantes fuites de liquides jaunâtres radioactifs nocifs.
Les mesures de sécurité prises avec toutes les précautions du monde resteront extrêmement toxique et nuisible pour les êtres vivants et l’environnement, quel qu’il soit sur Terre. Les seuils de nocivité des normes officielles actuelles restent trop basses et fabriquées sur mesure pour l’industrie nucléaire (ex, A.I.E.A., etc). Il n’y a qu’à regarder comment le gouvernement fédéral conservateur a su en quelques années seulement abolir le protocole de Kyoto, accru les accords et échanges commerciaux internationaux sur l’énergie des sables bitumineux, diminué les budgets de recherche scientifique accordés sur l'étude des écosystèmes en déréglementant les lois environnementales afin de faciliter et d’accélérer l’installation et la production des pipelines pétroliers d’est en ouest à travers tout le territoire canadien.
L’activiste Winona Laduc, a étudié le problème de la contamination radioactive des tribus natives Navaro dans le sud-ouest des États-Unis et de la hausse du cancer du poumon chez les mineurs ainsi que sur le reste de cette cohorte de population autochtone. Une étude a donc été menée par un groupe de médecins américains et a démontré les effets classiques de la radioactivité sur le corps humain, comme une incidence plus fréquente des cas d’anomalies génétiques chez les bébés, d’infirmité congénitale, de palais fendu et de trisomie-21 affectant les amérindiens Navaros.
Jannet Fits, une écrivaine canadienne des premières nations du Nord de la Saskatchewan, affirma que plus personne de son village ne pourra continuer à habiter aussi proche des mines contaminées si les compagnies nucléaires font tout sauter aux explosifs pour creuser des trous. Dotées d’importantes sommes d’argent, les entreprises minières peuvent payer et acheter n’importe qui pour aller faire de la prospection sur leur territoire et cela sans demander la permission aux habitants concernés. Les compagnies ne semblent donc pas se préoccuper du sort des communautés autochtones et font comme si elles n’existaient pas et se confondaient avec les artéfacts de la nature ambiante. Personne n’aime être délogé de son milieu de vie et voir son terrain pollué par des quantités infinies de pollution mortelle sans même en être consulté auparavant. Les exploiteurs uranifères pensent que ce qu’ils font avec les territoires des peuples autochtones un peu partout autour de la planète ne les concerne pas personnellement, mais ils ne réalisent pas que bientôt ce sera également leurs terres qui seront polluées à jamais aux radionucléides par l’entremise des mines d’uranium et des bombes atomiques qui risquent de leur tomber sur la tête. Pour fournir un exemple banal, vu son niveau de dangerosité réel il ne serait pas conseillé aux familles canadiennes de faire un pique-nique estival dans le Nord de la Saskatchewan sous peine d’absorber les nombreux polluants nucléaires disséminés au sol sur les végétaux (plantes, pelouse, arbustes, etc) et le sol (terre, galise, sable, gravier, etc).
Saskatoon
Lorado Mine
En 1989, il y avait 3 mines à ciel ouvert au nord de la Saskatchewan du nom de Cluff Lake, Key Lake et Collins Bay au bord du lac Wallasting, où l’on a construit une digue et enlevé l’eau du lac pour aller chercher la poudre d’uranium sous celui-ci dans le fond du lac. Et pourtant en face se trouve le village de la tribu des Itchépéwayan comprenant une population de 800 métis autochtones. Même si les politiciens promirent longtemps que les mines d’uranium apporteraient de la richesse aux Amérindiens et communautés du nord et bien elle n’a hérité que d’énormes problèmes de pollution, de malformations génétiques, d’épidémies de cancers mais de très peu de dividendes. Entre 1981 et 1989, il y a eu 90 déversements radioactifs qui ont été répertoriés dans les environs de la mine du Lac Wallasting. Pourtant, plusieurs habitants des premières nations doivent s’alimenter en poissons dans les lacs et rivières avoisinantes et accepter invariablement les dangers de contamination nucléaire de la faune aquatique. Le gouvernement canadien a quand même autorisé 3 autres projets de mines dans la zone de la ‘’Serpent’’ en Ontario et du village des Itchépéwayan en Saskatchewan.
La mine de Key Lake a ouvert en 1983 et est devenue la plus riche exploitation uranifère du Canada en 1990. Au début la compagnie se venta comme à l’habitude d’opérer la mine la plus sûre du monde et d’utiliser les techniques les plus avancés prônés dans le forage minier sécuritaire faisant en sorte que leurs 450 employés ne devraient plus subir d’irradiation. Le vice-président de la société minière Key Lake, raconta que les mesures de sécurité ont grandement évolué depuis 30 ans et que les exploitants essayent même d’en faire plus. Sur leur site d'exploitation afin d'accéder au minerai, ils ont dû drainer l’eau d’un lac en la pompant pour ensuite l’assécher lentement jusqu’à obtenir l’emplacement d’une mine à ciel ouvert. La conséquence résultante a été que l’eau de pluie et de ruissellement a quand même continué à s’infiltrer dans la mine en soulevant les particules radioactives du fond et les faisant converger vers les autres sources d’eau a proximité. La compagnie a dû creuser une tranchée menant à un bassin artificiel temporaire permettant d’accumuler les surplus d’eaux usées radiantes et de réutiliser cette eau plus tard pour traitement. Et pourtant, lors de la période des fêtes au mois de décembre ; une réduction du nombre de personnels à l’usine de concentration de l’uranium, une absence de système d’alerte des jauges et un manque de vigilance du niveau de l’eau des réservoirs a fait en sorte qu’un débordement majeur survint dans les installations. À minuit seulement, le contremaître en charge fut informé de la situation catastrophique lorsqu’il était déjà trop tard pour retarder l’accident nucléaire. En débordant du réservoir, 100 millions de litres d’eau ont inondés les installations, la route et la machinerie ce qui a entraîné la formation d’un lac radioactif très riche en Radium (reconnu pour sa propriété à donner le cancer des os). La minière a dû même construire d’urgence une digue en terre de quelques pieds de hauteur afin d’empêcher l’eau de se répandre plus loin sur le site et dans la nature. Il eut 8 autres accidents de ce genre depuis l’ouverture de la mine et à l’époque le président de la Key Lake osa affirmer que ces débordements fréquents n’ont aucune incidence sur l’environnement et ont un impact nul sur la nature. Cette attitude tend vers un aveuglement volontaire des minières nucléaires ou bien de la nécessité égoïstes de cacher la vérité catastrophique leur faisant courir inutilement la chance d’être emprisonné pour de graves crimes environnementaux.
À Cluff Lake, les déchets résiduels concentrés ont été entreposés dans des caissons de béton ordinaire supposé durer un minimum de 100 ans et pourtant après 6 ans seulement les conteneurs connurent d’importantes fuites de liquides jaunâtres radioactifs nocifs.
Les mesures de sécurité prises avec toutes les précautions du monde resteront extrêmement toxique et nuisible pour les êtres vivants et l’environnement, quel qu’il soit sur Terre. Les seuils de nocivité des normes officielles actuelles restent trop basses et fabriquées sur mesure pour l’industrie nucléaire (ex, A.I.E.A., etc). Il n’y a qu’à regarder comment le gouvernement fédéral conservateur a su en quelques années seulement abolir le protocole de Kyoto, accru les accords et échanges commerciaux internationaux sur l’énergie des sables bitumineux, diminué les budgets de recherche scientifique accordés sur l'étude des écosystèmes en déréglementant les lois environnementales afin de faciliter et d’accélérer l’installation et la production des pipelines pétroliers d’est en ouest à travers tout le territoire canadien.
L’activiste Winona Laduc, a étudié le problème de la contamination radioactive des tribus natives Navaro dans le sud-ouest des États-Unis et de la hausse du cancer du poumon chez les mineurs ainsi que sur le reste de cette cohorte de population autochtone. Une étude a donc été menée par un groupe de médecins américains et a démontré les effets classiques de la radioactivité sur le corps humain, comme une incidence plus fréquente des cas d’anomalies génétiques chez les bébés, d’infirmité congénitale, de palais fendu et de trisomie-21 affectant les amérindiens Navaros.
Jannet Fits, une écrivaine canadienne des premières nations du Nord de la Saskatchewan, affirma que plus personne de son village ne pourra continuer à habiter aussi proche des mines contaminées si les compagnies nucléaires font tout sauter aux explosifs pour creuser des trous. Dotées d’importantes sommes d’argent, les entreprises minières peuvent payer et acheter n’importe qui pour aller faire de la prospection sur leur territoire et cela sans demander la permission aux habitants concernés. Les compagnies ne semblent donc pas se préoccuper du sort des communautés autochtones et font comme si elles n’existaient pas et se confondaient avec les artéfacts de la nature ambiante. Personne n’aime être délogé de son milieu de vie et voir son terrain pollué par des quantités infinies de pollution mortelle sans même en être consulté auparavant. Les exploiteurs uranifères pensent que ce qu’ils font avec les territoires des peuples autochtones un peu partout autour de la planète ne les concerne pas personnellement, mais ils ne réalisent pas que bientôt ce sera également leurs terres qui seront polluées à jamais aux radionucléides par l’entremise des mines d’uranium et des bombes atomiques qui risquent de leur tomber sur la tête. Pour fournir un exemple banal, vu son niveau de dangerosité réel il ne serait pas conseillé aux familles canadiennes de faire un pique-nique estival dans le Nord de la Saskatchewan sous peine d’absorber les nombreux polluants nucléaires disséminés au sol sur les végétaux (plantes, pelouse, arbustes, etc) et le sol (terre, galise, sable, gravier, etc).
Saskatoon
Lorado Mine
McArthur River
Eldorado, Beaverlodge Operation (Ace, Fay, etc.)
Eldorado, Beaverlodge Operation (Ace, Fay, etc.)
Cluff Lake
Cinch Lake Mine
Cinch Lake Mine
Cigar Lake
McArthur River uranium mine
McArthur River uranium mine
Key Lake
Rabbit Lake
Rabbit Lake
Cluff Lake mine
McClean Lake mine
McClean Lake mine
Gunnar Mine Cigar Lake Mine
URANIUM CITY
Durant la Guerre Froide, les Britanniques et les Américains allaient s’approvionner en uranium au Canada pour monter leur arsenal nucléaire. À l’époque les propriétaires de la mine ELDORADO payaient la quasi-totalité des infrastructures de la ville minière d’Uranium City. À cette époque, la production fonctionnait 24/24 heures pour alimenter le programme américain d’armement nucléaire en priorité avec des livraisons qui avaient lieu en secret afin de ne pas alerter l’opinion populaire.
Finalement, il y eut une baisse des contrats militaires à Uranium City dans les années 1960, cependant le gouvernement a continué la production pour amasser d’importants stocks de barils de poudre jaune, démarrer sa filière nucléaire canadienne en inventant sa série de réacteurs CANDU, et en offrant dorénavant ses combustibles au reste du monde pour la production d’énergie électrique. Après la crise du pétrole des années 1970, les pays occidentaux se tournèrent vers l’énergie nucléaire en pensant que c’était une solution miracle a comparé la vieille dépendance aux carburants fossiles. Toutefois, les promesses et bilans désastreux de l’industrie nucléaire à l’échelle mondiale en firent déchanter plusieurs lorsque les pays s’aperçurent des désavantages, des graves conséquences environnementales et des coûts liés au stockage des déchets à perpétuité par rapport au mince avantage d’une éphémère production d’électricité (accident de Tchernobyl en 1986). L’industrie canadienne profita donc de la vague pour étendre ses tentacules et organiser son contrôle mondial de l’énergie nucléaire. Uranium City au Canada possède de nos jours 102 habitants et jadis on y a opéré 33 mines dans la région durant le temps de la Guerre Froide. Personne ne parlait de la mine aux autres citoyens si quelqu’un ne savait pas ce qui s’y opérait sous la terre. Le photographe Charlie Sommers a habité là-bas durant les années de 1951 à 1974 et a pris beaucoup de photographies de la population dans leurs activités de vie. Comme un défilé ou les villageois déambulaient fièrement sur un chariot présentant des missiles nucléaires. La CANDU School, a été bâtie pour les jeunes de la communauté en l’honneur du nom des réacteurs d’ingénierie canadienne. La mine a fermé lorsqu’on a trouvé des gisements 20 fois plus riches à quelques kilomètres de distance d’Uranium City. Les mineurs d’aujourd’hui travaillent 2 semaines à la mine et repassent 1 semaine chez eux en congé. Un employé autochtone à la mine Cigar Lake, affirme que lui non plus n’est pas trop au courant des dangers de l’uranium et qu'il ne veut pas en savoir plus.
Le lac Negro du Canada a été gravement contaminé à la radioactivité et il n’y subsiste actuellement plus aucune forme de vie et activité biologique, puisque les radioéléments ont empoisonné sa faune et sa flore aquatique. Le lac Beaver qui est situé juste à côté n’est séparé que par une mine bande de terre de quelques mètres, ce qui fait en sorte que les radionucléides traversent lentement par les pores du sol et y intoxiques les microorganismes aquatiques.
À 1 heure de vol d’Uranium City se trouvent les compagnies CAMECO et AREVA (jadis la COGEMA) qui sont les 2 plus grands trusts miniers exploiteurs uranifères au Canada. À ces deux compagnies monopoles appartienne le ¼ du volume de l’uranium mondial. Chaque mine à sa propre piste d’atterrissage pour recevoir les employés et visiteurs réguliers. Sont disposés au Canada dans le Nord de la Saskatchewan : la mine Rabbit, McClean, le lac Key, le lac Cluff et la rivière McCarther. Selon Dean Classe, les propriétaires des mines en fonctionnement ont le droit de mener des explorations minières dans l’objectif de trouver de nouveaux gisements uranifères dans le but de maintenir leur rendement de production. Juste à côté du lac Athabaska à la mine Gounar, les installations minières ont été laissées sur place sans aucune surveillance, abandonnées depuis 40 ans sans même avoir été décontaminées préalablement.
De jeunes adolescentes canadiennes travaillent encore de nos jours à trouver des échantillons uranifères dans les prés et forêts d’Uranium City (la mère étant une responsable à la sécurité pour la Cameco), avec un ingénieur chargé de collecter et de répertorier sur les cartes le taux d’uranium détecté pour chaque extrait. Pourtant, aucune d’entre elles ne porte de vêtements de radioprotection, de masque ou de gants pouvant protéger leurs mains. Une fois retournées à la maison, elles prennent des mesures plus précises de la radioactivité ponctuelle de chaque sac de roche échantillonnale. Cependant, encore une fois les jeunes femmes engagées travaillent sans habits de protection et de murets de plomb ayant pu bloquer une partie des rayonnements ionisants. Elles mesurent des taux minimaux de 200 Bq/seconde jusqu’à 10 000 Bq/seconde, ce qui équivaut une dose irradiante annuelle majeure si elles y sont soumises quelques dizaines d’heures dans une semaine de 40 heures d’ouvrage normal. Habituellement, lorsque les compagnies veulent envoyer des colis d’échantillons radioactifs à des laboratoires par avion, bateau ou par camion, elles doivent placer les extraits dans des coffres de plomb blindé à partir d’un seuil d’émission de plus de 100 Bq/seconde.
L’uranium est envoyé à travers le Canada par camions à partir de la Saskatchewan dans des barils scellés et ce jusqu’en Ontario à l’usine de raffinage de Blind River. Une fois raffinée la poudre jaune est envoyée par camions à 600 kilomètres plus loin vers Port Hope et sera prête à vendre pour le marché international. Une autre partie de l’oxyde d’uranium serait réservé tout spécialement à l'usage de l’empire du United Kingdom.
Moratoires actuels des provinces sur l’exploration et l’exploitation de l’Uranium au Canada
1-Colombie Britannique (1980)
2-Ile du Prince Édouard
3-Nouvelle-Ecosse (1er janvier 1995)
4-Québec (28 mars 2013)
CANDU School
L’école que les entrepreneurs de la compagnie firent construire au nom de leur réacteur
Mine d’Elliot Lake en Ontario qui a fonctionné tout près d’une ville désormais irradiée
Étangs de boues radioactives usées tout près de la municipalité d’Elliot Lake en Ontario
Déversement hivernal des bassins d’eau radioactive de la mine d’uranium Key Lake
Enceinte de stockage en béton fuyant de produits radioactifs à Cluff Lake en Saskatchewan
Mine d’uranium contenu dans le sable au nord de la Saskatchewan au Canada
Prospection de minerai à Uranium City sans masque, combinaisons et gants de protection
Lac Beaver à côté d’un lac pollué aux substances radioactives contaminera lentement sa faune aquatique
Mines d’uranium à ciel ouvert en Saskatchewan
Le lac Wallasting au bord Collins Bay ou habite en face une population de 800 Itchépéwayans
Eau polluée se dirigeant par canalisation et allant contaminer l’environnement près de l’usine.
Mines d’Uranium au Québec
Plan Nord sans Uranium
Le Québec est la plus grande province du Canada avec une superficie de 1 667 441 km2. Le problème majeur de l’extraction de l’uranium au Québec est que si un jour le peuple québécois veut s’expansionner au-delà des rives du Fleuve Saint-Laurent pour se construire des villes populeuses plus au Nord, et bien elle ne pourra plus le faire sans être confronté à son sinistre passé minier encore très radioactif. Même si le Québec et le Labrador détiennent d’immenses territoires qui restent à coloniser par les prochaines nouvelles générations de jeunes hommes et femmes ne pourront plus y aller pour développer des villages et cités sécuritaires puisque tous ces territoires seront désormais hautement pollués et définitivement condamnés comme zone dangereuse ‘’sous surveillance’’ des anciens groupes des compagnies minières nucléaires. Le gouvernement et la population du Québec vont-ils laisser les compagnies nucléaires sacrifier et détruire leur territoire du jour au lendemain et ne laisser que des sols dont plus personne ne voudra et ne saura quoi en faire parce que rendus incultivables et impropres à la consommation des fruits de la terre ? Avec les mines d’uranium, oubliez les temps ou vous pouviez déguster en toute sécurité un délicieux repas de poissons dorés ou de saumon, un bon steak de chevreuil ou d’orignal car les chances que vous absorbiez des radioéléments seront encore bien plus probables. Vendre son territoire et signer un contrat avec l’industrie minière nucléaire équivaut à vendre son âme au diable et signer un pacte nous envoyant en enfer pour au moins 4,5 milliards d’années.
Des explorations avancées ont eu lieu pour l'instant en Haute-Laurentide, dans le secteur de Témiscaming, de Gatineau, de La Grande, de Saguenay, de la Côte-Nord, de la rivière George, du secteur Gayot, Minto, du Lac Cambrien et Torngat près du Labrador. Jusqu’en 2005, le Gouvernement du Québec aurait gaspillé 20 à 40 millions de dollars canadiens pour financer des compagnies minières telles que STRATECO, et ce, à même les frais de contribuables qui n’ont pas trop été informés, car on ne leur explique pas clairement à quoi sert leur si précieux argent. Conséquement, avec son propre pouvoir d’investissement la population québécoise se fera polluer elle-même par les minières uranifères de manière irréversible. L’entreprise Strateco, a fait dernièrement la manchette pour décrier le fait que les concitoyens gaspilleraient 16 millions de dollars pour l’audience publique du BAPE. Pourtant, ce processus parfaitement démocratique a été mis sur pied pour sonder l’opinion réelle des Québécois, des communautés, des réserves et des experts sur le développement social, environnemental et économique de leur propre avenir.
Du côté économique le Québec ne gagnerait presque rien au change si ce n’est que des problèmes de pollution et de la coûteuse décontamination des sols. Si nous prévoyons que les minières sont supposées retourner un 16% de redevance minière au gouvernement du Québec mais qu’elles ne le font pas tout le temps et que les autorités ne sont pas tenues de dévoiler les chiffres, ainsi on peut calculer quand même la marge de profit potentiel par rapport à l’investissement initial. Sans compter que tout l’argent et les profits générés par l’exploitation de l’uranium ne retourneront qu’en grande partie aux actionnaires et propriétaires des firmes et entreprises minières privées. Par exemple, si les chiffres des ressources stipulent qu’il y a approximativement un 315 000 tonnes d’uranium à exploiter a un prix de 50$/livre à 2 204 livres par tonne, cela donnerait un total de 110 200$/tonne vendus au nom des entreprises privées moins leurs investissements. Ensuite, si l’on compte que 315 000 tonnes d’U multipliés par 100 200$/tonnes égaleraient un gain de 34,71 milliards de dollars sur une période de 40 à 80 ans d’exploitation. Si l’on calcule le gain en redevance des Québécois, 16% de 15,75 milliards = 5,55 milliards de $. Donc le Québec devrait mettre en gage tout son territoire pour ne faire qu’un gain de 5 milliards sur 40 à 80 ans, ce qui est totalement ridicule et inconscient de la réalité des dangers occasionnés par la radioactivité dans l’environnement si l’ont se fît aux innombrables dommages collatéraux dans le monde. Et même si le prix mondial de l’uranium montait à 100$/livre, le fait de générer des profits de quelque 10 milliards de dollars est très peu, soit 5 milliards $ par période de 40 ans ou 1,2 milliard par période de 10 ans ou plutôt qu’un maigre 600 millions par 10 ans a 50$/livre d’uranium. Cette somme amassée se dépenserait en à peine quelques années de budget économique provincial et ne nous rendrait pas notre nature détruite et invivable nos rares biotopes et écosystèmes boréaux pour toute forme de vie. Il est temps que la population et les politiciens prennent enfin conscience de cette situation gravissime et évite l’hécatombe nucléaire pour les générations futures de québécois à naître. Il serait plus sage de ne pas laisser les compagnies minières saccager notre Province et nos territoires exeptionnels pour faire de l’argent rapidement sur notre dos au détriment de notre santé et de nos autres ressources naturelles et culturelles. Aucune entreprise ou autorité politique ne peut et n’a le droit de prendre le risque et la responsabilité de contaminer le Québec à jamais. Dans le cas contraire, les acteurs responsables verraient leurs noms calomniés et profanés par le peuple dans les pages noires de l’histoire du Québec.
Pollution radioactive des terres & des montagnes
Les zones les plus touchées par l’hécatombe nucléaire que l'extirpation massive de l'uranium dans les sols québécois entraînerait de la pollution se situant sur de grands territoires de contamination radioactive comme dans la région la plus au nord du Lac Minto, de Gayot, du Lac Cambrien, de la zone du Noyau, de Bienville, d'Apple, de Rupert, du secteur Othish, de Kipawa, de la Côte-Nord et des Hautes-Laurentides. Il est surprenant de voir que l’étude de la DIVEX, à la fin de leur analyse ils font une référence à un site minier allemand ayant été transformé en terrain de golf nucléaire, comme si la population québécoise était pour trouver amusant et anodin le fait de marcher sur un parcours 18 et de contaminer ses souliers, ses vêtements et de contracter plus tard un cancer. L’idée d’un Québec sain que l’on s’idéalise tous est très loin de cette métaphore plus que grossière et inconsciente. Lorsque la pluie des nuages chargés en isotopes monte et voyage dans l’air elle sera bloquée par le mur naturel que forment les montagnes des Appalaches et les Laurentides dans la région géologique de Grenville et la Province du Supérieur.
En 1986, au moment où le nuage radioactif de Tchernobyl à passé au-dessus de la Corse, alors il s’est accumulé à la cîme des montages et a laissé des dépôts en altitude (20 000 Bq/m2=> ville de Solaro, Ventiseri et Solenzara et à 10 000 Bq/m2 => Aleria, Zicavo, Zonza, Ghisonacci et Porto-Vecchio) contaminant les fermiers par l’entremise de leur fromage et lait de vache frais (17 600 Bq/litre le 3 mai et le 12 mai Iode-131 = 4 400 Bq/litre et Cesium-137 = 410 Bq/litre). Dans la zone des Hautes-Laurentides, deviendront donc pollués le réservoir Gouin, le Saint-Maurice, la ville de Parent, Maniwaki, Gatineau, le Mont-Laurier, le Mont Tremblant et la rivière des Outaouais. Donc à ces endroits, il se concentrera de plus en plus de radionucléides toxiques descendant les montagnes contamineront l’eau de ruissellement. Les usagés des montagnes comme dans les stations de ski seraient soumis à plus de radiation et d’ingestion d’uranium par inadvertance durant leurs loisirs. Dans le secteur Otish, la contamination radioactive va aller dans le Lac Mistassini, le Lac Albanel, la rivière Eastman et la rivière aux Outaouais le tout alimenter par les descentes d'eau provenant du Mont Otish, le Mont Tichégami et le Mont Témécamie et le Mont Veyrier à 1104 mètres d'altitude.
Les zones les plus touchées par l’hécatombe nucléaire que l'extirpation massive de l'uranium dans les sols québécois entraînerait de la pollution se situant sur de grands territoires de contamination radioactive comme dans la région la plus au nord du Lac Minto, de Gayot, du Lac Cambrien, de la zone du Noyau, de Bienville, d'Apple, de Rupert, du secteur Othish, de Kipawa, de la Côte-Nord et des Hautes-Laurentides. Il est surprenant de voir que l’étude de la DIVEX, à la fin de leur analyse ils font une référence à un site minier allemand ayant été transformé en terrain de golf nucléaire, comme si la population québécoise était pour trouver amusant et anodin le fait de marcher sur un parcours 18 et de contaminer ses souliers, ses vêtements et de contracter plus tard un cancer. L’idée d’un Québec sain que l’on s’idéalise tous est très loin de cette métaphore plus que grossière et inconsciente. Lorsque la pluie des nuages chargés en isotopes monte et voyage dans l’air elle sera bloquée par le mur naturel que forment les montagnes des Appalaches et les Laurentides dans la région géologique de Grenville et la Province du Supérieur.
En 1986, au moment où le nuage radioactif de Tchernobyl à passé au-dessus de la Corse, alors il s’est accumulé à la cîme des montages et a laissé des dépôts en altitude (20 000 Bq/m2=> ville de Solaro, Ventiseri et Solenzara et à 10 000 Bq/m2 => Aleria, Zicavo, Zonza, Ghisonacci et Porto-Vecchio) contaminant les fermiers par l’entremise de leur fromage et lait de vache frais (17 600 Bq/litre le 3 mai et le 12 mai Iode-131 = 4 400 Bq/litre et Cesium-137 = 410 Bq/litre). Dans la zone des Hautes-Laurentides, deviendront donc pollués le réservoir Gouin, le Saint-Maurice, la ville de Parent, Maniwaki, Gatineau, le Mont-Laurier, le Mont Tremblant et la rivière des Outaouais. Donc à ces endroits, il se concentrera de plus en plus de radionucléides toxiques descendant les montagnes contamineront l’eau de ruissellement. Les usagés des montagnes comme dans les stations de ski seraient soumis à plus de radiation et d’ingestion d’uranium par inadvertance durant leurs loisirs. Dans le secteur Otish, la contamination radioactive va aller dans le Lac Mistassini, le Lac Albanel, la rivière Eastman et la rivière aux Outaouais le tout alimenter par les descentes d'eau provenant du Mont Otish, le Mont Tichégami et le Mont Témécamie et le Mont Veyrier à 1104 mètres d'altitude.
Montagnes de déchets radioactifs de retraitement
Les mines d’uranium sont aussi reconnues pour créer de titanesques montagnes de pierres et de boues d’usinage radioactives qui sont impossible à déplacer une fois qu’elles ont été plantées dans le décor naturel. Les montagnes de déchets nucléaires sont si imposantes qu’elles irradient des quantités astronomiques de radiations mutagènes et de poussières isotopiques qui risqueraient de s’épandre à la grandeur de la Province.
Les mines d’uranium sont aussi reconnues pour créer de titanesques montagnes de pierres et de boues d’usinage radioactives qui sont impossible à déplacer une fois qu’elles ont été plantées dans le décor naturel. Les montagnes de déchets nucléaires sont si imposantes qu’elles irradient des quantités astronomiques de radiations mutagènes et de poussières isotopiques qui risqueraient de s’épandre à la grandeur de la Province.
Sommets les plus hauts du Québec où s’accumuleraient les radioéléments nucléaires
Mont Altitude (M) Chaine Région
d'Iberville 1588 Monts Torngat Kativik
Belle Fontaine 1295 Laurentides Québec
Jacques-Cartier 1268 Appalaches Gaspésie
Jacques- Rousseau 1261 Monts Torngat Kativik
Les Cénes 1189 Appalaches Gaspésie
Gosford 1186 Appalaches Estrie
Sutton 1186 Appalaches Montérégie
Richardson 1184 Appalaches Gaspésie
Logan 1135 Appalaches Bas-Saint-Laurent
Yapeitso 1128 Laurentides Saguenay-Lac-Saint-Jean
La Québécoise 1125 Laurentides Québec
Groulx 1115 Laurentides Cote-Nord
Mégantic 1105 Appalaches Estrie
Veyrier 1104 Laurentides Cote-Nord
des Loupes 1077 Appalaches Bas-Saint-Laurent
Dodge 1077 Appalaches Bas-Saint-Laurent
Qarqaaluk, Colline 1069 Monts Torngat Kativik
Jauffret 1065 Laurentides Cote-Nord
Jean-Hébert 1065 Laurentides Québec
des Conscrits 1006 Laurentides Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Pollution nucléaire de l’atmosphère (air, nuage, précipitations)
Les vents dominants dans l’est du Québec sont du sud-est ou du nord-est d’une vitesse moyenne de 60 à 90 kilomètres/heure. Il y a encore plus d’eau dans l’atmosphère à cause de la proximité avec l’estuaire du Fleuve Saint-Laurent et l’océan Atlantique à l’extrémité près du Labrador ce qui charierais les radio-isotopes à même les masses nuageuses. La rivière Churchill dans les Monts Urapakash risque de faire descendre les radioéléments à travers les vallées du Labrador. La ville de Labrador City sera également contaminée, Churchill Falls ainsi que le réservoir Smallwood. Les Monts Kapatahkatnahiu feront descendent l'eau de ruissellement en aspergeant la Cote-Nord jusqu’au Fleuve Saint-Laurent. Des états nuageux sont plus fréquents qu’à la normale, en plus de brouillard que d’état ensoleillé. La température de l’air se situe de -18 à -9 degrés Celsius en hiver et de 9 à 23 degrés Celsius en été. Comme cette région est positionnée dans une vallée il y aurait plus de précipitations radioactives sous forme de verglas tombant au sol et adhérant aux infrastructures québécoises (pont, route, viaducs, bâtiments, écoles, etc). Il tombe environ 2 000 mm de pluie par année advenant fréquemment grâce à des averses en été.
Les vents dominants dans l’ouest du Québec sont du sud-ouest ou du nord-est avec des vitesses de 60 kilomètres/heure. La balance de journée ensoleillée équivalerait le nombre de journées nuageuses. En moyenne environ 4 tornades adviennent à chaque année dans cette région ce qui risquerait par malchance de soulever énormément de poussières des mines uranifères et l’épandre localement et à la surface du grand Québec.
Il tombe approximativement 1100 mm de pluie annuellement par les orages en été. Ce qui serait suffisant pour contaminer l’air et ensuite les sols ainsi que les cultures agricoles. Les précipitations hivernales font tomber en moyenne 10 centimètres par tempêtes de neige, ce qui redistribuerait les radioéléments à chaque tombée de neige. C’est un climat humide et de plus en plus chaud à cause du réchauffement climatique ce qui peut encore augmenter sensiblement le transport des particules radioactives via les gouttelettes d’eau en suspension dans l’air de la vallée du Fleuve.
Les vents dominants dans l’est du Québec sont du sud-est ou du nord-est d’une vitesse moyenne de 60 à 90 kilomètres/heure. Il y a encore plus d’eau dans l’atmosphère à cause de la proximité avec l’estuaire du Fleuve Saint-Laurent et l’océan Atlantique à l’extrémité près du Labrador ce qui charierais les radio-isotopes à même les masses nuageuses. La rivière Churchill dans les Monts Urapakash risque de faire descendre les radioéléments à travers les vallées du Labrador. La ville de Labrador City sera également contaminée, Churchill Falls ainsi que le réservoir Smallwood. Les Monts Kapatahkatnahiu feront descendent l'eau de ruissellement en aspergeant la Cote-Nord jusqu’au Fleuve Saint-Laurent. Des états nuageux sont plus fréquents qu’à la normale, en plus de brouillard que d’état ensoleillé. La température de l’air se situe de -18 à -9 degrés Celsius en hiver et de 9 à 23 degrés Celsius en été. Comme cette région est positionnée dans une vallée il y aurait plus de précipitations radioactives sous forme de verglas tombant au sol et adhérant aux infrastructures québécoises (pont, route, viaducs, bâtiments, écoles, etc). Il tombe environ 2 000 mm de pluie par année advenant fréquemment grâce à des averses en été.
Les vents dominants dans l’ouest du Québec sont du sud-ouest ou du nord-est avec des vitesses de 60 kilomètres/heure. La balance de journée ensoleillée équivalerait le nombre de journées nuageuses. En moyenne environ 4 tornades adviennent à chaque année dans cette région ce qui risquerait par malchance de soulever énormément de poussières des mines uranifères et l’épandre localement et à la surface du grand Québec.
Il tombe approximativement 1100 mm de pluie annuellement par les orages en été. Ce qui serait suffisant pour contaminer l’air et ensuite les sols ainsi que les cultures agricoles. Les précipitations hivernales font tomber en moyenne 10 centimètres par tempêtes de neige, ce qui redistribuerait les radioéléments à chaque tombée de neige. C’est un climat humide et de plus en plus chaud à cause du réchauffement climatique ce qui peut encore augmenter sensiblement le transport des particules radioactives via les gouttelettes d’eau en suspension dans l’air de la vallée du Fleuve.
Pollution radioactive des lacs et rivières (uranium, thorium polonium, bismuth, etc)
La distribution hydrographique du Québec étant très riche et ramifiée, une production d’uranium risquerait de faciliter le transport de radio-isotopes uranifères sur de très longues distances sans que l’on puisse les empêcher de progresser. Et ce, même en détournant quelques petites rivières à gauche et à droite comme le préconise la mafia du nucléaire (sans succès apparent près des bassins radioactifs de Limoge en France). L’incontournable problème étant que 25 % des réserves d’eau douce de la planète Terre est contenu sur nos territoires et l’extraction d’uranium polluerait définitivement cette richesse inouïe dans l’entièreté du système solaire. Ce serait un véritable sacrifice du patrimoine de l’humanité que de gaspiller toute cette eau qui vaudra pourtant de plus en plus cher dans un futur à cause du réchauffement climatique et la montée d’eaux salées des océans qui rendent l’eau douce très rare. Donc en cas d’exploitation minière d’uranium continu au Québec, les isotopes radioactifs seraient ainsi relâchés en quantité massive dans l’eau douce des lacs et rivières et se retrouveraient à des milliers de kilomètres de leur lieu d’origine en polluant partout au passage les centaines d’espèces du biotope aquatique et contamineraient toute la chaîne alimentaire québécoise. Dans le secteur de La Grande, les mines d'uranium contamineraient le Lac Sakami, le réservoir Opinaca, le Lac Clarkie au sud, le réservoir Robert Bourassa au nord, le réservoir LG-3 et par la suite LG-4 jusqu'à la Grande Rivière de la Baleine. Tout dépendamment des types de roches dans le nid des rivières et puis l’uranium et ses descendants stagneront plus ou moins sur place, or tôt ou tard ils finiront par être lessivé avec les pluies torrentielles de l’été ou lors de la fonte des neiges au printemps.
Dans les régions du Goyot et du Lac Cambrien seront rapidement pollués la rivière aux Mélèzes, le réservoir Caniapiscau, le lac le Moyne, le lac Lacuash, le lac Forêt et le lac Chateauguay. La fonte des neiges printanières engendrerait donc un brassage rapide, une décantation et une déportation lointaine de tous les radioéléments autour des mines et par la suite dans la vallée du Saint-Laurent. Sur les terres du secteur Témiscaming seront détruits les écosystèmes biologiques du réservoir Dozois, le réservoir Cabonga, la ville d'Amos, de Rouin-Noranda, de Val-d'Or, Lebel-sur-Quévillon, la rivière Belle et les montagnes de Dalhousie. Dans la zone uranifère Minto, serait polluée à l'uranium pour des millions d'années le lac Minto, la rivière aux Feuilles, la rivière des Mélèzes, la Rivières Delay et le Lac à l'Eau Claire devenue radioactive et mortellement toxique pour la faune et la flore.
Bassins et lacs artificiels d’eau de retraitement radioactive
Il ne faut surtout pas oublier non plus que les mines d’uranium aménagent toujours de grands lacs artificiels radioactifs qui se juxtaposeront à nos plans de lacs et rivières naturelles, les contaminants du même coup. Ces immenses superficies d’eau polluée sont impossibles à transférer ailleurs, à traiter convenablement pour la rendre potable et empoisonneront les animaux et les plantes qui auront la malchance d’avoir leurs habitats tout près de l’une de ces sources importantes de déchets nucléaires uranifères.
Liste des rivières et bassins versants potentiellement touchés par les contaminants des mines d’uranium
Anglais, aux - Saint-Laurent nord-est
Batiscan - Saint-Laurent nord-ouest
Bayonne - Saint-Laurent nord-ouest
Bécancour - Saint-Laurent sud-est
Bédard Saguenay et lac Saint-Jean
Bonaventure - Baie des Chaleurs et Percé
Bourlamaque - Baies de Hannah et de Rupert
Boyer - Saint-Laurent sud-est
Cascapédia
Baie des Chaleurs et Percé
Chaloupe, la Saint-Laurent nord-ouest
Châteauguay - Saint-Laurent sud-ouest
Chaudière - Saint-Laurent sud-est
Coulonge Outaouais et Montréal (04)
Escoumins - Saint-Laurent nord-est
Etchemin - Saint-Laurent sud-est
Fouquette - Saint-Laurent sud-est
Gatineau - Outaouais et Montréal
Harricana Baies de Hannah et de Rupert
Jacques-Cartier - Saint-Laurent nord-ouest
Kamouraska - Saint-Laurent sud-est
Kinojévis Outaouais et Montréal
L'Assomption - Saint-Laurent nord-ouest
Lièvre, du - Outaouais et Montréal
Loup, du - Saint-Laurent nord-ouest
Loup, du - Saint-Laurent sud-est
Madawaska Baie des Chaleurs et Percé
Malbaie Saint-Laurent nord-ouest
Manicouagan Saint-Laurent nord-est
Mars à - Saguenay et lac Saint-Jean (06)
Mascouche Outaouais et Montréal (04)
Maskinongé - Saint-Laurent nord-ouest
Matane Saint-Laurent sud-est
Matapédia - Baie des Chaleurs et Percé
Mille Îles, des Outaouais et Montréal
Missisquoi, baie - Saint-Laurent sud-ouest
Mitis Saint-Laurent sud-est
Moisie Saint-Laurent nord-est
Montmorency - Saint-Laurent nord-ouest
Moulin, du - Saguenay et lac Saint-Jean
Nicolet - Saint-Laurent sud-ouest
Nord, du - Outaouais et Montréal
Nouvelle Baie des Chaleurs et Percé
Outaouais, des Outaouais et Montréal
Outardes, aux Saint-Laurent nord-est
Prairies, des Outaouais et Montréal
Richelieu - Saint-Laurent sud-ouest
Rimouski - Saint-Laurent sud-est
Rouge Outaouais et Montréal
Saguenay Saguenay et lac Saint-Jean
Saint-Charles - Saint-Laurent nord-ouest
Saint-François - Saint-Laurent sud-ouest
Saint-Maurice - Saint-Laurent nord-ouest
Sainte-Anne - Saint-Laurent nord-ouest
Sainte-Anne Saint-Laurent sud-est
Sud, du Saint-Laurent sud-est
Ticouapé Saguenay et lac Saint-Jean
Yamaska - Saint-Laurent sud-ouest
York - Saint-Laurent sud-est
Pollution en radionucléides dans l’eau du Fleuve Saint-Laurent
Le Fleuve Saint-Laurent est en moyenne à 75 mètres plus haut que le niveau de la mer, a un débit moyen de 12 309 mètres cube par seconde et est d’une longueur de 1 140 kilomètres. Comme on l’a vu, les radioéléments émanant par milliers des mines risquent de descendre la chaîne montagneuse des Appalaches et Laurentides québécoises et de se déverser dans le Fleuve Saint-Laurent. Ce flot de pollution va atteindre mortellement toute la flore et la faune aquatique de notre province pour une période de 14 milliards d’années avec le Thorium-232.
Avec le problème particulier de l’extraction de l’Uranium par les lobbys du nucléaire sur la Côte-Nord québécoise, ainsi l’uranium extrait va graduellement ruisseler la pente sud-est des Laurentides sur des dizaines voire des centaines d’années, gagner les cours d’eau comme les ruisseaux, les lacs et mêmes les nappes phréatiques. Et finalement, l’uranium radioactif va remonter avec les courants de surface vers la côte Gaspésienne, l’île d’Anticosti et de la Rive-Sud de l’estuaire du Fleuve. Remonter partiellement par les courants en profondeur (moins rapides et contraire au sens des courrants de surface) vers la grande agglomération de Québec et de Montréal.
Une pollution de grande envergure du Fleuve, signifie également une contamination des nappes phréatiques et couches aquifères en profondeur, celles-ci alimentant souvent l’aqueduc des villes et villages de la Province. Un fait important aussi à noter, est que les minières uranifères pomperaient de phénoménales quantités d’eau dans les couches aquifères et ou dans le Fleuve Saint-Laurent pour nettoyer les pierres ce qui polluerait directement des milliards de litres de notre ressource naturelle et ensuite les foyers qui s’en abreuveraient.
Liste des espèces menacées ou qui risquent de l’être encore plus à cause des hauts taux de radioéléments supplémentaires dispersés dans la nature par l’industrie minière uranifère
Poissons
Alose savoureuse
Alosa sapidissima
Chevalier de rivière
Moxostoma carinatum
Éperlan arc-en-ciel, population du sud de l'estuaire du Saint-Laurent
Osmerus mordax
Fouille-roche gris
Percina copelandi
Méné d'herbe
Notropis bifrenatus
Amphibiens
Rainette faux-grillon de l'Ouest
Pseudacris triseriata
Salamandre pourpre
Gyrinophilus porphyriticus
Tortues
Tortue des bois
Glyptemys insculpta
Tortue géographique
Graptemys geographica
Oiseaux
Aigle royal
Aquila chrysaetos
Arlequin plongeur
Histrionicus histrionicus
Faucon pèlerin anatum
Falco peregrinus anatum
Garrot d'Islande
Bucephala islandica
Grive de Bicknell
Catharus bicknelli
Petit blongios
Ixobrychus exilis
Pygargue à tête blanche
Haliaeetus leucocephalus
Mammifères
Caribou des bois, écotype forestier
Rangifer tarandus
Ours blanc
Ursus maritimus
Espèces menacées
Poissons
Chevalier cuivré
Moxostoma hubbsi
Dard de sable
Ammocrypta pellucida
Lamproie du Nord
Ichthyomyzon fossor
Amphibiens
Salamandre sombre des montagnes
Desmognathus ochrophaeus
Tortues
Tortue luth
Dermochelys coriacea
Tortue mouchetée
Emys blandingii
Tortue musquée
Sternotherus odoratus
Tortue-molle à épines
Apalone spinifera
Oiseaux
Grèbe esclavon
Podiceps auritus
Paruline azurée
Dendroica cerulea
Pie-grièche migratrice
Lanius ludovicianus
Pic à tête rouge
Melanerpes erythrocephalus
Pluvier siffleur
Charadrius melodus
Râle jaune
Coturnicops noveboracensis
Sterne caspienne
Sterna caspia
Sterne de Dougall
Sterna dougallii
Mammifères
Béluga, population de l'estuaire du Saint-Laurent
Delphinapterus leucas
Carcajou
Gulo gulo
Caribou des bois, écotype montagnard, population de la Gaspésie
Rangifer tarandus
Insectes
Satyre fauve des Maritimes
Coenonympha nipisiquit
Liste des espèces de la faune susceptibles d'être potentiellement menacées ou vulnérables à la radioactivité
Poissons
Anguille d’Amérique Anguilla rostrata
Barbotte jaune Ameiurus natalis
Brochet maillé Esox niger
Brochet vermiculé
Esox americanus vermiculatus
Brosme Brosme brosme
Chaboisseau à quatre cornes Myoxocephalus quadricornis
Chabot de profondeur Myoxocephalus thompsonii
Chat-fou des rapides Noturus flavus
Chat-fou liséré
Noturus insignis
Cisco de printemps
Coregonus artedi
Crapet à longues oreilles Lepomis megalotis
Dard arc-en-ciel
Etheostoma caeruleum
Esturgeon jaune
Acipenser fulvescens
Esturgeon noir
Acipenser oxyrinchus
Loup à tête large Anarhichas denticulatus
Loup atlantique Anarhichas lupus
Loup tacheté Anarhichas minor
Maraîche Lamna nasus
Méné laiton
Hybognathus hankinsoni
Morue franche, population des Maritimes Gadus morhua
Morue franche, population nord-laurentienne Gadus morhua
Omble chevalier oquassa
Salvelinus alpinus oquassa
Raie tachetée Leucoraja ocellata
Requin bleu Prionace glauca
Tête rose Notropis rubellus
Amphibiens
Grenouille des marais
Lithobates palustris
Rainette faux-grillon boréale
Pseudacris maculata
Salamandre à quatre orteils
Hemidactylium scutatum
Salamandre sombre du Nord
Desmognathus fuscus
Serpents
Couleuvre à collier Diadophis punctatus
Couleuvre brune
Storeria dekayi
Couleuvre d'eau
Nerodia sipedon
Couleuvre tachetée
Lampropeltis triangulum
Couleuvre mince Thamnophis sauritus
Couleuvre verte Liochlorophis vernalis
Tortues
Tortue ponctuée
Clemmys guttata
Oiseaux
Bécasseau maubèche rufa Calidris canutus rufa
Bruant de Nelson
Ammodramus nelsoni
Bruant sauterelle
Ammodramus savannarum
Effraie des clochers Tyto alba
Engoulevent bois-pourri Caprimulgus vociferus
Engoulevent d’Amérique Chordeiles minor
Faucon pèlerin tundrius Falco peregrinus tundrius
Hibou des marais
Asio flammeus
Martinet ramoneur Chaetura pelagica
Moucherolle à côtés olive Contopus cooperi
Océanite cul-blanc Oceanodrama leucorhoa
Paruline à ailes dorées
Vermivora chrysoptera
Paruline du Canada Wilsonia canadensis
Paruline hochequeue Seiurus motacilla
Quiscale rouilleux Euphagus carolinus
Troglodyte à bec court
Cistothorus platensis
Mammifères
Baleine noire
Eubalaena glacialis
Belette pygmée
Mustela nivalis
Béluga, population de l'est de la baie d'Hudson
Delphinapterus leucas
Béluga, population de la baie d'Ungava
Delphinapterus leucas
Campagnol des rochers
Microtus chrotorrhinus
Campagnol-lemming de Cooper
Synaptomys cooperi
Campagnol sylvestre
Microtus pinetorum
Chauve-souris argentée
Lasionycteris noctivagans
Chauve-souris cendrée
Lasiurus cinereus
Chauve-souris pygmée de l’Est Myotis leibii
Chauve-souris rousse
Lasiurus borealis
Cougar
Puma concolor
Marsouin commun Phocoena phocoena
Morse Odobenus rosmarus
Musaraigne de Gaspé
Sorex gaspensis
Musaraigne longicaude Sorex dispar
Petit polatouche
Glaucomys volans
Phoque commun des lacs des Loups Marins
Phoca vitulina mellonae
Pipistrelle de l'Est
Perimyotis subflavus
Rorqual bleu
Balaenoptera musculus
Rorqual commun
Balaenoptera physalus
Bivalves
Alasmidonte rugueuse Alasmidonta marginata
Anodonte du gaspareau Anodonta implicata
Elliptio à dents fortes Elliptio crassidens
Elliptio pointu Elliptio dilatata
Leptodée fragile Leptodea fragilis
Mulette-perlière de l’Est Margaritifera margaritifera
Obovarie olivâtre Obovaria olivaria
Potamile ailé Potamilus alatus
Gastéropodes
Patelle d'eau douce pointue Acroloxus coloradensis
Somatogyre globuleux Birgella subglobosus
Insectes
Acronicte à virgules rougeâtres Acronicta rubricoma
Aeschne Cyrano Nasiaeschna pentacantha
Aeschne pygmée Gomphaeschna furcillata
Bourdon à tache rousse Bombus affinis
Bourdon terricole Bombus terricola
Cicindèle blanche Cicindela lepida
Cicindèle verte des pinèdes ( = Cincidèle verte à lunules) Cicindela patruela
Coccinelle à deux points Adalia bipunctata
Coccinelle à neuf points Coccinella novemnotata
Cordulie bistrée Williamsonia fletcheri
Cordulie incurvée Somatochlora incurvata
Cuivré des marais salés Lycaena dospassosi
Dolichoderus mariae Dolichoderus mariae
Dynaste rhinocéros Xyloryctes jamaicensis
Érythème des étangs Erythemis simplicicollis
Érythrodiplax côtier Erythrodiplax berenice
Faux-longicorne scalaire Cephaloon ungulare
Fée noire aux longues antennes Adela caeruleella
Fritillaire panachée Euptoieta claudia
Gomphe ventru Gomphus ventricosus
Hespérie à taches vitreuses Pompeius verna
Hespérie de Dionée Euphyes dion
Hespérie tachetée Erynnis martialis
Lasius minutus Lasius minutus
Leste matinal Lestes vigilax
Mélanople de Gaspésie Melanoplus gaspesiensis
Nordique à nervures blanches de Gaspé Oeneis bore gaspeensis
Ophiogomphe bariolé Ophiogomphus anomalus
Phymatode à col maculé Phymatodes maculicollis
Spondyle ténébrion Neospondylis upiformis
Sympétrum bagarreur Sympetrum corruptum
Tréchine à scapes larges Trechus crassiscapus
Prédiction
de la quantité de boues et résidus miniers radioactifs que l’industrie
de l’uranium produirait sur une période 40 à 80 ans
Si l’on veut donner un aperçu rapide du volume qu’occuperait la totalité des déchets miniers qu’à engendré l’industrie nucléaire canadienne ainsi comparons-le avec le volume du Stade Olympique de Montréal. Le volume de l’enceinte du Stade Olympique avec les gradins pleine grandeur = 1 869 158 m3. 1 mètre cube de roche équivaut un poids variant entre 1,6 à 2,2 tonnes ou pour une moyenne ≈ 2,0 tonne/m3. La production canadienne avant l’an 2000 était de 300 millions de tonnes de résidus miniers uranifères dont l’industrie de l’Ontario et de la Saskatchewan ne savait plus quoi en faire. Ceci équivaudrait donc à 300 000 000 tonnes ÷ ≈2 tonnes/m3 = 150 000 000 de m3. Ensuite on divise 150 000 000 de m3 ÷ 1 869 158 m3 = 80,25 volume entier de Stade Olympique de Montréal rempli à rebord de déchets miniers radioactifs mortels durant des milliards d’années. Selon le rapport DIVEX, 315 000 000 tonnes d’uranium seraient exploitables au Québec, donc si l’on veut obtenir la quantité de résidus miniers potentiels ainsi il faut le multiplier par un facteur 1000 à 50 000 tonnes selon la concentration probable d’uranium sur différents sites.
Scénario 1 - Selon les plus optimistes, 315 000 tonnes x 1 000 tonnes de résidus = 315 000 000 tonnes totales de résidus miniers uranifères pour un grand total de 84 Stades Olympique.
Scénario 2 - Selon une moyenne pondérée, 315 000 tonnes x 25 000 tonnes de résidus = 315 000 000 tonnes totales de résidus miniers uranifères pour un grand total de 2 106 Stades Olympique.
Scénario 3 - Selon des estimations pessimistes 315 000 tonnes x 50 000 tonnes de résidus = 15 750 000 000 tonnes totales de résidus miniers uranifères pour un grand total de 4 213 Stades Olympique.
Si l’on veut donner un aperçu rapide du volume qu’occuperait la totalité des déchets miniers qu’à engendré l’industrie nucléaire canadienne ainsi comparons-le avec le volume du Stade Olympique de Montréal. Le volume de l’enceinte du Stade Olympique avec les gradins pleine grandeur = 1 869 158 m3. 1 mètre cube de roche équivaut un poids variant entre 1,6 à 2,2 tonnes ou pour une moyenne ≈ 2,0 tonne/m3. La production canadienne avant l’an 2000 était de 300 millions de tonnes de résidus miniers uranifères dont l’industrie de l’Ontario et de la Saskatchewan ne savait plus quoi en faire. Ceci équivaudrait donc à 300 000 000 tonnes ÷ ≈2 tonnes/m3 = 150 000 000 de m3. Ensuite on divise 150 000 000 de m3 ÷ 1 869 158 m3 = 80,25 volume entier de Stade Olympique de Montréal rempli à rebord de déchets miniers radioactifs mortels durant des milliards d’années. Selon le rapport DIVEX, 315 000 000 tonnes d’uranium seraient exploitables au Québec, donc si l’on veut obtenir la quantité de résidus miniers potentiels ainsi il faut le multiplier par un facteur 1000 à 50 000 tonnes selon la concentration probable d’uranium sur différents sites.
Scénario 1 - Selon les plus optimistes, 315 000 tonnes x 1 000 tonnes de résidus = 315 000 000 tonnes totales de résidus miniers uranifères pour un grand total de 84 Stades Olympique.
Scénario 2 - Selon une moyenne pondérée, 315 000 tonnes x 25 000 tonnes de résidus = 315 000 000 tonnes totales de résidus miniers uranifères pour un grand total de 2 106 Stades Olympique.
Scénario 3 - Selon des estimations pessimistes 315 000 tonnes x 50 000 tonnes de résidus = 15 750 000 000 tonnes totales de résidus miniers uranifères pour un grand total de 4 213 Stades Olympique.
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Projets d’exploration et éventuelles zones de pollution radioactive à l’uranium au Québec (29 juillet 2013)
Projets
d’exploration pour l’uranium au Québec (au 29 juillet 2013). Projet et
nature Propriétaire Localisation Substances Statut
Matoush (gisement) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 275km au NE U Préfaisabilité
Lavoie (gisement) Abitex Resources Inc. (AREVA) Resources Canada, Soquem,) Chibougamau, 275km au NE Au, U Préfaisabilité
Strange Lake (gisement) Quest Rare Minerals Ltd. Schefferville, 240km au NE TR, Be, U, Zr, Nb, Th, Ta, Hf Préfaisabilité
Rivière Camie Cameco Chibougamau, 275km au NE U Exploration avancée
Lac Turgeon (gisement) Uracan Resources Ltd. Sept-Îles, 250km à l’E U Exploration avancée
Ganiq (projet) Midland Exploration Inc. Baie James U Exploration avancée
Apple (gisement) Strateco Resources Inc. Radisson, 75km au SO Au, U Exploration avancée
Dieter Lake (projet) Denison Mines Corp. Fort Mackenzie, 140km au SO U Exploration avancée
Grand Calumet (projet) Globex Mining Enterprises Inc. Ottawa, 90km à l’ONO F, Th, U Exploration avancée
Lac Kachiwiss (projet) Rio Tinto plc (Hathor Expl.) Sept-Îles, 20km au NE U Exploration avancée
North Shore (projet) Uracan Resources Ltd. Sept-Îles, 305km à l’ENE U Exploration avancée
Costebelle (projet) Uracan Resources Ltd. Sept-Îles, 320km à l’ENE U Exploration
Cigare (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE U Exploration
Lorenz Gully (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE U Exploration
Peribonka (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE U Exploration
Trident (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE Au, U Exploration
Marc André (indice) Virginia Energy Resources Inc. Lac Laparre U Exploration
K9 (indice) - Baie James district U Exploration
Domino (indice) - Baie James U Exploration
Manitou (indice) - Mont-Laurier U Exploration
Baie-Johann-Beetz (projet) Gimus Resources Inc. (Jourdan) Havre St-Pierre, 85km à l’E U Exploration
Capri (projet) - Val d’Or, 90km au SO U Exploration
Doran (projet) Entourage Mining Ltd. Havre St-Pierre, 85km à l’E U Exploration
Drucourt/Lac Caron (projet) A Better Search Inc. Sept-Îles, 204 km à l’E U Exploration
Eclat (projet) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 270km au NE U Exploration
Epsilon (projet) Abitex Resources Inc. Chibougamau, 350km au NE Au, U Exploration
Hotish (projet) Dios Exploration Inc. Chibougamau, 260km au NNE Cu, Au, TR, Ag, U Exploration
Hunters Point (projet) Globex Mining Enterprises Inc. North Bay, 90km au NE Au, TR, Ag, U Exploration
Kert (projet) - Ottawa, 60km au NNO Cu, Mo, U Exploration
Lac Colombet (projet) Richmond Minerals Inc. Partie nord du Lac Colombet Cu, Au, U Exploration
Lindsay (projet) X-Terra Resources Corporation North Bay, 95km au NE Au, TR, U Exploration
Lordeau (projet) Starfire Minerals Inc. Québec, 830km au NNO Cu, Ag, U Exploration
Matoush Extension (projet) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 290km au NE U Exploration
Mistassini (indice) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 239 km au N U Exploration
Mistassini/Otish (projet) Uranium Valley Mines Ltd. Centre-Nord du Québec U Exploration
Nanuk (projet) Quest Rare Minerals Ltd. Schefferville, 195km au NE U Exploration
North Rae (projet) Azimut Exploration Inc. Schefferville, 430km au N U Exploration
Notamiche (projet) Resources Maximan Inc. Mont-Laurier, 65km au N Cu, Pb, Mo, Ni, Ag, U, Zn Exploration
Otish Basin (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE U Exploration
Otish Mountains (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 200km au N U Exploration
Otish (projet) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 280km au NE U Exploration
Otish (projet) Ditem Explorations Inc. Chibougamau, 243km au NE U Exploration
Beaver Lake (indice) Ditem Explorations Inc. Chibougamau, 300km au NE U Exploration
Pool/Halliwell (projet) - Ottawa, 88km au NO TR, U Exploration
Rupert River (projet) Sheridan Platinum Group Ltd. Chibougamau, 310km au NO U Exploration
Sagar (projet) Energizer Resources Inc. Mistamisk Lake Cu, Au, U Exploration
Upinor (projet) Dios Exploration Inc. Eastmain, 110km au NE U Exploration
Uskawanis Lake (projet) Uragold Bay Resources Inc. Radisson, 180km au SE U Exploration
Wakeham (projet) Jourdan Resources Inc. Havre St-Pierre, 70km au NE U Exploration
Waseco (projet) AREVA SA Schefferville, 204km au NW
U Exploration
Matoush (gisement) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 275km au NE U Préfaisabilité
Lavoie (gisement) Abitex Resources Inc. (AREVA) Resources Canada, Soquem,) Chibougamau, 275km au NE Au, U Préfaisabilité
Strange Lake (gisement) Quest Rare Minerals Ltd. Schefferville, 240km au NE TR, Be, U, Zr, Nb, Th, Ta, Hf Préfaisabilité
Rivière Camie Cameco Chibougamau, 275km au NE U Exploration avancée
Lac Turgeon (gisement) Uracan Resources Ltd. Sept-Îles, 250km à l’E U Exploration avancée
Ganiq (projet) Midland Exploration Inc. Baie James U Exploration avancée
Apple (gisement) Strateco Resources Inc. Radisson, 75km au SO Au, U Exploration avancée
Dieter Lake (projet) Denison Mines Corp. Fort Mackenzie, 140km au SO U Exploration avancée
Grand Calumet (projet) Globex Mining Enterprises Inc. Ottawa, 90km à l’ONO F, Th, U Exploration avancée
Lac Kachiwiss (projet) Rio Tinto plc (Hathor Expl.) Sept-Îles, 20km au NE U Exploration avancée
North Shore (projet) Uracan Resources Ltd. Sept-Îles, 305km à l’ENE U Exploration avancée
Costebelle (projet) Uracan Resources Ltd. Sept-Îles, 320km à l’ENE U Exploration
Cigare (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE U Exploration
Lorenz Gully (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE U Exploration
Peribonka (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE U Exploration
Trident (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE Au, U Exploration
Marc André (indice) Virginia Energy Resources Inc. Lac Laparre U Exploration
K9 (indice) - Baie James district U Exploration
Domino (indice) - Baie James U Exploration
Manitou (indice) - Mont-Laurier U Exploration
Baie-Johann-Beetz (projet) Gimus Resources Inc. (Jourdan) Havre St-Pierre, 85km à l’E U Exploration
Capri (projet) - Val d’Or, 90km au SO U Exploration
Doran (projet) Entourage Mining Ltd. Havre St-Pierre, 85km à l’E U Exploration
Drucourt/Lac Caron (projet) A Better Search Inc. Sept-Îles, 204 km à l’E U Exploration
Eclat (projet) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 270km au NE U Exploration
Epsilon (projet) Abitex Resources Inc. Chibougamau, 350km au NE Au, U Exploration
Hotish (projet) Dios Exploration Inc. Chibougamau, 260km au NNE Cu, Au, TR, Ag, U Exploration
Hunters Point (projet) Globex Mining Enterprises Inc. North Bay, 90km au NE Au, TR, Ag, U Exploration
Kert (projet) - Ottawa, 60km au NNO Cu, Mo, U Exploration
Lac Colombet (projet) Richmond Minerals Inc. Partie nord du Lac Colombet Cu, Au, U Exploration
Lindsay (projet) X-Terra Resources Corporation North Bay, 95km au NE Au, TR, U Exploration
Lordeau (projet) Starfire Minerals Inc. Québec, 830km au NNO Cu, Ag, U Exploration
Matoush Extension (projet) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 290km au NE U Exploration
Mistassini (indice) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 239 km au N U Exploration
Mistassini/Otish (projet) Uranium Valley Mines Ltd. Centre-Nord du Québec U Exploration
Nanuk (projet) Quest Rare Minerals Ltd. Schefferville, 195km au NE U Exploration
North Rae (projet) Azimut Exploration Inc. Schefferville, 430km au N U Exploration
Notamiche (projet) Resources Maximan Inc. Mont-Laurier, 65km au N Cu, Pb, Mo, Ni, Ag, U, Zn Exploration
Otish Basin (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 310km au NE U Exploration
Otish Mountains (projet) Virginia Energy Resources Inc. Chibougamau, 200km au N U Exploration
Otish (projet) Strateco Resources Inc. Chibougamau, 280km au NE U Exploration
Otish (projet) Ditem Explorations Inc. Chibougamau, 243km au NE U Exploration
Beaver Lake (indice) Ditem Explorations Inc. Chibougamau, 300km au NE U Exploration
Pool/Halliwell (projet) - Ottawa, 88km au NO TR, U Exploration
Rupert River (projet) Sheridan Platinum Group Ltd. Chibougamau, 310km au NO U Exploration
Sagar (projet) Energizer Resources Inc. Mistamisk Lake Cu, Au, U Exploration
Upinor (projet) Dios Exploration Inc. Eastmain, 110km au NE U Exploration
Uskawanis Lake (projet) Uragold Bay Resources Inc. Radisson, 180km au SE U Exploration
Wakeham (projet) Jourdan Resources Inc. Havre St-Pierre, 70km au NE U Exploration
Waseco (projet) AREVA SA Schefferville, 204km au NW
U Exploration
Chaine de montagne des Laurentides et reliefs appalachiens (avant et après).
En
analysant la courbe de dénivélation de la chaîne de montagne centrale
des Laurentides du Québec il est facile de s’apercevoir que toute
exploitation minière uranifère sur les hauteurs ou des versants de
sommets accumuleront l’uranium et le faire dévaler avec une grande
concentration de pollution radioactive dans les lacs, rivières, nappes
phréatiques, villages et villes (points rouges = montagnes plus hautes).
Danger de pollution radioactive liée à la dénivélation du terrain Québécois
La zone plus foncée au centre de la carte du Québec entre Schefferville et Sept-ïles jusqu’à Chicoutimi, montre la hauteur plus élevées des montagnes ce qui va faire en sorte que, les poussières générés lors des explosions régulières des mines, l’eau de ruissellement sortant de la mine et de la pluie provenant des nuages en plus des gazes Radon vont descendre les formations rocheuses québécoises pour dévaler jusqu’aux villes et régions plus en bas de la côte et pour finalement contaminer le Fleuve Saint-Laurent. Les villes en bas du versant Laurentien sud comme Sept-ïle, Baie-Comeau, Chicoutimi, la Tuque et Chibougamau ainsi que seraient les zones les plus touchés par la descente de l’eau des rivières en amont et de toutes formes de migration des radioéléments émis en plus forte concentration dans les rivières, les plans d’eau et nappes phréatiques.Cette pollution nucléaire va donc s’évaporer du sol pour monter dans l’atmosphère et se rendre jusque dans les couches nuageuses où par la suite, elle tombera sous forme de précipitation de neige ou de pluie à la grandeur de la Province de Québec.
Danger de pollution radioactive liée à la dénivélation du terrain Québécois
La zone plus foncée au centre de la carte du Québec entre Schefferville et Sept-ïles jusqu’à Chicoutimi, montre la hauteur plus élevées des montagnes ce qui va faire en sorte que, les poussières générés lors des explosions régulières des mines, l’eau de ruissellement sortant de la mine et de la pluie provenant des nuages en plus des gazes Radon vont descendre les formations rocheuses québécoises pour dévaler jusqu’aux villes et régions plus en bas de la côte et pour finalement contaminer le Fleuve Saint-Laurent. Les villes en bas du versant Laurentien sud comme Sept-ïle, Baie-Comeau, Chicoutimi, la Tuque et Chibougamau ainsi que seraient les zones les plus touchés par la descente de l’eau des rivières en amont et de toutes formes de migration des radioéléments émis en plus forte concentration dans les rivières, les plans d’eau et nappes phréatiques.Cette pollution nucléaire va donc s’évaporer du sol pour monter dans l’atmosphère et se rendre jusque dans les couches nuageuses où par la suite, elle tombera sous forme de précipitation de neige ou de pluie à la grandeur de la Province de Québec.
10 Communautés et 43 chefs amérindiens du Québec et du Labrador s’opposent contre le carnage des mines uranifères
Au mois de novembre 2010, deux mouvements amérindiens important ont manifesté leur désaccord virulent conte l’instauration des mines d’uranium sur leur royaume ancestrale en fonction des conséquences présagés et désavantages innombrables que cela entraînerait sur toute la Province par rapport aux faibles avantages à court terme pour eux dans la destruction de leurs activités sociale et culturelles normales comme la pêche, la chasse, le trappage, la cueillette et les cérémonies amérindiennes, etc. La Nation Crie de Mistissini et le Grand Conseil des Cris, ont donc dénoncés le fait que les mines d’uranium dans leur région causeraient pas moins de 2 000 000 de tonnes de résidus miniers restant encore très longtemps radioactifs à des taux variant de 1000 Bq/seconde à 15 000 Bq/seconde si l’on se fie au taux normaux résiduels laissé ailleurs sur Terre par les compagnies minières du nucléaire. Le bruit de fond dans l’air ambiant au Québec étant normalement entre 10 à 20 Bq/minute. La population de la réserve à quelques kilomètres aux alentours craint déjà les graves effets et dommages collatéraux à venir si le gouvernement du Québec autorise l’exploitation minière d’uranium.
Plus récemment est paru le 24 septembre 2014 un texte provenant de l'Institut de Développement Durable des Premières Nations du Québec et du Labrador (IDDPNQL), regroupant 10 nations autochtone comprenant les chefs de 43 premières nations du labrador et du Québec. Cet organisme légitime officiel fondé en 1985 s’oppose sans équivoque à l’exploration et l’exploitation des mines d’uranium sur les territoires des Premières Nations et compte tout faire en leur pouvoir pour s’y opposer et combattre de force le cartel des entreprises.
Comme les autochtones ont un statut juridique unique et qu'ils sont considérés comme un peuple et une nation native distincte ils ont droit à un traitement particulier en tant que premiers habitants et possesseurs de terres américaines.
Les autochtones ont le droit de conserver et d’entretenir les liens qu'ils ont avec leur territoire, de le mettre en valeur et d'en faire ce qu'ils veulent pour eux et leurs descendants.
Ils ont le droit de pêcher, de trapper, de faire de la cueillette et de faire du troc à l'année longue comme ils le pratiquent depuis des centaines d'années sur leurs territoires ancestraux.
Ils ont droit à ce que le gouvernement non autochtone ne vienne pas s'ingérer dans les décisions et moyens de subsistances d'ordre économique, culturel, social et spirituel des amérindiens. Selon la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones ceux-ci ont le droit de définir leur priorité de mise en valeur de leur territoire et de leur société originelle.
Comme le gouvernement du Québec et du canada n'ont pas rempli les promesses tenues dans les discussions et documents officiels préalables à la question des mines de ce fait les communautés autochtones étudient la possibilité et se garde le droit d’intenter un procès et ou un recours collectifs d’envergure provincial contre les gouvernements fédéraux et provinciaux.
La communauté des 10 nations reproche au gouvernement québécois de ne pas avoir assez exploré les enjeux reliés à la santé et la sécurité. Il n'aurait pas suffisamment donné la chance aux Premières Nations de s'exprimer adéquatement sur le sujet touchant pourtant leur existence, leur mode de vie et santé propre.
Ils critiquent avec raison la vision restreinte des occidentaux et de leur incapacité à voir à long terme pour les générations futures. De manquer de prudence et de communion avec le territoire naturalisé québécois. Que les données relatives aux informations minières ne sont pas tenues de leur être divulgué (ERA ou IBA) et que la nouvelle loi des mines ne devrait pas pouvoir exproprier les résidents autochtones par les titulaires de droit et de bail minier.
Elle s’objecte au système de « Free mining » qui fait en sorte que les compagnies minières peuvent faire de la prospection n’importe où sans demander la permission aux autochtones ce qui est fondamentalement anticonstitutionnelle face à la constitution canadienne. Cette loi injuste représenterait donc un manquement flagrant de la loi violé sciemment par le Gouvernement du Québec en plus de l’abstinence d’intervention par l’autorité du Canada afin de faire respecter la loi équitablement pour tous.
Les Amérindiens sont des peuples qui s’accordent avec la nature québécoise depuis des lunes. Dans leurs traditions, ils se dévouent a respecter dame nature et les esprits de la terre, l’eau et l’air du mieux qu’ils peuvent et ne cherche pas l’exploiter de facon effrené mais bien plutôt d’être en accord avec elle et dans la succession de ses cycles naturels. Ils n’ont pas à accepter le massacre de leur population par les minières du nucléaire qui vont ravager et profaner leurs terres sous leurs yeux sans qu’ils puissent faire quoi que ce soit. Nous ne sommes pas dans le tiers-monde pour accepter comme des esclaves la dictature de la déraison minière et du délire nucléaire de compagnies qui vont arracher le territoire des mains de gens qui s’en occupait déjà très bien et qui avait réellement à cœur leur avenir dans une nature saine et propre et non pas souillée aux métaux lourds radioactifs. Il est comphréensible d’entrevoir qu’ils ne veulent pas avoir à manger des radioéléments de façon quotidienne, s’inquiéter pour leur santé en tout temps et voir leur espéance de vie diminuée.
☢☢☢☢☢
Voici
la liste des entreprises minières à exploitation exclusive ou non en
co-produits d’uranium risquant d’entraîner une pollution nucléaire notable du Québec
Minières uranifères
Strateco Resources Inc.
AREVA Resources Canada
Nova Uranium Corp.
Mining Enterp. Inc.
Denison Mines Inc.
Starfire Minerals Inc.
Uracan Resources Ltd.
Entourage Mining Ltd
Rio Tinto plc (Hathor Expl.)
Gimus Resources Inc.
Strateco Resources Inc.
AREVA Resources Canada
Nova Uranium Corp.
Mining Enterp. Inc.
Denison Mines Inc.
Starfire Minerals Inc.
Uracan Resources Ltd.
Entourage Mining Ltd
Rio Tinto plc (Hathor Expl.)
Gimus Resources Inc.
Minières opérant avec des co-produits
SOQUEM Inc.
Commerce Resources Corp.
Quest Rare Minerals Ltd.
Harvey Hill Cu Mine
Matamec Explorations Inc.
GéoMégA Resources Ltd
Quest Rare Minerals Ltd.
MDN Inc.
SOQUEM Inc.
Commerce Resources Corp.
Quest Rare Minerals Ltd.
Harvey Hill Cu Mine
Matamec Explorations Inc.
GéoMégA Resources Ltd
Quest Rare Minerals Ltd.
MDN Inc.
Niocan Inc.
Ressources d'Arianne Inc.
IAMGOLD Corp.
Ressources min. Augyva Inc.
Rhodia Canada Inc.
Rio Tinto ALCAN
Augyva Inc.
Ressources d'Arianne Inc.
IAMGOLD Corp.
Ressources min. Augyva Inc.
Rhodia Canada Inc.
Rio Tinto ALCAN
Augyva Inc.
Projets futurs et contextes planétaires du développement de la filière uranifère
Après avoir opéré d’industrie du nucléaire en occident les organismes internationaux du nucléaire comme l’A.I.E.A., Areva, la World Nuclear Association, etc, essaient de développer l’industrie nucléaire dans les pays pauvres de la planète, puisque ses pays n’ont pas encore de production d’électricité à partir de l’énergie de l’atome d’uranium. Donc pour eux ils sont de potentiels partenaires d’affaires et surtout de gouvernements avec lesquels l’industrie du nucléaire pourra acheter des productions minières chez eux et ensuite vendre les plans de la construction des différents types de réacteurs internationaux (France, USA, Canada, Russie, etc). Les grands dirigeants de l’industrie nucléaire se garantissent des contrats et tout le monde n’ont plus le choix d’alimenter ces types de réacteur à partir des minerais des sites uranifère qui se trouve un peu partout sur la planète. Comme il n’en a pas dans chaque pays et ou continent dans les couches superficielles de croûte terrestre. Les associations d’industries nucléaires et de compagnies minières n’ont pas le choix de fonctionner ensemble et de s’assurer de la maintenance d’un approvisionnement constant.
Le problème évident est que ces centaines de nouveaux de sites d’extractions additionnés aux anciens vont contribuer à polluer la surface de la planète pour l’éternité. Donc, il serait préférable dans l’ensemble de limiter par souci de sécurité environnementale leur construction au minimum. La Terre pourrait peut-être supporter sur l’ensemble de sa surface pas moins de 440 centrales. Cependant, il serait dangereux d’augmenter ce nombre à 600-700 voire même 800 à 1000 réacteurs d’origine nucléaire sur la planète (uranium, MOX, Thorium et autres). La Terre ne peut pas supporte 2000 à 5000 centrales nucléaires sans en ressentir de la contamination radioactive à un moment, une époque ou un autre. Même si les processus internes de notre planète fonctionnent supposément grâce à des mécanismes thermonucléaires similaires à l’intérieur du noyau profond de la Terre ainsi ce n’est pas une raison suffisante pour faire remonter toutes les matières radioactives du magma sous la croûte terrestre et l’uranium pour le faire entrer par accident plus loin dans la chaîne bioalimentaire.
Dans une perspective de logique ‘’probabiliste’’, il est fort possible que dans un futur prochain et ou même si peu éloigné qu’il advienne d’autres incidents nucléaires d’envergure planétaire si l’on considère la problématique avec un minimum de possibilités désastreuses. Par exemple, pour l’instant il existe sur Terre, pas moins de 440 réacteurs nucléaires en activité, dont seulement 3 à 4 ont connus des incidents majeurs de niveau 4 à 5 sur l’échelle de la gravité de la contamination (Maïak (U.R.S.S.), Three Misle Island (U.S.A.), Tchernobyl (Ukraine) et Fukushima (Japon)). Sans compter la liste impressionnante et quasi interminable de tous les autres accidents de légères et moyennes envergures étant advenues depuis moins de 75 ans d’exploitation planétaire des centrales et des mines d’uranium. Avec une moyenne de 4 accidents sur 440 réacteurs possiblement explosifs, la moyenne paraît peu élevée, mais pourtant ce parc nucléaire est très vieillissant si l’on considère que la durée de vie de centrale est estimée habituellement à 30 ans. Et ce, même si l’on peut prolonger leur état de vie à pas moins de 60 ans, le dernier laps de temps de 30 ans étant risqué à cause des possibles fissures des cuves de réacteurs et de la désuétude matérielle des installations nucléaires des centrales vieillissantes. Donc, le taux de probabilité d’accidents nucléaires ne fait qu’augmenter avec les années qui passent pour les anciennes et les nouvelles centrales construites dans les pays pauvres. Parce que celles-ci sont entretenues par un personnel certes qualifié au minimum, mais probablement incapable de faire face à des accidents majeurs qui nécessitent une quérielle d’experts en un laps de temps très court pour régler les fuites.
Si ce n’était que des centrales nucléaires actuelles alors logiquement les problèmes d’explosions futures de réacteurs se résumeraient à ces 440 centrales. Néanmoins, les instances internationales de l’énergie nucléaire comme l’A.I.E.A ne comptent pas s’arrêter là et prévoient d’ici 30 ans augmenter le nombre de réacteurs à 300 de plus. Donc nous frôlerions les 700e à 650e réacteurs planétaires. L’Inde et la Chine prévoient de ce fait malheureusement de construire 70 centrales dans les 20 prochaines années. Ce qui fait en sorte, que le taux statistique de probabilité à ce que d’autres accidents nucléaires surviennent montera en flèche. Le problème étant qu’avec un parc nucléaire d’un nombre de 600 réacteurs il est fort envisageable que dans un futur proche soit, de 30 à 60 ans, nous connaissions au moins de 2-5 accidents minimums voire 10 autres catastrophes nucléaires majeures sur la planète et cette situation deviendrait une véritable destruction apocalyptique. En connaissant le taux de dispersion des résidus qu’ont entraîné l’explosion du réacteur de Tchernobyl et la pollution généralisé en Europe, en plus de celle de Fukushima sur l’océan Pacifique, la flore et la faune marine et les plages de la côte est Américaine, le fait d’additionner un 5 a 10 accidents supplémentaires ne pourraient que faire augmenter drastiquement la contamination radioactive et le rayonnement de fond ionisant partout autour de la planète, autant dans l’eau, dans l’air et la terre.
Ce qui fait en sorte, qu’après de tels événements, l’humanité risque dans son ensemble de condamner et d’accuser sévèrement toute la filière de production d’électricité par l’entremise uniquement des combustibles à fission nucléaire, et ce, que ce soit à 15% ou 30% de la production mondiale totale d’énergie. L’affaire est que même si à partir de ce moment l’humanité entière décide ou fait des pressions politiques intenses pour que s’arrête la production d’électricité nucléaire, les dommages à l’environnement et aux patrimoines biologiques planétaires seront définitivement détruit et muté a jamais, en fonction de la demi-vie de chacun des isotopes radioactifs libérés. L’humanité n’aura plus le luxe d’avoir les conditions de possibilités de revenir en arrière et de décontaminer ses terres et continent d’une façon tout à fait viable et saine pour les générations futures. Le monde aura basculé dans un chaos radioactif ou le regret des industriels nucléaires sera bien loin pour excuser leurs fautes, leur aveuglément et leur inconscience d’avoir tout annihilé notre seule et unique planète Terre. Et ce, même si au départ ils avaient de bonnes intentions et croyaient fournir de l’énergie proprement à tout un chacun, ces promesses ne tiennent évidemment plus la route aujourd’hui.
Tchernobyl (Ukraine) Fukushima (Japon)
Procès Planétaire
Mise au banc des accusés de l’industrie nucléaire
Critique, adaptation et changement de réglementation
des agences de contrôle et des compagnies
Critique, adaptation et changement de réglementation
des agences de contrôle et des compagnies
Comme les entreprises nucléaires ont commis de nombreux cas de pollution de masse un peu partout à travers les écosystèmes planétaires et qu’aucune réglementation n’a réussie à être assez sévère ainsi il est temps qu’un cadre juridique plus juste et adéquat à la réalité scientifique médicale, aux conséquences sanitaires biologiques et sociologiques soit adopté à l’échelle de la Terre.
L’industrie nucléaire a affecté gravement et mis la vie en danger par ses activités hautement risquées sur des milliers, voire des millions de personnes. En première ligne chez les aborigènes et Amérindiens ainsi qu’en deuxième ligne d’impact chez les populations occidentales vivant dans l’entourage des mines d’uranium (Canada, Australie, Afrique, Russie, Kazakhstan, Allemagne, Angleterre, Chine, Inde, France, etc).
Les nombreuses maladies reprochées causées en masse par le secteur minier nucléaire sont les cancers des organes suivant : poumon, os, reins, foie, glande thyroïde, gonades, pancréas et le cerveau. La destruction des systèmes immunitaires (globules blancs et rouges) des populations par l’entremise d’une contamination radioactive chronique de leur milieu de vie autant dans les milieux naturels, ruraux et urbains.
Destruction irréversible des biotopes planétaires aux substances hautement toxiques et tératogènes ayant une durée de vie de désintégration de quelques secondes, minutes (Protactinium), allant de 4,5 (Uranium-238) à 10 milliards d’années (Thorium-232).
Création de gigantesques dépotoirs nucléaires et canyons radioactifs représentant un réel danger de pollution sanitaire pour les infiltrations d’eau de pluie, de la fonte des glaces et les inondations accidentelles.
Création d’immenses lacs artificiels radioactifs causant d’énormes problèmes de nettoyage, d’infiltration et de décontamination impossible des sites pollués aux isotopes nucléaires.
Mise des balises de relevé radioactif à des endroits non représentatifs de la contamination des terrains par les entreprises reliées à l’exploitation et au traitement de l’Uranium , du Radium et du Thorium mettant en jeu la santé et la sécurité des habitants à proximité et autres citoyens du monde.
Pollution de grandes quantités d’eau provenant des lacs, rivières et bassins d’eau aquifère souterraine en rendant des milliards de litres d’eau naturelle comestible en une eau définitivement toxique et radioactive.
Tentative de dissimulation, de mensonges et de contournement des lois face aux autorités politiques et populations planétaires sur les effets réels de la radioactivité sur la faune, la flore, les écosystèmes et les êtres humains.
✯✯✯✯RAPPORT MÉTÉORE✯✯✯✯
Recommandations officielles
1-Moratoire permanent sur l’exploration et l’extraction de l’uranium dans la province du Québec et au Canada. Recommandations officielles
2-Signature d’un traité officiel interdisant toute extraction d’uranium et tout danger de pollution subséquente de l’eau douce du Québec pour une période temporelle infinie.
3-Arrêt des phases actuelles d’exploration des sites uranifère sur les territoires québécois.
4- Arrêt des tests de production ayant pu être effectués par les diverses entreprises minières urafnières.
5- Annuler toutes les poursuites des compagnies minières envers le Gouvernement du Québec.
6-Commité de surveillance des entreprises uranifères afin qu’ils n’essaient pas de se réinstaller sur les territoires du Québec et ce peu importe le cour des prix de l’uranium sur les marchés boursiers internationaux.
7-Mise sous surveillance des compagnies minières de l’industrie civile et militaire du nucléaire.
8-Nouvelle réglementation provinciale, fédérale et internationale basée sur un principe de précaution plus réaliste de la dangerosité des impacts environnementaux et des actes criminels de pollution de la filière du nucléaire (mines d’uranium, centrales nucléaires et projets militaires).
9-Réviser le seuil de détectabilité de la radiation de 1 mètre à une mesure standardisé directement à partir du sol (+ ou – 100 à 400 Bq/seconde au maximum).
10-Fonder l’activité minière sur une Loi de la protection des territoires en fonction d’une acceptabilité sociale et environnementale plus enviable pour les générations humaines et écosystèmes planétaires futurs.
11-Émettre des verdicts de culpabilité ou de non-culpabilité pour les compagnies ayant enfreint la nouvelle réglementation des seuils de sécurité de radioprotection terrestre.
12-Mise à procès équitable des entreprises minières ayant occasionnés d’importantes zones de pollution radioactive supérieure de 1 à 5, ou 10 kilomètres de distance du lieu originel de la mine, ayant occasionné un sacrifice de leur personnel sous des champs de radiation sans qu’il en soit sciemment informé et ce, pour la maintenance de leurs activités nucléaires minières, industrielles et militaires a but ou non lucratif.
13-Dans une perspective de la philosophie morale utilitariste, devrait être considérée des arguments faisant référence à l’imputabilité de l’industrie nucléaire en rapport à l’intentionnalité des projets d’entreprises par rapport aux conséquences réellement entraînées sur l’environnement. Dans le sens, ou même si une compagnie prétend par sa bonne intentionnalité de départ qu’elle respectera la loi et qu’elle produira des bienfaits pour le plus grand nombre d’individus (production d’électricité), si les conséquences et les catastrophes environnementales s’avèrent être bien pire que les bienfaits sociaux ainsi les manquements au sujet des prévisions et du contrôle des variables sécuritaires préétablies entraînerait une possibilité d’accusation juridique criminelle.
14-Le Gouvernement du Québec doit agir avec cohérence suite à la fermeture de la Centrale nucléaire de Gentilly-II et ne pas investir dans son prolongement qui est l’industrie minière nucléaire qui se trouve à être un piège économique à moyen et long terme et qui nous laissera que des conséquences destructrices et cancérigènes à long terme pour la société québécoise.
15- Interdiction totale de presque toute extraction d’Uranium ou de Thorium à la surface de la planète.
En France, Arlette Manson du ‘’Collectif Bois Noirs’’ détecte des taux de plus de 13 000 Bq/sec sur le bord de la route de son village ou des stériles miniers uranifères ont été utilisés comparable à Tchernobyl a 10 000 Bq/m2 et plus de 20 000 Bq/m2.
À Fukushima, la radioactivité ambiante oscille autour de 102 microSievert/heure, car les déchets nucléaires des réacteurs se sont rependus partout sur le site de la centrale japonaise.
Effets sur la santé et toxicité de la radioactivité
Fruits & Légumes du monde poussés dans des champs radioactifs (destruction & mutation de l’ADN)
Enfants du monde nés dans une zone radioactive (cassure & mutation de l’ADN)
Zone Bleue
Moyennement radioactif
☢
☠
0.5 à 7.5 µSv/heureZone de contamination nucléaire en milieu de travail ou dans la nature
Zone de travail & Environnement Dose émise & absorbable Niveau de dangerosité Effets sur l’ADN et le corps humain
-Mine d’Uranium (sol, pelouse, terre). -Rayonnement naturel ambiant
-Près des mines d’uranium. De 50 x à 750 x la norme internationale admissible de 0,01 microSievert/heure).
Mine Cluff Lake au Canada.
+ de 80 μSv /mois
x 12 mois = 1 mSv/an.
-Près des mines d’uranium. De 50 x à 750 x la norme internationale admissible de 0,01 microSievert/heure).
Mine Cluff Lake au Canada.
+ de 80 μSv /mois
x 12 mois = 1 mSv/an.
7.5 à 25 µSv/heure
-Mine d’Uranium (boues et lacs artificiels nucléaires). -Sites miniers et environnements naturels fortement radioactifs.
-Danger d’intoxication alimentaire et respiratoire par les radio-éléments.
-Développement de cancer possible.
-Malformation congénitale.
-Mine d’Uranium (boues et lacs artificiels nucléaires). -Sites miniers et environnements naturels fortement radioactifs.
-Danger d’intoxication alimentaire et respiratoire par les radio-éléments.
-Développement de cancer possible.
-Malformation congénitale.
Zone Jaune
Hautement radioactif
☢☢☢
☠☠☠☠
0.025 à 2 mSv/heure
-Mine d’Uranium (roches de minerais et résidus miniers)
-Déchets nucléaires (faible durée de demi-vie). -Accélération du vieillisement des cellules vivantes par le rayonnement ionisant.
-Atteinte moyenne à l’information de l’ADN.
-Cassures majeures des doubles brins de l’ADN.
-Taux de réparation suffisante.
-Développement de cancers lents.
-Malformation congénitale fréquente.
-Mine d’Uranium (roches de minerais et résidus miniers)
-Déchets nucléaires (faible durée de demi-vie). -Accélération du vieillisement des cellules vivantes par le rayonnement ionisant.
-Atteinte moyenne à l’information de l’ADN.
-Cassures majeures des doubles brins de l’ADN.
-Taux de réparation suffisante.
-Développement de cancers lents.
-Malformation congénitale fréquente.
2 à 100 mSv/heure
-Mine d’Uranium
-Terrain de Tchernobyl et Fukushima
-Déchets nucléaires (moyenne durée de demi-vie). -Atteinte majeure à l’information de l’ADN.
-Destruction massive des doubles brins de l'ADN (~1/cGy).
-Taux de réparation inssufisant.
-Développement de cancers rapides.
-Malformation congénitale élevée.
-Mine d’Uranium
-Terrain de Tchernobyl et Fukushima
-Déchets nucléaires (moyenne durée de demi-vie). -Atteinte majeure à l’information de l’ADN.
-Destruction massive des doubles brins de l'ADN (~1/cGy).
-Taux de réparation inssufisant.
-Développement de cancers rapides.
-Malformation congénitale élevée.
+ de 100 mSv/heure
-Près des réacteurs de Tchernobyl et Fukushima.
-Déchets nucléaires. (longue durée de demi-vie) -Effets cumulatifs cancérigènes sur l’ADN directement proportionels à la dose totale d’absortion de radioactivité.
-Cassures des doubles brins de l'ADN supérieures au taux de réparation.
-Dislocations des paires de gênes et apparition de mutations et de malformations congénitales sévères.
-Près des réacteurs de Tchernobyl et Fukushima.
-Déchets nucléaires. (longue durée de demi-vie) -Effets cumulatifs cancérigènes sur l’ADN directement proportionels à la dose totale d’absortion de radioactivité.
-Cassures des doubles brins de l'ADN supérieures au taux de réparation.
-Dislocations des paires de gênes et apparition de mutations et de malformations congénitales sévères.
Conversion des Sieverts, de milliSieverts et des microSieverts
1 Sv (sievert) (= 100 rem) = 1,000 mSv = 1 000 000 μSv
1 Sv (sievert) (= 100 rem) = 1,000 mSv = 1 000 000 μSv
1 mSv (millisievert) (= 100 mrem) = 0,001 Sv = 1 000 μSv
1 μSv (microsievert) (= 0,1 mrem) = 0,000 001 Sv = 0,001 mSv
Quantité des doses radioactives et leurs effets biologiques sur l’ humain (dose instantané absorbé en minutes ou heures)
< 0.5 Sv : maux de gorges, nausée, presque sans effets observables sur le corps même si dommage interne des organes.
0.5 Sv : tâches bleues sur la peau, perte de cheveux, saignements de nez, anomalies minimes sur les prélèvements sanguins.
1 Sv : fatigue, formule sanguine altérée, troubles digestifs, diarrhée.
2 Sv : hospitalisation indispensable si le patient souhaite s'en sortir.
3 Sv : signes de brûlures de la peau, destruction des barrières immunologiques (globules blancs et rouges = chute du système immunitaire et développement ultérieur des maladies infectieuses comme les bactéries et virus).
5 Sv : Dose Létale car 50% des irradiés meurent s'ils ne sont pas hospitalisés.
8 Sv : Dose Létale car 90% des irradiés meurent s'ils ne sont pas hospitalisés.
10 Sv : Dose Létale car 100% des irradiés meurent s'ils ne sont pas hospitalisés.
La norme intenrationale de protection civile minimale est de 0,01 microSievert, la Zone Bleue de 0,50 microSievert/heure équivaut déjà 50 fois la norme sécuritaire de base. Une petite dose de rayonnement s'accumulant durant des mois peut quand même devenir fatale si elle est ingérée. Un seuil de 1 mSv/h jugé critique serait supposément tolérable durant quelques heures et correspondrait à une dose annuelle d'environ 5 à 9 mSv par individu normal, et d'une autorisation de 15 mSv à 20 mSv pour les travailleurs du nucléaire européen. Cette norme était un Canada de m50 Sv d’exposition par année chez le personnel des centrales nucléaires CANDU.
< 0.5 Sv : maux de gorges, nausée, presque sans effets observables sur le corps même si dommage interne des organes.
0.5 Sv : tâches bleues sur la peau, perte de cheveux, saignements de nez, anomalies minimes sur les prélèvements sanguins.
1 Sv : fatigue, formule sanguine altérée, troubles digestifs, diarrhée.
2 Sv : hospitalisation indispensable si le patient souhaite s'en sortir.
3 Sv : signes de brûlures de la peau, destruction des barrières immunologiques (globules blancs et rouges = chute du système immunitaire et développement ultérieur des maladies infectieuses comme les bactéries et virus).
5 Sv : Dose Létale car 50% des irradiés meurent s'ils ne sont pas hospitalisés.
8 Sv : Dose Létale car 90% des irradiés meurent s'ils ne sont pas hospitalisés.
10 Sv : Dose Létale car 100% des irradiés meurent s'ils ne sont pas hospitalisés.
La norme intenrationale de protection civile minimale est de 0,01 microSievert, la Zone Bleue de 0,50 microSievert/heure équivaut déjà 50 fois la norme sécuritaire de base. Une petite dose de rayonnement s'accumulant durant des mois peut quand même devenir fatale si elle est ingérée. Un seuil de 1 mSv/h jugé critique serait supposément tolérable durant quelques heures et correspondrait à une dose annuelle d'environ 5 à 9 mSv par individu normal, et d'une autorisation de 15 mSv à 20 mSv pour les travailleurs du nucléaire européen. Cette norme était un Canada de m50 Sv d’exposition par année chez le personnel des centrales nucléaires CANDU.
Références bibliographiques
Études et documents
Écotoxicologie (Uranium) : http://www.ceaeq.gouv.qc.ca/ecotoxicologie/revue_uranium.pdf
Écotoxicologie (Radium) : http://www.ceaeq.gouv.qc.ca/ecotoxicologie/revue_radium.pdf
Écolotoxicologie (Thorium) : http://www.ceaeq.gouv.qc.ca/ecotoxicologie/revue_thorium.pdf
Caractéristiques du Radium-226 : http://www.irsn.fr/EN/Research/publications-documentation/radionuclides-sheets/Documents/RA226SAN.pdf
Caractéristiques du Thorium-232 : http://www.irsn.fr/EN/Research/publications-documentation/radionuclides-sheets/Documents/Th232SAN.pdf
Listes des rivières et bassins versants du Québec : http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/Eau/bassinversant/bassins/index.htm
Listes des espèces menacés au Québec : http://www3.mffp.gouv.qc.ca/faune/especes/menacees/liste.asp
Articles de journaux
Redevances minières qui paie et combien : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/366588/redevances-minieres-qui-paie-et-combien
La Russie assise sur un stock d’uranium par Serguei Goloubtchikov : http://fr.ria.ru/analysis/20080425/105933249.html
Communiqué de Québec meilleure Mine - Québec (lundi 6 février 2012)
Impact du Polonium www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Communiques_et_dossiers_de_presse/Pages/impact_polonium210_sur_homme.aspx#.VD8Z6aG1bX4
IDDPNQL et Collaborateurs : Enquête et audience publique – les enjeux de la filière uranifère, 24 septembre 2014.
Liens Internet
Liste des accidents nucléaires majeurs: http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d'accidents_nucl%C3%A9aires
Bismuth : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bismuth
Polonium : http://fr.wikipedia.org/wiki/Polonium
Chimie du Bismuth: http://www.lenntech.fr/francais/data-perio/bi.htm
Météorologie du Québec : http://www.meteo.org/phenomen/climato.htm
Données et statistiques du Stade Olympiques : http://parcolympique.qc.ca/le-parc-olympique/notre-organisme/donnees-et-statistiques/
Protactinium : http://fr.wikipedia.org/wiki/Protactinium
Thorium : http://fr.wikipedia.org/wiki/Thorium
Uranium mining in Canada : http://en.wikipedia.org/wiki/Uranium_mining_in_Canada
Pantex aux États-Unis Texas : http://en.wikipedia.org/wiki/Pantex_Plant
Fusion froide : http://www.fusion-froide.info/
Radon : http://fr.wikipedia.org/wiki/Radon
Pantex aux États-Unis Texas : http://en.wikipedia.org/wiki/Pantex_Plant
Fusion froide : http://www.fusion-froide.info/
Radon : http://fr.wikipedia.org/wiki/Radon
Radium : http://fr.wikipedia.org/wiki/Radium
Mining in Kasakhstan : http://en.wikipedia.org/wiki/Uranium_mining_in_Kazakhstan
Mining industry of Russie: http://en.wikipedia.org/wiki/mining_industry_of_russia
Lac Karatchaï : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lac_Karatcha%C3%AF
Villes fermées (Atomgrads) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ville_ferm%C3%A9e
Plus hauts sommets du Québec : http://www.unites.uqam.ca/hypera/Quebec/relief.htm
Fission nucléaire : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fission_nucl%C3%A9aire
Fusion nucléaire : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fusion_nucl%C3%A9aire
Extraction uranium : http://fr.wikipedia.org/wiki/Extraction_de_l%27uranium
Césium-137 : http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9sium_137
Plutonium : http://fr.wikipedia.org/wiki/Plutonium
Uranium : http://fr.wikipedia.org/wiki/Uranium
Compagnies minières uranifères dans le monde : http://www.wise-uranium.org/
Informations boursières des minières nucléaires : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
Débit de dose nucléaire : http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9bit_de_dose
Sievert : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sievert
Mesure de radioprotection : http://www.astrosurf.com/luxorion/radioactivite-mesure-protection-civile.htm
Documentaires vidéo cinématographiques
Le Scandale de la France contaminée (210 mines radioactives) : https://www.youtube.com/watch?v=MkFMzViwaKk
Uranium le mythe de l’énergie propre (mine Wismut Allemagne) : https://www.youtube.com/watch?v=x6PV2oc30nQ
Uranium, l’héritage empoisonné (Afrique) : http://www.dailymotion.com/video/xuydiy_nucleaire-uranium-l-heritage-empoisonne-lcp-07-12-2009-54m20s_tech
Niger, la bataille de l’Uranium (Afrique) : https://www.youtube.com/watch?v=HpxzaGgGsvo
Uranium au Canada par Magnus Isacsson (Saskatchewan) : https://www.onf.ca/film/uranium_fr
Chernobyl Heart and Childrens : http://www.youtube.com/watch?v=8ujAG_Ofj4M
Uranium, it is a Country ?! (Australie) : http://www.youtube.com/watch?v=pnW0N_gJiTA
Plutonium Circus Pentax Lab Amarillo TX : https://www.youtube.com/watch?v=AmOzNT3BCrQ
Le Soleil sur Terre : https://www.youtube.com/watch?v=TKeNQy9vbz4
Traffic d’Uranium, qui sont les acteurs? (Afrique) : https://www.youtube.com/watch?v=w4vXurRUjHU
Le Soleil sur Terre : https://www.youtube.com/watch?v=TKeNQy9vbz4
Traffic d’Uranium, qui sont les acteurs? (Afrique) : https://www.youtube.com/watch?v=w4vXurRUjHU
Corse, le mensonge radioactif : http://www.dailymotion.com/video/xufmhh_corse-le-mensonge-radioactif-tchernobyl_tech
☢☢☢
Liste boursière des compagnies minières uranifères
Canada
Cameco Corp.
CCO.TO 19.75 0.16 0.82% 19.53 19.91 17.95 28.57 567,272 7,007.9
Denison Mines Corp.
DML.TO 1.29 -0.02 -1.53% 1.29 1.31 1.01 1.95 950,821 573.9
Uranium Participation Corp.
U.TO 5.07 -0.12 -2.31% 5.06 5.18 4.70 5.99 394,666 531.2
Paladin Energy Ltd.
PDN.TO 0.39 0.01 2.63% 0.38 0.39 0.28 0.63 289,407 376.3
Altius Minerals
ALS.TO 12.55 0.00 0.00% 12.49 12.70 10.36 16.32 52,492 363.5
Energy Fuels Inc.
EFR.TO 7.41 0.13 1.79% 7.23 7.67 0.12 13.03 23,818 130.9
UEX Corp.
UEX.TO 0.33 -0.01 -1.52% 0.32 0.34 0.31 0.64 797,529 66.3
Pinetree Capital Ltd.
PNP.TO 0.26 -0.01 -3.77% 0.25 0.27 0.25 0.66 699,854 46.2
Ucore Rare Metals Inc.
UCU.V 0.26 0.00 0.00% 0.26 0.27 0.18 0.50 45,000 46.1
Kivalliq Energy Corp.
KIV.V 0.20 0.01 2.63% 0.19 0.20 0.18 0.29 73,500 38.3
Laramide Resources Ltd.
LAM.TO 0.46 0.03 5.75% 0.43 0.47 0.32 0.91 50,813 32.4
Southampton Ventures Inc.
SV.V 0.58 -0.02 -3.33% 0.58 0.58 0.20 0.94 95,000 26.2
Forsys Metals Corp.
FSY.TO 0.26 0.00 0.00% 0.26 0.26 0.24 0.62 500 25.6
Boss Power Corp.
BPU.V 0.26 0.00 0.00% 0.26 0.26 0.13 0.28 333 18.3
Golden Valley Mines Ltd.
GZZ.V 0.17 0.00 0.00% 0.17 0.17 0.03 0.23 20,000 14.2
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
États-Unis
(native)
Change (native) Change (%)
Day Low
Day High
52 Week Low
52 Week High Volume MC (M CAD$)
Ur-Energy Inc.
URG 1.02 0.01 0.99% 1.01 1.03 1.00 1.99 604,124 131.3
Uranium Energy Corp.
UEC 1.28 -0.01 -0.78% 1.26 1.33 0.94 2.30 319,217 115.9
Uranerz Energy Corp.
URZ 1.10 -0.01 -0.90% 1.08 1.12 0.80 1.97 157,260 94.9
Uranium Resources Inc.
URRE 2.53 0.03 1.20% 2.49 2.55 2.21 4.05 47,252 63.2
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
URG 1.02 0.01 0.99% 1.01 1.03 1.00 1.99 604,124 131.3
Uranium Energy Corp.
UEC 1.28 -0.01 -0.78% 1.26 1.33 0.94 2.30 319,217 115.9
Uranerz Energy Corp.
URZ 1.10 -0.01 -0.90% 1.08 1.12 0.80 1.97 157,260 94.9
Uranium Resources Inc.
URRE 2.53 0.03 1.20% 2.49 2.55 2.21 4.05 47,252 63.2
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
Australie
Company
Ticker
Last Price (native)
Change (native)
Change (%)
Day Low
Day High
52 Week Low
52 Week High
Volume
MC (M CAD$)
Company
Ticker
Last Price (native)
Change (native)
Change (%)
Day Low
Day High
52 Week Low
52 Week High
Volume
MC (M CAD$)
BHP Billiton Ltd.
BHP.AX 34.16 -0.63 -1.81% 34.02 34.32 34.02 39.79 15,826,631 159,457.0
Rio Tinto Ltd.
RIO.AX 60.11 -1.39 -2.26% 60.06 60.66 57.06 71.30 5,084,165 97,533.5
Energy Resources of Australia
ERA.AX 1.28 0.01 0.39% 1.26 1.29 0.99 1.64 157,197 581.3
Toro Energy Ltd
TOE.AX 0.09 0.00 0.00% 0.09 0.09 0.06 0.13 599,834 125.0
Alliance Resources Ltd.
AGS.AX 0.22 0.01 4.76% 0.19 0.22 0.11 0.27 411,253 65.9
Berkeley Resources Ltd.
BKY.AX 0.31 0.01 3.33% 0.30 0.31 0.21 0.39 28,986 49.0
Summit Resources Ltd.
SMM.AX 0.20 0.00 0.00% 0.20 0.21 0.17 1.29 2,125 38.2
Encounter Resources Ltd.
ENR.AX 0.25 0.00 0.00% 0.24 0.25 0.14 0.30 3,300 29.0
Thundelarra Exploration Ltd.
THX.AX 0.12 -0.01 -4.17% 0.12 0.12 0.03 0.36 470,031 27.8
Energy Metals Limited
EME.AX 0.14 0.00 0.00% 0.14 0.14 0.12 0.24 9,450 25.8
Arafura Resources Limited
ARU.AX 0.06 -0.00 -5.88% 0.06 0.07 0.06 0.11 107,570 24.7
Deep Yellow Ltd.
DYL.AX 0.02 0.00 0.00% 0.02 0.02 0.02 0.05 4,603,826 24.1
Bannerman Resources Limited
BMN.AX 0.08 0.00 2.74% 0.07 0.08 0.05 0.14 71,900 21.7
A-Cap Resources Ltd.
ACB.AX 0.06 -0.00 -3.33% 0.06 0.06 0.04 0.08 14,634 18.8
Red Metal Ltd.
RDM.AX 0.14 0.01 3.70% 0.14 0.15 0.09 0.23 114,000 17.8
Globe Metals and Mining
GBE.AX 0.04 -0.00 -4.44% 0.04 0.04 0.02 0.07 15,000 17.5
Cullen Resources Ltd.
CUL.AX 0.01 0.00 9.09% 0.01 0.01 0.01 0.02 1,822,264 11.0
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
BHP.AX 34.16 -0.63 -1.81% 34.02 34.32 34.02 39.79 15,826,631 159,457.0
Rio Tinto Ltd.
RIO.AX 60.11 -1.39 -2.26% 60.06 60.66 57.06 71.30 5,084,165 97,533.5
Energy Resources of Australia
ERA.AX 1.28 0.01 0.39% 1.26 1.29 0.99 1.64 157,197 581.3
Toro Energy Ltd
TOE.AX 0.09 0.00 0.00% 0.09 0.09 0.06 0.13 599,834 125.0
Alliance Resources Ltd.
AGS.AX 0.22 0.01 4.76% 0.19 0.22 0.11 0.27 411,253 65.9
Berkeley Resources Ltd.
BKY.AX 0.31 0.01 3.33% 0.30 0.31 0.21 0.39 28,986 49.0
Summit Resources Ltd.
SMM.AX 0.20 0.00 0.00% 0.20 0.21 0.17 1.29 2,125 38.2
Encounter Resources Ltd.
ENR.AX 0.25 0.00 0.00% 0.24 0.25 0.14 0.30 3,300 29.0
Thundelarra Exploration Ltd.
THX.AX 0.12 -0.01 -4.17% 0.12 0.12 0.03 0.36 470,031 27.8
Energy Metals Limited
EME.AX 0.14 0.00 0.00% 0.14 0.14 0.12 0.24 9,450 25.8
Arafura Resources Limited
ARU.AX 0.06 -0.00 -5.88% 0.06 0.07 0.06 0.11 107,570 24.7
Deep Yellow Ltd.
DYL.AX 0.02 0.00 0.00% 0.02 0.02 0.02 0.05 4,603,826 24.1
Bannerman Resources Limited
BMN.AX 0.08 0.00 2.74% 0.07 0.08 0.05 0.14 71,900 21.7
A-Cap Resources Ltd.
ACB.AX 0.06 -0.00 -3.33% 0.06 0.06 0.04 0.08 14,634 18.8
Red Metal Ltd.
RDM.AX 0.14 0.01 3.70% 0.14 0.15 0.09 0.23 114,000 17.8
Globe Metals and Mining
GBE.AX 0.04 -0.00 -4.44% 0.04 0.04 0.02 0.07 15,000 17.5
Cullen Resources Ltd.
CUL.AX 0.01 0.00 9.09% 0.01 0.01 0.01 0.02 1,822,264 11.0
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
☢☢☢
CAMECO Corporation
2121 11th Street West
Saskatoon, Sask., Canada S7M 1J3
Tel. +1-306-956-6200, Fax: +1-306-956-6201
> View CAMECO news releases • via CCN
> Download CAMECO 2005 Annual Report: Cameco • SEDAR (April 13, 2006) (2.6MB PDF)
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Subsidiaries
(uranium related ones only)
(Cameco acquired Canadian and US subsidiaries of Uranerz, view Cameco press releases of April 17, 1998 and August 11, 1998 )
(Cameco has sold parts of some of its Saskatchewan uranium assets to Cogéma, see Cameco press release of May 5, 1999 and July 8, 1999 )
(On Nov. 7, 2000, Cameco announced the writedown of the Crow Butte and Highland ISL projects and other ISL properties.)
(50%) UEM Inc.
(some of the following interests are partly held through UEM)
(100%) Rabbit Lake, Saskatchewan
(83.333%) Key Lake, Saskatchewan
(69.805%) McArthur River Joint Venture, Saskatchewan
(50.025%) Cigar Lake Mining Corp., Saskatchewan
(57.466%) Dawn Lake deposit, Saskatchewan
(57.466%) Tamarack deposit, Saskatchewan
Kernaghan Lake Property, Saskatchewan
(60%) Riou Lake Property, Saskatchewan
(69.9%) Millennium zone deposit (Cree Extension Property), Saskatchewan
(49%) Virgin River Property, Saskatchewan
(30%) Wheeler River deposit, Saskatchewan
(87.5%) Maurice Bay deposit, Saskatchewan
(78%) Smart Lake property, Saskatchewan
(39.5%) Hook Lake property, Saskatchewan
(100%) Boomerang Lake Property, Northwest Territories
(65%) Rocky Brook Property, Newfoundland
(100%) Red Desert Basin deposit, Wyoming, USA USA
(100%) Bear Creek, Wyoming
(100%) Ruby Ranch deposit, Wyoming
(50%) Taylor Ranch deposit, Wyoming
(100%) Geomex Minerals Inc, USA
(32.309%) Crow Butte, Nebraska, USA *
(25.75%) Highland, Wyoming, USA *
(100%) Big Red deposit, Nebraska, USA
(100%) Peach deposit, Wyoming, USA
(100%) UUS Inc., USA
(67.691%) Crow Butte, Nebraska, USA *
(100%) Cameco Resources (formerly Power Resources, Inc.), Denver, USA
(100%) Smith Ranch ISL, Wyoming, USA
(100%) Gas Hills (PRI) project, Wyoming, USA
(100%) North Butte / Ruth project, Wyoming, USA
(74.25%) Highland, Wyoming, USA *
(100%) Shirley Basin ISL project, Wyoming, USA
(100%) Central Electricity Generating Board Exploration (Canada) Ltd (CEGBE Canada)
(60%) Inkay project, Kazakhstan
(66.7%) Munkuduk project, Kazakhstan
(23.3%) UEX Corp.
(18.7%) Unor Inc.
(9.4%) Concordia Resource Corp.
(100%) Cameco Global Exploration Ltd.
(10.9%) Cue Resources Ltd.
(19.9%) UrAmerica Ltd , UK
(10.9%) GoviEx Uranium Inc. , Niger
Cameco Australia Pty Ltd
(70%) Kintyre Project, Western Australia
(100%) Yeelirrie Project, Western Australia
(100% - planned) Hathor Exploration Ltd
Roughrider deposit, Saskatchewan
(73%) Urtek LLC
* total CAMECO interests for multiple affiliations:
(100%) Highland, Wyoming, USA
(100%) Crow Butte, Nebraska, USA
(uranium related ones only)
(Cameco acquired Canadian and US subsidiaries of Uranerz, view Cameco press releases of April 17, 1998 and August 11, 1998 )
(Cameco has sold parts of some of its Saskatchewan uranium assets to Cogéma, see Cameco press release of May 5, 1999 and July 8, 1999 )
(On Nov. 7, 2000, Cameco announced the writedown of the Crow Butte and Highland ISL projects and other ISL properties.)
(50%) UEM Inc.
(some of the following interests are partly held through UEM)
(100%) Rabbit Lake, Saskatchewan
(83.333%) Key Lake, Saskatchewan
(69.805%) McArthur River Joint Venture, Saskatchewan
(50.025%) Cigar Lake Mining Corp., Saskatchewan
(57.466%) Dawn Lake deposit, Saskatchewan
(57.466%) Tamarack deposit, Saskatchewan
Kernaghan Lake Property, Saskatchewan
(60%) Riou Lake Property, Saskatchewan
(69.9%) Millennium zone deposit (Cree Extension Property), Saskatchewan
(49%) Virgin River Property, Saskatchewan
(30%) Wheeler River deposit, Saskatchewan
(87.5%) Maurice Bay deposit, Saskatchewan
(78%) Smart Lake property, Saskatchewan
(39.5%) Hook Lake property, Saskatchewan
(100%) Boomerang Lake Property, Northwest Territories
(65%) Rocky Brook Property, Newfoundland
(100%) Red Desert Basin deposit, Wyoming, USA USA
(100%) Bear Creek, Wyoming
(100%) Ruby Ranch deposit, Wyoming
(50%) Taylor Ranch deposit, Wyoming
(100%) Geomex Minerals Inc, USA
(32.309%) Crow Butte, Nebraska, USA *
(25.75%) Highland, Wyoming, USA *
(100%) Big Red deposit, Nebraska, USA
(100%) Peach deposit, Wyoming, USA
(100%) UUS Inc., USA
(67.691%) Crow Butte, Nebraska, USA *
(100%) Cameco Resources (formerly Power Resources, Inc.), Denver, USA
(100%) Smith Ranch ISL, Wyoming, USA
(100%) Gas Hills (PRI) project, Wyoming, USA
(100%) North Butte / Ruth project, Wyoming, USA
(74.25%) Highland, Wyoming, USA *
(100%) Shirley Basin ISL project, Wyoming, USA
(100%) Central Electricity Generating Board Exploration (Canada) Ltd (CEGBE Canada)
(60%) Inkay project, Kazakhstan
(66.7%) Munkuduk project, Kazakhstan
(23.3%) UEX Corp.
(18.7%) Unor Inc.
(9.4%) Concordia Resource Corp.
(100%) Cameco Global Exploration Ltd.
(10.9%) Cue Resources Ltd.
(19.9%) UrAmerica Ltd , UK
(10.9%) GoviEx Uranium Inc. , Niger
Cameco Australia Pty Ltd
(70%) Kintyre Project, Western Australia
(100%) Yeelirrie Project, Western Australia
(100% - planned) Hathor Exploration Ltd
Roughrider deposit, Saskatchewan
(73%) Urtek LLC
* total CAMECO interests for multiple affiliations:
(100%) Highland, Wyoming, USA
(100%) Crow Butte, Nebraska, USA
☢☢☢
AREVA
2, rue Paul Dautier, BP 4
F-78141 Vélizy-Villacoublay Cedex, France
Tel. +33-1-39263000, Fax: +33-1-39262700
> View press releases: AREVA • AREVA Inc. • AREVA Resources Canada Inc.
AREVA
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Subsidiaries
only uranium mining activities shown (* = multiple interests)
AREVA Mines SA
(29.43%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon) *
(100%) CFM - Compagnie Française de Mokta
(39%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon) *
(100%) Bagombe, Gabon
(34%) COMINAK SA - Compagnie Minière d'Akouta (Niger)
(37.48%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger) *
(100%) - Arlit Concession (Niger)
(56.65%) Imouraren (Niger)
(100%) CFMM SA - Compagnie Française des Mines et Métaux (France)
(100%) SMB - Société des Mines du Bourneix (France)
(100%) SMJ - Société des Mines de Jouac (France)
(100%) Areva NC Australia Pty Ltd
(100%) Koongarra
(11.68%) Northern Uranium Ltd (Northern Territory, Australia)
(99.96%) COMINOR
(100%) CMA
(40%) AMC
(25.92%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger) *
(17.07%) AREVA Resources Canada Inc. (Canada) * (formerly COGEMA Resources Inc.)
(5%) Uramin Inc. *
(100%) Uramin Holding SAS
(100%) CFMM Développement SAS
(95%) Uramin Inc. *
(10.6%) - Marenica Energy Ltd
(82.93%) AREVA Resources Canada Inc. (Canada) * (formerly COGEMA Resources Inc.)
(50%) UEM Inc.
(some of the following interests are partly held through UEM)
(100%) Cluff Lake (Saskatchewan, Canada)
(70%) McClean (Saskatchewan, Canada)
(69.16%) Midwest (Saskatchewan, Canada)
(37.1%) Cigar Lake (Saskatchewan, Canada)
(23.086%) Dawn Lake deposit (Saskatchewan, Canada)
(30.195%) McArthur River (Saskatchewan, Canada)
(16.667%) Key Lake (Saskatchewan, Canada)
(51%) Shea Creek (Saskatchewan, Canada)
(51%) Douglas, Erica, Alexandra, Laurie, Mirror River, Nikita and Uchrich Properties (Saskatchewan, Canada)
(49%) Virgin River Property (Saskatchewan, Canada)
(12.5%) Maurice Bay deposit (Saskatchewan, Canada)
(39.5%) Hook Lake property (Saskatchewan, Canada)
(10.04%) Black Lake (Saskatchewan, Canada)
(64.8%) Kiggavik - Sissons Schultz (Baker Lake) (Nunavut, Canada)
AREVA Resources Finland Oy
(100%) AREVA NC Inc. (formerly COGEMA Inc.)
(100%) COGEMA Resources USA
(100%) COGEMA Deutschland GmbH (Germany)
(69.41%) Urangesellschaft mbH (Germany)
(100%) UG USA Inc.
(51%) KATCO (Kazakhstan)
Muyunkum project, Kazakhstan
(70%) COGEGOBI (Mongolia)
(66%) Areva Mongol
(100%) Dulaan Uul, Mongolia
(66%) Zoovch Ovoo, Mongolia
(10.46%) - Summit Resources Ltd
(6.07%) - Forte Energy NL
(11%) - Mawson Resources Ltd.
(6.9%) - European Uranium Resources Ltd.
(50%) - Jordanian-French Uranium Mining Company
Attarat and Wadi Maghar deposit, Jordan
Khan Azzabib deposit, Jordan
Siwāqa deposit, Jordan
only uranium mining activities shown (* = multiple interests)
AREVA Mines SA
(29.43%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon) *
(100%) CFM - Compagnie Française de Mokta
(39%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon) *
(100%) Bagombe, Gabon
(34%) COMINAK SA - Compagnie Minière d'Akouta (Niger)
(37.48%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger) *
(100%) - Arlit Concession (Niger)
(56.65%) Imouraren (Niger)
(100%) CFMM SA - Compagnie Française des Mines et Métaux (France)
(100%) SMB - Société des Mines du Bourneix (France)
(100%) SMJ - Société des Mines de Jouac (France)
(100%) Areva NC Australia Pty Ltd
(100%) Koongarra
(11.68%) Northern Uranium Ltd (Northern Territory, Australia)
(99.96%) COMINOR
(100%) CMA
(40%) AMC
(25.92%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger) *
(17.07%) AREVA Resources Canada Inc. (Canada) * (formerly COGEMA Resources Inc.)
(5%) Uramin Inc. *
(100%) Uramin Holding SAS
(100%) CFMM Développement SAS
(95%) Uramin Inc. *
(10.6%) - Marenica Energy Ltd
(82.93%) AREVA Resources Canada Inc. (Canada) * (formerly COGEMA Resources Inc.)
(50%) UEM Inc.
(some of the following interests are partly held through UEM)
(100%) Cluff Lake (Saskatchewan, Canada)
(70%) McClean (Saskatchewan, Canada)
(69.16%) Midwest (Saskatchewan, Canada)
(37.1%) Cigar Lake (Saskatchewan, Canada)
(23.086%) Dawn Lake deposit (Saskatchewan, Canada)
(30.195%) McArthur River (Saskatchewan, Canada)
(16.667%) Key Lake (Saskatchewan, Canada)
(51%) Shea Creek (Saskatchewan, Canada)
(51%) Douglas, Erica, Alexandra, Laurie, Mirror River, Nikita and Uchrich Properties (Saskatchewan, Canada)
(49%) Virgin River Property (Saskatchewan, Canada)
(12.5%) Maurice Bay deposit (Saskatchewan, Canada)
(39.5%) Hook Lake property (Saskatchewan, Canada)
(10.04%) Black Lake (Saskatchewan, Canada)
(64.8%) Kiggavik - Sissons Schultz (Baker Lake) (Nunavut, Canada)
AREVA Resources Finland Oy
(100%) AREVA NC Inc. (formerly COGEMA Inc.)
(100%) COGEMA Resources USA
(100%) COGEMA Deutschland GmbH (Germany)
(69.41%) Urangesellschaft mbH (Germany)
(100%) UG USA Inc.
(51%) KATCO (Kazakhstan)
Muyunkum project, Kazakhstan
(70%) COGEGOBI (Mongolia)
(66%) Areva Mongol
(100%) Dulaan Uul, Mongolia
(66%) Zoovch Ovoo, Mongolia
(10.46%) - Summit Resources Ltd
(6.07%) - Forte Energy NL
(11%) - Mawson Resources Ltd.
(6.9%) - European Uranium Resources Ltd.
(50%) - Jordanian-French Uranium Mining Company
Attarat and Wadi Maghar deposit, Jordan
Khan Azzabib deposit, Jordan
Siwāqa deposit, Jordan
* total Areva interests for multiple affiliations:
(68.42%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon)
(63.4%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger)
(100%) Areva Resources Canada Inc.
(100% - to be reduced to 51%) Uramin Inc.
Source: Areva Annual Rapports, among others
(68.42%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon)
(63.4%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger)
(100%) Areva Resources Canada Inc.
(100% - to be reduced to 51%) Uramin Inc.
Source: Areva Annual Rapports, among others
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Liste boursière des compagnies minières uranifères
Canada
Cameco Corp.
CCO.TO 19.75 0.16 0.82% 19.53 19.91 17.95 28.57 567,272 7,007.9
Denison Mines Corp.
DML.TO 1.29 -0.02 -1.53% 1.29 1.31 1.01 1.95 950,821 573.9
Uranium Participation Corp.
U.TO 5.07 -0.12 -2.31% 5.06 5.18 4.70 5.99 394,666 531.2
Paladin Energy Ltd.
PDN.TO 0.39 0.01 2.63% 0.38 0.39 0.28 0.63 289,407 376.3
Altius Minerals
ALS.TO 12.55 0.00 0.00% 12.49 12.70 10.36 16.32 52,492 363.5
Energy Fuels Inc.
EFR.TO 7.41 0.13 1.79% 7.23 7.67 0.12 13.03 23,818 130.9
UEX Corp.
UEX.TO 0.33 -0.01 -1.52% 0.32 0.34 0.31 0.64 797,529 66.3
Pinetree Capital Ltd.
PNP.TO 0.26 -0.01 -3.77% 0.25 0.27 0.25 0.66 699,854 46.2
Ucore Rare Metals Inc.
UCU.V 0.26 0.00 0.00% 0.26 0.27 0.18 0.50 45,000 46.1
Kivalliq Energy Corp.
KIV.V 0.20 0.01 2.63% 0.19 0.20 0.18 0.29 73,500 38.3
Laramide Resources Ltd.
LAM.TO 0.46 0.03 5.75% 0.43 0.47 0.32 0.91 50,813 32.4
Southampton Ventures Inc.
SV.V 0.58 -0.02 -3.33% 0.58 0.58 0.20 0.94 95,000 26.2
Forsys Metals Corp.
FSY.TO 0.26 0.00 0.00% 0.26 0.26 0.24 0.62 500 25.6
Boss Power Corp.
BPU.V 0.26 0.00 0.00% 0.26 0.26 0.13 0.28 333 18.3
Golden Valley Mines Ltd.
GZZ.V 0.17 0.00 0.00% 0.17 0.17 0.03 0.23 20,000 14.2
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
États-Unis
(native)
Change (native) Change (%)
Day Low
Day High
52 Week Low
52 Week High Volume MC (M CAD$)
Ur-Energy Inc.
URG 1.02 0.01 0.99% 1.01 1.03 1.00 1.99 604,124 131.3
Uranium Energy Corp.
UEC 1.28 -0.01 -0.78% 1.26 1.33 0.94 2.30 319,217 115.9
Uranerz Energy Corp.
URZ 1.10 -0.01 -0.90% 1.08 1.12 0.80 1.97 157,260 94.9
Uranium Resources Inc.
URRE 2.53 0.03 1.20% 2.49 2.55 2.21 4.05 47,252 63.2
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
URG 1.02 0.01 0.99% 1.01 1.03 1.00 1.99 604,124 131.3
Uranium Energy Corp.
UEC 1.28 -0.01 -0.78% 1.26 1.33 0.94 2.30 319,217 115.9
Uranerz Energy Corp.
URZ 1.10 -0.01 -0.90% 1.08 1.12 0.80 1.97 157,260 94.9
Uranium Resources Inc.
URRE 2.53 0.03 1.20% 2.49 2.55 2.21 4.05 47,252 63.2
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
Australie
Company
Ticker
Last Price (native)
Change (native)
Change (%)
Day Low
Day High
52 Week Low
52 Week High
Volume
MC (M CAD$)
Company
Ticker
Last Price (native)
Change (native)
Change (%)
Day Low
Day High
52 Week Low
52 Week High
Volume
MC (M CAD$)
BHP Billiton Ltd.
BHP.AX 34.16 -0.63 -1.81% 34.02 34.32 34.02 39.79 15,826,631 159,457.0
Rio Tinto Ltd.
RIO.AX 60.11 -1.39 -2.26% 60.06 60.66 57.06 71.30 5,084,165 97,533.5
Energy Resources of Australia
ERA.AX 1.28 0.01 0.39% 1.26 1.29 0.99 1.64 157,197 581.3
Toro Energy Ltd
TOE.AX 0.09 0.00 0.00% 0.09 0.09 0.06 0.13 599,834 125.0
Alliance Resources Ltd.
AGS.AX 0.22 0.01 4.76% 0.19 0.22 0.11 0.27 411,253 65.9
Berkeley Resources Ltd.
BKY.AX 0.31 0.01 3.33% 0.30 0.31 0.21 0.39 28,986 49.0
Summit Resources Ltd.
SMM.AX 0.20 0.00 0.00% 0.20 0.21 0.17 1.29 2,125 38.2
Encounter Resources Ltd.
ENR.AX 0.25 0.00 0.00% 0.24 0.25 0.14 0.30 3,300 29.0
Thundelarra Exploration Ltd.
THX.AX 0.12 -0.01 -4.17% 0.12 0.12 0.03 0.36 470,031 27.8
Energy Metals Limited
EME.AX 0.14 0.00 0.00% 0.14 0.14 0.12 0.24 9,450 25.8
Arafura Resources Limited
ARU.AX 0.06 -0.00 -5.88% 0.06 0.07 0.06 0.11 107,570 24.7
Deep Yellow Ltd.
DYL.AX 0.02 0.00 0.00% 0.02 0.02 0.02 0.05 4,603,826 24.1
Bannerman Resources Limited
BMN.AX 0.08 0.00 2.74% 0.07 0.08 0.05 0.14 71,900 21.7
A-Cap Resources Ltd.
ACB.AX 0.06 -0.00 -3.33% 0.06 0.06 0.04 0.08 14,634 18.8
Red Metal Ltd.
RDM.AX 0.14 0.01 3.70% 0.14 0.15 0.09 0.23 114,000 17.8
Globe Metals and Mining
GBE.AX 0.04 -0.00 -4.44% 0.04 0.04 0.02 0.07 15,000 17.5
Cullen Resources Ltd.
CUL.AX 0.01 0.00 9.09% 0.01 0.01 0.01 0.02 1,822,264 11.0
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
BHP.AX 34.16 -0.63 -1.81% 34.02 34.32 34.02 39.79 15,826,631 159,457.0
Rio Tinto Ltd.
RIO.AX 60.11 -1.39 -2.26% 60.06 60.66 57.06 71.30 5,084,165 97,533.5
Energy Resources of Australia
ERA.AX 1.28 0.01 0.39% 1.26 1.29 0.99 1.64 157,197 581.3
Toro Energy Ltd
TOE.AX 0.09 0.00 0.00% 0.09 0.09 0.06 0.13 599,834 125.0
Alliance Resources Ltd.
AGS.AX 0.22 0.01 4.76% 0.19 0.22 0.11 0.27 411,253 65.9
Berkeley Resources Ltd.
BKY.AX 0.31 0.01 3.33% 0.30 0.31 0.21 0.39 28,986 49.0
Summit Resources Ltd.
SMM.AX 0.20 0.00 0.00% 0.20 0.21 0.17 1.29 2,125 38.2
Encounter Resources Ltd.
ENR.AX 0.25 0.00 0.00% 0.24 0.25 0.14 0.30 3,300 29.0
Thundelarra Exploration Ltd.
THX.AX 0.12 -0.01 -4.17% 0.12 0.12 0.03 0.36 470,031 27.8
Energy Metals Limited
EME.AX 0.14 0.00 0.00% 0.14 0.14 0.12 0.24 9,450 25.8
Arafura Resources Limited
ARU.AX 0.06 -0.00 -5.88% 0.06 0.07 0.06 0.11 107,570 24.7
Deep Yellow Ltd.
DYL.AX 0.02 0.00 0.00% 0.02 0.02 0.02 0.05 4,603,826 24.1
Bannerman Resources Limited
BMN.AX 0.08 0.00 2.74% 0.07 0.08 0.05 0.14 71,900 21.7
A-Cap Resources Ltd.
ACB.AX 0.06 -0.00 -3.33% 0.06 0.06 0.04 0.08 14,634 18.8
Red Metal Ltd.
RDM.AX 0.14 0.01 3.70% 0.14 0.15 0.09 0.23 114,000 17.8
Globe Metals and Mining
GBE.AX 0.04 -0.00 -4.44% 0.04 0.04 0.02 0.07 15,000 17.5
Cullen Resources Ltd.
CUL.AX 0.01 0.00 9.09% 0.01 0.01 0.01 0.02 1,822,264 11.0
Source : http://www.miningfeeds.com/uranium-mining-report-all-countries
☢☠☢
CAMECO Corporation
2121 11th Street West
Saskatoon, Sask., Canada S7M 1J3
Tel. +1-306-956-6200, Fax: +1-306-956-6201
> View CAMECO news releases • via CCN
> Download CAMECO 2005 Annual Report: Cameco • SEDAR (April 13, 2006) (2.6MB PDF)
> Search for company's SEDAR filings
CAMECO Corporation
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Subsidiaries
(uranium related ones only)
(Cameco acquired Canadian and US subsidiaries of Uranerz, view Cameco press releases of April 17, 1998 and August 11, 1998 )
(Cameco has sold parts of some of its Saskatchewan uranium assets to Cogéma, see Cameco press release of May 5, 1999 and July 8, 1999 )
(On Nov. 7, 2000, Cameco announced the writedown of the Crow Butte and Highland ISL projects and other ISL properties.)
(50%) UEM Inc.
(some of the following interests are partly held through UEM)
(100%) Rabbit Lake, Saskatchewan
(83.333%) Key Lake, Saskatchewan
(69.805%) McArthur River Joint Venture, Saskatchewan
(50.025%) Cigar Lake Mining Corp., Saskatchewan
(57.466%) Dawn Lake deposit, Saskatchewan
(57.466%) Tamarack deposit, Saskatchewan
Kernaghan Lake Property, Saskatchewan
(60%) Riou Lake Property, Saskatchewan
(69.9%) Millennium zone deposit (Cree Extension Property), Saskatchewan
(49%) Virgin River Property, Saskatchewan
(30%) Wheeler River deposit, Saskatchewan
(87.5%) Maurice Bay deposit, Saskatchewan
(78%) Smart Lake property, Saskatchewan
(39.5%) Hook Lake property, Saskatchewan
(100%) Boomerang Lake Property, Northwest Territories
(65%) Rocky Brook Property, Newfoundland
(100%) Red Desert Basin deposit, Wyoming, USA USA
(100%) Bear Creek, Wyoming
(100%) Ruby Ranch deposit, Wyoming
(50%) Taylor Ranch deposit, Wyoming
(100%) Geomex Minerals Inc, USA
(32.309%) Crow Butte, Nebraska, USA *
(25.75%) Highland, Wyoming, USA *
(100%) Big Red deposit, Nebraska, USA
(100%) Peach deposit, Wyoming, USA
(100%) UUS Inc., USA
(67.691%) Crow Butte, Nebraska, USA *
(100%) Cameco Resources (formerly Power Resources, Inc.), Denver, USA
(100%) Smith Ranch ISL, Wyoming, USA
(100%) Gas Hills (PRI) project, Wyoming, USA
(100%) North Butte / Ruth project, Wyoming, USA
(74.25%) Highland, Wyoming, USA *
(100%) Shirley Basin ISL project, Wyoming, USA
(100%) Central Electricity Generating Board Exploration (Canada) Ltd (CEGBE Canada)
(60%) Inkay project, Kazakhstan
(66.7%) Munkuduk project, Kazakhstan
(23.3%) UEX Corp.
(18.7%) Unor Inc.
(9.4%) Concordia Resource Corp.
(100%) Cameco Global Exploration Ltd.
(10.9%) Cue Resources Ltd.
(19.9%) UrAmerica Ltd , UK
(10.9%) GoviEx Uranium Inc. , Niger
Cameco Australia Pty Ltd
(70%) Kintyre Project, Western Australia
(100%) Yeelirrie Project, Western Australia
(100% - planned) Hathor Exploration Ltd
Roughrider deposit, Saskatchewan
(73%) Urtek LLC
* total CAMECO interests for multiple affiliations:
(100%) Highland, Wyoming, USA
(100%) Crow Butte, Nebraska, USA
(uranium related ones only)
(Cameco acquired Canadian and US subsidiaries of Uranerz, view Cameco press releases of April 17, 1998 and August 11, 1998 )
(Cameco has sold parts of some of its Saskatchewan uranium assets to Cogéma, see Cameco press release of May 5, 1999 and July 8, 1999 )
(On Nov. 7, 2000, Cameco announced the writedown of the Crow Butte and Highland ISL projects and other ISL properties.)
(50%) UEM Inc.
(some of the following interests are partly held through UEM)
(100%) Rabbit Lake, Saskatchewan
(83.333%) Key Lake, Saskatchewan
(69.805%) McArthur River Joint Venture, Saskatchewan
(50.025%) Cigar Lake Mining Corp., Saskatchewan
(57.466%) Dawn Lake deposit, Saskatchewan
(57.466%) Tamarack deposit, Saskatchewan
Kernaghan Lake Property, Saskatchewan
(60%) Riou Lake Property, Saskatchewan
(69.9%) Millennium zone deposit (Cree Extension Property), Saskatchewan
(49%) Virgin River Property, Saskatchewan
(30%) Wheeler River deposit, Saskatchewan
(87.5%) Maurice Bay deposit, Saskatchewan
(78%) Smart Lake property, Saskatchewan
(39.5%) Hook Lake property, Saskatchewan
(100%) Boomerang Lake Property, Northwest Territories
(65%) Rocky Brook Property, Newfoundland
(100%) Red Desert Basin deposit, Wyoming, USA USA
(100%) Bear Creek, Wyoming
(100%) Ruby Ranch deposit, Wyoming
(50%) Taylor Ranch deposit, Wyoming
(100%) Geomex Minerals Inc, USA
(32.309%) Crow Butte, Nebraska, USA *
(25.75%) Highland, Wyoming, USA *
(100%) Big Red deposit, Nebraska, USA
(100%) Peach deposit, Wyoming, USA
(100%) UUS Inc., USA
(67.691%) Crow Butte, Nebraska, USA *
(100%) Cameco Resources (formerly Power Resources, Inc.), Denver, USA
(100%) Smith Ranch ISL, Wyoming, USA
(100%) Gas Hills (PRI) project, Wyoming, USA
(100%) North Butte / Ruth project, Wyoming, USA
(74.25%) Highland, Wyoming, USA *
(100%) Shirley Basin ISL project, Wyoming, USA
(100%) Central Electricity Generating Board Exploration (Canada) Ltd (CEGBE Canada)
(60%) Inkay project, Kazakhstan
(66.7%) Munkuduk project, Kazakhstan
(23.3%) UEX Corp.
(18.7%) Unor Inc.
(9.4%) Concordia Resource Corp.
(100%) Cameco Global Exploration Ltd.
(10.9%) Cue Resources Ltd.
(19.9%) UrAmerica Ltd , UK
(10.9%) GoviEx Uranium Inc. , Niger
Cameco Australia Pty Ltd
(70%) Kintyre Project, Western Australia
(100%) Yeelirrie Project, Western Australia
(100% - planned) Hathor Exploration Ltd
Roughrider deposit, Saskatchewan
(73%) Urtek LLC
* total CAMECO interests for multiple affiliations:
(100%) Highland, Wyoming, USA
(100%) Crow Butte, Nebraska, USA
☢☠☢
AREVA
2, rue Paul Dautier, BP 4
F-78141 Vélizy-Villacoublay Cedex, France
Tel. +33-1-39263000, Fax: +33-1-39262700
> View press releases: AREVA • AREVA Inc. • AREVA Resources Canada Inc.
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Subsidiaries
only uranium mining activities shown (* = multiple interests)
AREVA Mines SA
(29.43%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon) *
(100%) CFM - Compagnie Française de Mokta
(39%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon) *
(100%) Bagombe, Gabon
(34%) COMINAK SA - Compagnie Minière d'Akouta (Niger)
(37.48%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger) *
(100%) - Arlit Concession (Niger)
(56.65%) Imouraren (Niger)
(100%) CFMM SA - Compagnie Française des Mines et Métaux (France)
(100%) SMB - Société des Mines du Bourneix (France)
(100%) SMJ - Société des Mines de Jouac (France)
(100%) Areva NC Australia Pty Ltd
(100%) Koongarra
(11.68%) Northern Uranium Ltd (Northern Territory, Australia)
(99.96%) COMINOR
(100%) CMA
(40%) AMC
(25.92%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger) *
(17.07%) AREVA Resources Canada Inc. (Canada) * (formerly COGEMA Resources Inc.)
(5%) Uramin Inc. *
(100%) Uramin Holding SAS
(100%) CFMM Développement SAS
(95%) Uramin Inc. *
(10.6%) - Marenica Energy Ltd
(82.93%) AREVA Resources Canada Inc. (Canada) * (formerly COGEMA Resources Inc.)
(50%) UEM Inc.
(some of the following interests are partly held through UEM)
(100%) Cluff Lake (Saskatchewan, Canada)
(70%) McClean (Saskatchewan, Canada)
(69.16%) Midwest (Saskatchewan, Canada)
(37.1%) Cigar Lake (Saskatchewan, Canada)
(23.086%) Dawn Lake deposit (Saskatchewan, Canada)
(30.195%) McArthur River (Saskatchewan, Canada)
(16.667%) Key Lake (Saskatchewan, Canada)
(51%) Shea Creek (Saskatchewan, Canada)
(51%) Douglas, Erica, Alexandra, Laurie, Mirror River, Nikita and Uchrich Properties (Saskatchewan, Canada)
(49%) Virgin River Property (Saskatchewan, Canada)
(12.5%) Maurice Bay deposit (Saskatchewan, Canada)
(39.5%) Hook Lake property (Saskatchewan, Canada)
(10.04%) Black Lake (Saskatchewan, Canada)
(64.8%) Kiggavik - Sissons Schultz (Baker Lake) (Nunavut, Canada)
AREVA Resources Finland Oy
(100%) AREVA NC Inc. (formerly COGEMA Inc.)
(100%) COGEMA Resources USA
(100%) COGEMA Deutschland GmbH (Germany)
(69.41%) Urangesellschaft mbH (Germany)
(100%) UG USA Inc.
(51%) KATCO (Kazakhstan)
Muyunkum project, Kazakhstan
(70%) COGEGOBI (Mongolia)
(66%) Areva Mongol
(100%) Dulaan Uul, Mongolia
(66%) Zoovch Ovoo, Mongolia
(10.46%) - Summit Resources Ltd
(6.07%) - Forte Energy NL
(11%) - Mawson Resources Ltd.
(6.9%) - European Uranium Resources Ltd.
(50%) - Jordanian-French Uranium Mining Company
Attarat and Wadi Maghar deposit, Jordan
Khan Azzabib deposit, Jordan
Siwāqa deposit, Jordan
only uranium mining activities shown (* = multiple interests)
AREVA Mines SA
(29.43%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon) *
(100%) CFM - Compagnie Française de Mokta
(39%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon) *
(100%) Bagombe, Gabon
(34%) COMINAK SA - Compagnie Minière d'Akouta (Niger)
(37.48%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger) *
(100%) - Arlit Concession (Niger)
(56.65%) Imouraren (Niger)
(100%) CFMM SA - Compagnie Française des Mines et Métaux (France)
(100%) SMB - Société des Mines du Bourneix (France)
(100%) SMJ - Société des Mines de Jouac (France)
(100%) Areva NC Australia Pty Ltd
(100%) Koongarra
(11.68%) Northern Uranium Ltd (Northern Territory, Australia)
(99.96%) COMINOR
(100%) CMA
(40%) AMC
(25.92%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger) *
(17.07%) AREVA Resources Canada Inc. (Canada) * (formerly COGEMA Resources Inc.)
(5%) Uramin Inc. *
(100%) Uramin Holding SAS
(100%) CFMM Développement SAS
(95%) Uramin Inc. *
(10.6%) - Marenica Energy Ltd
(82.93%) AREVA Resources Canada Inc. (Canada) * (formerly COGEMA Resources Inc.)
(50%) UEM Inc.
(some of the following interests are partly held through UEM)
(100%) Cluff Lake (Saskatchewan, Canada)
(70%) McClean (Saskatchewan, Canada)
(69.16%) Midwest (Saskatchewan, Canada)
(37.1%) Cigar Lake (Saskatchewan, Canada)
(23.086%) Dawn Lake deposit (Saskatchewan, Canada)
(30.195%) McArthur River (Saskatchewan, Canada)
(16.667%) Key Lake (Saskatchewan, Canada)
(51%) Shea Creek (Saskatchewan, Canada)
(51%) Douglas, Erica, Alexandra, Laurie, Mirror River, Nikita and Uchrich Properties (Saskatchewan, Canada)
(49%) Virgin River Property (Saskatchewan, Canada)
(12.5%) Maurice Bay deposit (Saskatchewan, Canada)
(39.5%) Hook Lake property (Saskatchewan, Canada)
(10.04%) Black Lake (Saskatchewan, Canada)
(64.8%) Kiggavik - Sissons Schultz (Baker Lake) (Nunavut, Canada)
AREVA Resources Finland Oy
(100%) AREVA NC Inc. (formerly COGEMA Inc.)
(100%) COGEMA Resources USA
(100%) COGEMA Deutschland GmbH (Germany)
(69.41%) Urangesellschaft mbH (Germany)
(100%) UG USA Inc.
(51%) KATCO (Kazakhstan)
Muyunkum project, Kazakhstan
(70%) COGEGOBI (Mongolia)
(66%) Areva Mongol
(100%) Dulaan Uul, Mongolia
(66%) Zoovch Ovoo, Mongolia
(10.46%) - Summit Resources Ltd
(6.07%) - Forte Energy NL
(11%) - Mawson Resources Ltd.
(6.9%) - European Uranium Resources Ltd.
(50%) - Jordanian-French Uranium Mining Company
Attarat and Wadi Maghar deposit, Jordan
Khan Azzabib deposit, Jordan
Siwāqa deposit, Jordan
* total Areva interests for multiple affiliations:
(68.42%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon)
(63.4%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger)
(100%) Areva Resources Canada Inc.
(100% - to be reduced to 51%) Uramin Inc.
Source: Areva Annual Rapports, among others
(68.42%) COMUF - Compagnie des Mines d'Uranium de Franceville (Gabon)
(63.4%) SOMAÏR - Société des Mines de l'Aïr (Niger)
(100%) Areva Resources Canada Inc.
(100% - to be reduced to 51%) Uramin Inc.
Source: Areva Annual Rapports, among others
Compagnies minières nucléaires mondiales
Voici une liste exhaustive des minières uranifères ayant déjà fait de la prospection, exploration, exploitation et de la pollution nucléaire massive. La provenance des pays n’est pas toujours inscrite ainsi il faut vérifier les informations spécifiques en particulier.
A
A1 Minerals Ltd
Aardvark Uranium Limited (BVI)
Abbastar Uranium Corp.
Aben Resources Inc.
Abitex Resources Inc.
ABV Gold Inc.
A-Cap Resources Ltd
Acclaim Exploration NL
Accord Nuclear Resources
Acme Resources Inc.
Activex Ltd
Actus Minerals Corp.
Adamera Minerals Corp.
Adavale Resources Ltd
Adelaide Resources Ltd
Adriana Resources Inc.
Aflease Gold and Uranium Resources Ltd
Afrasia Mining & Energy Investment Holdings Ltd
African Aura Resources Ltd.
African Energy Resources Ltd
African Exploration Mining and Finance Corporation (AEMFC)
African Investment Group Congo
Africa Uranium Ltd
Agadez Ltd (UK)
Agricola Resources plc
Agrineq SA (Mauritania)
AIM Resources Ltd.
Alamar Resources Ltd
Alara Resources Ltd
Alba Mineral Resources PLC
Alberta Star Development Corp.
Albidon Ltd
Aldershot Resources Ltd.
Aldridge Minerals Inc.
Aldridge Uranium Inc.
Aldrin Resource Corp.
Alecto Minerals Plc
Algae Farm (USA), Inc.
Alhambra Resources Ltd.
Alliance Resources Ltd
Allied Energy Corporation, Inc.
Alligator Energy Ltd
All Star Minerals plc
Alpha Beta Uranium Inc.
Alpha Exploration Inc.
Alpha Minerals Inc.
Alpha Uranium Ltd
Alpha Uranium Resources Inc.
Altius Minerals Corp.
Alturas Minerals Corp.
Amalco
American Creek Resources Ltd.
American Nuclear Fuels 11 LLC (Utah)
American Strategic Minerals Corp.
American Uranium Corporation Inc. (> SEC)
American Uranium Inc.
Amerimine Resources, Inc.
Amseco Exploration Ltd.
Anaconda Gold Corp.
Anatolia Energy Ltd
Ancash Investments (Pty.) Ltd.
Anchor Resources Ltd
Andresmin Gold Corporation
Anfield Resources Inc.
Anglo American plc
Anglo-Bomarc Mines Ltd.
Anglo-Canadian Uranium Corp.
Anglogold Ashanti Ltd
Anglo Pacific Group PLC
Anglovaal Ltd
Anhui Geology and Mining Investment International Limited (AGMII)
Anthem Resources Inc.
AntOro Resources Inc.
Apollo Minerals Ltd
Appia Energy Corp.
Aquentium, Inc.
Arabian Uranium Ventures
Arafura Resources Ltd
Aragon Resources Ltd
Archer Exploration Ltd
Arctic Hunter Uranium Inc. (> SEDAR)
Arcturus Ventures Inc.
Areva: AREVA Hall of Infamy
Argentine Frontier Resources Inc
Argentina Uranium Corp.
Argo Exploration Ltd
Argus Metals Corp.
Armenian-Russian Mining Company CJSC
Artemis Resources Ltd
Artha Resources Corp
Ashburton Ventures Inc.
Astro Resources NL
Ateba Resources Inc.
Athabasca Nuclear Corp.
Athabasca Uranium Inc.
Atikwa Minerals Corp.
ATI Petroleum
Atomic Energy Organization of Iran (AEOI)
Atomic Minerals Ltd
Atomic Resources Ltd
Atomredmetzoloto JSC
Augustine Ventures Inc.
Augyva Mining Resources Inc.
Aura Energy Ltd
Aurania Resources Ltd.
Aurelio Resources Inc. (> SEC)
Aurizon Mines Ltd.
Aurora Energy Resources Inc.
Aurora Minerals Ltd.
AuroVallis Sàrl
AusAmerican Mining Corporation NL
Ausquest Ltd
Australasia Consolidated Ltd
Australasian Resources Ltd
Australian Gold Holdings Ltd
Avalon Minerals Ltd
Avanti Mining Inc. (> SEDAR)
Avoca Resources Ltd
AXG Mining Ltd
Axiom Mining Ltd
Axmin Inc.
Axton Uranium Corporation
Azarga Resources Ltd
Azimut Exploration Inc.
Azimuth Resources Ltd
Azincourt Uranium Inc.
Aztec Resources Ltd
Azure Minerals Ltd
B
BacTech Mining Corporation
Balmain Resources Pty Ltd
Baltic Resources Inc. (> SEDAR)
Bancroft Uranium Inc.
Bannerman Resources Ltd.
Bard Ventures Ltd.
Batavia Mining Ltd
Batla Minerals SA
Bayswater Uranium Corporation
Beacon Minerals Ltd
Bearclaw Capital Corp. (> SEDAR)
Belmont Resources Inc.
Belvedere Resources Ltd
Benton Resources Corp.
Beowulf Mining PLC
BE Resources Inc.
Berkeley Resources Ltd
Bidtimes Plc
BHP Billiton
Bitterroot Resources Ltd
Black Hawk Exploration Inc.
Black Mountain Resources Ltd
Black Range Minerals NL
Black Sea Minerals, Inc.
Blaze International Ltd
Blue Sky Uranium Corp.
Bokum Resources
Bolivar Mining Corp.
Bonanza Gold Pty Ltd
Bonaventure Enterprises Inc.
Bondi Mining Ltd
Boss Power Corp.
Bowen Energy Ltd
Boxcut Mining Pty Ltd
Brades Resource Corp.
Brazil Resources Inc.
Brazos International Exploration, Inc. (> SEC)
Breakwater Resources Ltd
Brighton Energy Ltd
Brilliant Mining Corp.
Brinkley Mining Plc
Brownstone Resources Inc.
Brownstone Ventures Inc.
Buckingham Exploration Inc.
Buffalo Gold Ltd.
Bulgarian Mining Corporation Ltd
Bullion Minerals Ltd
Burey Gold Ltd
C
Cache Exploration Inc.
Caldera Resources Inc.
Caliburn Resources Ltd
California Gold Corp.
Callabonna Uranium Ltd.
Callinan Mines Limited
Calypso Uranium Corp.
Cam Bow Holdings (Pty) Ltd
Cambridge Mineral Resources plc
CAMECO Canaco Resources Inc.
Canada Strategic Metals Inc.
Canadian International Minerals Inc.
CanAlaska Uranium Limited
Canam Energy Inc.
CanAm Uranium Corp. (> SEC)
Canmin Resources (Uganda) Ltd
Canning Resources
Cantex Mine Development Corp.
CanWest Petroleum Corp.
Canyon Resources Corp.
Capella Resources Ltd.
Capital Hill Gold, Inc.
Cardero Resource Corp.
Cardia Technologies Ltd
Carina Energy Inc. (Toronto, Ont.)
Cascade Resources Ltd. (> SEDAR)
Cascadero Copper Corporation
Cascadia International Resources Inc.
Case Financial Inc.
Cassiar Mines & Metal Inc.
Castle Creek Silver Inc.
Castle Resources Inc.
Catalyst Metals Ltd
Caudillo Resources S.A.
Cauldron Energy Ltd.
Cazaly Resources Ltd
Central African Mining & Exploration Company plc (CAMEC)
Central West Gold NL (> ASX)
Central Asian Uranium Co. Ltd.
Central Iron Ore Ltd
Central Uranium Corporation
Century City International Holdings Ltd
Chain Bright LLC
Channel Resources Ltd.
Chesser Resources Ltd
China National Nuclear Corporation
CNNC China Uranium Corporation
CUC CGNPC Nuclear Fuel Co., Ltd.
China Nuclear International Uranium Corporation (Sino Uranium)
China West International Holdings Ltd
China Yunnan Copper Australia Ltd
Chrysalis Capital IV Corporation
Chubu Electric Power Co., Inc.
CJSC Dalur Clan Resources Ltd.
Cline Mining Corporation
COGEMA Cohiba Minerals Ltd
COJ Commodity Investments Ltd (UK)
Colorado Goldfields Inc.
Colt Resources Inc.
COMINAK Comisión Nacional de Energía Atómica
CNEA (Argentina)
Commander Resources Ltd.
Commerce Resources Corp.
Compania Naţională a Uraniului
CNU (Romania)
Compass Resources NL
COMUF Concordia Resource Corp.
Consolidated Global Minerals Ltd.
Consolidated Gulfside Resources Ltd.
Continental Precious Minerals Inc.
Continental Resources Group, Inc.
Converse County Mining Venture
Cooper Minerals Inc.
Copper Ridge Explorations Inc.
Coral Rapids Minerals Inc.
Core Exploration Ltd
Core Resources Ltd
Cornerstone Capital Resources Inc.
Coronation Mines Ltd.
Corporación Nacional del Cobre (Codelco) (Chile)
Cotter Corp.
Crescent Gold Ltd.
Crescent Resources Corp.
Creso Resources Inc.
Crested Corp.
Critical Point Resources, Inc.
Crosscontinental Uranium Ltd
Crossland Strategic Metals Ltd
Crown Energy s.r.o. , Bratislava
Crusader Resources Ltd
Cudeco Ltd
Cue Resources Ltd.
Cullen Resources Ltd
Curnamona Energy Ltd.
Custom Branded Networks Inc. (> SEC)
Cuyuni Mining Inc.
CVRD Inco Limited
Cyclone Uranium Corporation
CJSC Dalur De Beers Canada Inc.
D
Declan Resources Inc.
Deep Yellow Ltd (Australia)
Deep Yellow Ltd (Tanzania)
Dejour Enterprises Ltd.
Delta Uranium Inc.
Denison Mines Corp.
Denver Uranium Corp. (> SEDAR)
Desert Energy Ltd
D.F. Exploration Uranium Ltd. (DFEU - Daniel L. Fauré)
Dharni Sampda Private Limited
Diagnos Inc.
DIAMO s.p.
Dioro Exploration NL
Dios Exploration Inc.
Dioxitek S.A.
DIR Exploration Inc.
Ditem Explorations, Inc.
DMC Mining Limited
DNI Metals Inc.
Dominion Mining Ltd
Douglas Lake Minerals Inc.
Dourado Resources Ltd
Dragon Energy Ltd
Drake Resources Ltd.
DRDGold Ltd.
Dunefield Mining Company
Dunmarra Uranium Ltd
Dunsmuir Ventures Ltd.
Duran Ventures Inc.
Duyfken Energy and Minerals Corporation (> SEDAR)
Dynamite Resources Ltd
Dynasty Metals Australia Ltd
E
Eaglefield Holdings Pty Ltd
Eagle Plains Resources Ltd
Earthstone Uranium FZE
East Africa Resources Ltd
East Asia Minerals Corp.
Eastbourne Exploration Pty Ltd
Eastmain Resources Inc.
East Resources Inc. (British Columbia)
East West Resource Corp.
Eclipse Metals Ltd.
Edenville Energy Plc
EKG Minerals Inc.
Ekwan-X Inc.
El Capitan Precious Metals, Inc.
Eldorado Gold Corporation
Eleckra Mines Ltd
Electrum Resources SA
Element92 Resources Corp.
Elemental Minerals Ltd
Elkedra Diamonds NL
Elkonsky GOK
Ellendale Resources NL
El Nino Ventures Inc.
Eloro Resources Ltd.
Emeelt Mines LLC
Emergent Resources Ltd
Empire Resources Ltd
Empresa Nacional de Urânio S.A.
ENU (Portugal)
Empresa de Energía y Minerales Sociedad del Estado (Argentina)
Emu Nickel NL
Encounter Resources Ltd
Endeavor Explorations Inc.
Endeavor Uranium Inc.
Energentia Resources Inc.
Energía Mineral (Inc.) S.A. (Argentina)
Energia Minerals Ltd
Energizer Resources Inc.
Energy and Minerals Australia Pty Ltd
Energy Fuels Inc.
Energy Fuels Nuclear
Energy Fuels Resources Corporation
Energy Metals Corp (Canada)
Energy Metals Ltd (Australia)
Energy Resources Asia Limited
Energy Resources of Australia –
ERA Energy Ventures Ltd
Energy Ventures plc En+ Group
Enterprise Uranium Ltd
Entourage Mining Ltd.
Entrée Gold Inc.
ENUSA Industrias Avanzadas, S.A. (Spain)
Epangelo Mining Company (Pty) Ltd
Epic Resources Ltd Epsilon Energy Ltd
Equinox Minerals Ltd.
Erdene Gold Inc.
Ergo Mines Joint Venture
ERO Mining Ltd
Erongo Energy Ltd
Eurasia Mining Plc
Eurasian Minerals Inc.
European Resources Pty Ltd
European Uranium Resources Ltd.
Everest Exploration, Inc.
Everett Resources Ltd.
Everton Resources Inc.
Exact Energy Resources, Inc.
Excalibur Mining Corporation Limited
Excelsior Gold Ltd
Exco Resources NL
Exploration NQ Inc.
Extract Resources Ltd.
Ezulwini Mining Company (Pty) Limited
F
Fair Sky Resources Inc.
Fairstar Resources Ltd
Falcon Ventures Inc.
Fancamp Exploration Ltd.
Fast Scout Ltd
Fieldex Exploration Inc.
Fintry Enterprises Inc. (> SEDAR)
Firestone Ventures Inc.
First Canadian Uranium Inc.
First Liberty Power Corp.
First Reserve Corporation
First Uranium Corporation
Fission 3.0 Corp.
Fission Energy Corp.
Fission Energy Ltd
Fission Uranium Corp.
Fjordland Exploration Inc.
Formation Metals Inc.
Formation Resources Inc. (Bismarck, North Dakota)
Forsys Metals Corp.
Fort Chimo Minerals Inc.
Forte Energy NL
Fortescue Metals Group Ltd.
Fortress Minerals Corp.
Forum Uranium Corp.
Freedom Eye Ltd
Freegold Ventures Ltd
Freewest Resources Canada Inc.
Frome Uranium Pty Ltd
Frontenac Ventures Corporation
F3 Technologies, Inc.
Full Metal Minerals Ltd.
Fusion Resources Ltd
Future Energy LLC
Future Metals and Energy Ltd
FYI Resources Ltd
G
Galahad Gold Plc
Galaxy Resources Ltd
Gallant Minerals Mongolia Limited
Galore Resources Inc.
Gambaro Resources
Garnet Point Resources Corp.
Garrison International Ltd
Garuda Capital Corp.
Gate Bridge Company Ltd, Hong Kong
Gawler Resources Ltd
Gazprom OAO
GB Energy Ltd
GBE Exploration Pty Ltd
GBM Resources Ltd
GBS Gold International Inc.
Gcwihaba Resources (Pty) Ltd.
GEAM Gemco Minerals Inc.
General Atomics
Genesis Minerals Ltd
GenX Resource Corporation, Inc.
Geodex Minerals Ltd.
Geoinformatics Exploration Inc.
Geomex Minerals, Inc.
Geo Minerals Ltd.
George Forrest International
Geovic Mining Corp.
Gippsland Ltd.
Gladiator Resources Ltd
Gleneagle Gold Ltd
Glengarry Resources Ltd
Glen Hawk Minerals Ltd.
Global Atomic Fuels Corporation
Global Discovery Pty. Limited (Australia)
Global Gold Corporation
Global Gold Uranium, LLC
Consolidated Global Minerals Ltd.
Global Met Coal Corporation (> SEDAR)
Globe Metals & Mining Ltd
Globe Resources Pty Ltd
Globex Mining Enterprises Inc.
Golconda Resources Ltd.
Gold Canyon Resources Inc.
Goldcliff Resource Corporation
Goldcrest Resources Ltd.
Golden Bridge Mining Corporation
Golden Cross Resources Ltd
Golden Dawn Minerals Inc
Golden Deeps Ltd
Golden Dory Resources Ltd
Golden Eagle Minerals Corp.
Golden Patriot, Corp.
Golden Reef Mining Co.
Golden Reign Resources Ltd.
Golden Spirit Mining Ltd.
Golden State Resources Ltd
Golden Valley Mines Ltd.
Golden West Resources Ltd
Gold Fields Ltd
Gold One International Ltd
Gold-Ore Resources Ltd.
Goldport Pty Ltd
Gold Reef International, Inc.
Goldsearch Ltd
Goldstake Explorations Inc.
GoldStone Resources Ltd
Goliath Resources Inc.
Gondwana Resources Ltd
GoviEx Uranium Inc.
Govi High Power Exploration Inc. (GoviEx), Niger
Grand Cru Resources Corporation
Gravity West Mining Corp.
Great Bear Resources plc
Great Bear Resources Ltd
Greater Pacific Gold Ltd
Great Gold Mines NL
Great Western Exploration Ltd
Great Western Mining Corporation plc
Green Bull Energy Inc.
Greencastle Resources Ltd.
Greenland Minerals and Energy Ltd
Green Mountain Mining Venture
Greenock Resources Inc.
Greenwich Global Capital Inc. (> SEDAR)
Groote Resources Ltd.
GTI Resources Ltd
Gulf Mines Ltd
Gulliver Energy Ltd (> TASE) Consolidated
Gulfside Resources Ltd.
H
Haddington Resources Limited
Halcyon Group Ltd
Hale Energy Limited
Hanwha Corp.
Harmony Gold Mining Company Limited
Hartebeestfontein Gold Mining
Hathor Exploration Ltd.
Havilah Resources NL
Heathgate Resources Pty Ltd
Hebei Mining Resources Ltd
Helio Resource Corp.
Helix Resources Ltd
Heritage Gold NZ Ltd
High Plains Uranium, Inc.
High Tide Resources Inc. (Nova Scotia, Canada)
Hi Ho Silver Resources Inc.
Hillgrove Resources Ltd
Hindmarsh Resources Ltd
Hinterland Metals Inc.
Hodges Resources Ltd
Hodgins Auctioneers Inc.
HolGoun Investment Holdings (Pty) Ltd
Homeland Energy Group Ltd.
Homeland Uranium Inc.
Horizon Health International Corp.
Horizon Nevada Uranium Inc.
Hornby Bay Exploration Ltd
Hot Chili Ltd
Hyde Park Uranium Inc.
Hydro Resources, Inc.
IBI Corporation
Icon Industries Limited
IC Potash Corp.
Idemitsu Uranium Exploration Canada Ltd.
IUEC IGC Resources Inc.
IGE Nordic AB Image Resources NL
IMC Invest
Impact Minerals Limited
India Star Energy PLC (Croydon, UK) (> LSE)
Indocan Resources Inc
Indo Energy Ltd
Indústrias Nucleares do Brasil - INB
Inova Resources Ltd
Interactive Exploration Inc
Intermet Resources Ltd
International Energy Ltd., Inc. (Florida)
International Enexco Ltd
International Gold Exploration IGE AB
International Kirkland Minerals Inc.
International Millennium Mining Corp.
International Montoro Resources Inc.
International Ranger Corp.
Intrepid Mines Ltd
Island Arc Exploration Corp.
Itochu Ivanhoe Mines Ltd.
J
Jacana Resources Ltd
Jalna Minerals Ltd. (> SEDAR)
Jameson Resources Ltd
Japan Australia Uranium Resources Development Co Ltd. (JAURD)
Japan-Canada Uranium Co. Ltd. (JCU)
Japan Oil, Gas and Metals National Corp . (JOGMEC)
Jervois Mining Ltd
Jetcom Inc.
Jet Metal Corp.
Jindalee Resources Ltd
Jindal Steel & Power Ltd
JNR Resources Inc.
Jordan Energy Resources Inc.
Jourdan Resources Inc.
JSC Khiagda
JSC Priargunsky Production Mining and Chemical Association - PPGHO
JSC TVEL
Jupiter Mines Ltd
K
Kaboko Mining Ltd
Kalahari Minerals Plc
Kalahari Uranium Ltd
Kalgoorlie-Boulder Resources Ltd
Kaminak Gold Corp.
Kara-Balta Ore Mining Combine
Karoo Exploration Corp.
KATCO Kativik Resources Inc. (Québec City)
KazAtomProm KazUran Corp.
Kenmare Resources Plc.
Kennecott Corp.
Kentor Gold Limited
Kestrel Uranium Inc.
KGHM Polska Miedź S.A.
Khan Resources Inc. JSC
Khiagda Kibo Mining PLC
Kilimanjaro Capital Ltd
Kilimanjaro Mining Company, Inc.
Kinti Mining Ltd
Kirrin Resources Inc.
Kivalliq Energy Corp.
Kiwara Resources Ltd
Kodiak Exploration Ltd.
Korab Resources Ltd
Korea Electric Power Corp.
Korea Resources Corporation
Kyushu Electric Power Co., Inc.
L
La Casualidad S.A. (Salta, Argentina)
Lakeland Resources Inc.
Lake Victoria Mining Company, Inc.
Landmark Alaska Limited Partnership
Langer Heinrich Uranium (Pty) Ltd
Lara Exploration Ltd.
Laramide Resources Ltd.
Lateegra Resources Corp.
Latin Uranium Pty Ltd, Victoria, Australia
Latin Uranium S.R.L., San Juan, Argentina
Laurentian Goldfields Ltd.
LeBoldus Capital Inc. (> SEDAR)
Lefroy Resources Ltd
Leopard Minerals plc
Lexam Explorations Inc.
Liberty Gold NL
Liberty Resources Ltd
Liberty Star Uranium & Metals Corp.
Licon Mines (Pvt) Ltd
Lifespan Inc.
Limestone Basin Exploration Ltd.
Lincoln Minerals Ltd
Linia Prava Uranium Ltd
Lion One Metals Ltd
Lions Gate Metals Inc. (> SEDAR)
Lisungwe plc
Little Maverick Mining Company
Logan Resources Ltd.
Long Alpha Mining Company LLC
Long Harbour Exploration Corp.
Longview Capital Partners Inc.
Lonrho Africa Plc
LP Hill Plc
Lucara Diamond Corp.
Lucky Strike Resources Ltd.
Ludovika Energy, s.r.o.
Lusitania Uranium Mauritania
Lyncorp International Inc.
M
Macro Asia Corp.
Macusani Yellowcake Inc.
Madero Minerals S.A.
Magna Mining NL
Magnum Uranium Corp.
Magnum Minerals USA Corp.
Magnus International Resources, Inc.
Magyar Urán Zrt.
Maheshwari Mining Private Limited
Majescor Resources Inc.
Majesta Resources Inc.
Makena Resources Inc.
Malachite Resources NL
Malagasy Minerals Ltd
Malapai Resources Co.
Mancos Resources Inc.
Manhattan Corporation Ltd
Manica Minerals Ltd
Manicouagan Minerals Inc.
Manson Creek Resources Ltd.
Mantle Mining Corporation Ltd.
Mantra Resources Ltd
Marathon Resources Ltd
Marengo Mining Limited
Marenica Energy Ltd
Mar Ked Mineral Exploration, Inc. (> SEC)
Marline Corp.
Marmota Energy Ltd
Marubeni Corporation
Marum Resources Inc.
Matamec Explorations Inc.
Matrix Metals Ltd
Mauritania Resources Ltd
Mauritania Ventures Ltd
Mavuzi Resources Ltd
Mawson Resources Ltd.
Maximus Resources Ltd
Maxore Minerals Corp.
MAX Resource Corp.
Mega Uranium Ltd.
Melkior Resources Inc.
Mercantile Gold Company
Mercator Gold plc
Mercer Gold Corp.
Mercest SA (Argentina)
Merrex Gold Inc.
Mesa Exploration Corp.
Mesteña Uranium, L.L.C.
Metalex Ventures Ltd.
Metals Australia Ltd
Metals Creek Resources Corp.
Metminco Ltd
Mexivada Mining Corp.
Midasco Capital Corp.
Midland Exploration Inc.
MIE Metals Corp.
Midwest Uranium Corporation (> SEC)
Mill Bay Ventures Inc.
MillenMin Ventures Inc.
Millennia Resources AG
Millrock Resources Inc.
Mincor Resources NL
Mindax Ltd
Minemakers Ltd
Minera America del Sur SCM
Minera de Río Alagón SL
Mineral Commodities Ltd
Mineral & Mining Reclamation Services (Pty) Ltd
Minergia S.A.C.
Minergy Tanzania Ltd (Mauritius)
Minotaur Exploration Ltd
Minroc Mines Inc.
Mintails Pty Ltd
Mitsubishi Corporation
Mitsui & Co, Ltd.
Mkango Resources Ltd
Monax Mining Ltd
Monitor Energy Ltd
Monster Copper Corporation
Monster Uranium Corp.
Montero Mining and Exploration Ltd
Montezuma Mining Company Ltd
Mootah Energetic Pty. Ltd. (Botswana)
Moss Resources Inc.
Mount Burgess Mining NL
Mt Isa Metals Ltd
Mt Painter Joint Venture
Murphy Mining Pty Ltd
Mustang Geothermal Corp.
Nabirm Global LLC
N
Namakwa Uranium (Proprietary) Limited
Namibian Copper NL (> ASX)
Namibian Metals Ltd
Namibia Rare Earths Inc.
Namura Finland Oy
Namura Mineral Resources (Proprietary) Limited
Naples Capital Corp. (> SEDAR)
Navigator Resources Ltd
Navoi Mining and Milling Complex - NMMC
Nebu Resources Inc.
Neutron Energy Inc., Englewood, Colorado
New Age Exploration Ltd (> ASX)
New America Energy Corp. (> SEC)
Newcrest Operations Ltd
Newera Resources Ltd
Newfoundland Goldbar Resources Inc. (> SEDAR)
New Horizon Uranium Corporation
New Island Resources Inc.
New Kush Exploration and Mining Company Limited
Newland Resources Ltd
New Mexico & Arizona Land Company - NZ
New Shoshoni Ventures Ltd.
Newstrike Capital Inc. (> SEDAR)
NexGen Energy Ltd
NexHorizon Communications, Inc.
NFU Wyoming, LLC
NGM Resources Ltd
Nigeria Uranium Mining Co. Ltd. (NUMCO)
Niger Resources Inc.
Niger Uranium SA
Nimrodel Resources Ltd
NioGold Mining Corporation
Noble Mineral Exploration Inc.
Noka Resources Inc.
Nordic Diamonds Ltd.
Noront Resources Ltd.
Norrsken Energy Limited
North American Gem Inc.
North Atlantic Resources Ltd.
North Australian Diamonds Ltd
Northcore Resources Inc.
Northern Continental Resources Inc.
Northern Minerals Ltd
Northern Mining Ltd
Northern Star Resources Ltd
Northern Superior Resources Inc.
Northern Uranium Corp. Northfield Metals Inc. (> SEDAR)
North River Resources plc Northrock Resources Inc.
Nova Energy (Namibia) Pty Ltd
Novastar Resources Ltd.
Nova Uranium Corp.
Novawest Resources Inc.
NQ Exploration Inc.
NT Resources Ltd
Nuinsco Resources Limited
NuPower Resources Ltd
Nu Star Exploration, LLC (Arizona)
NVI Mining Ltd
NWT Uranium Corp.
NXA Inc.
NX Uranium, Inc.
O
Oban Energy Pty Limited
Odyssey Resources Ltd
Office National des Hydrocarbures et des Mines (Morocco)
Oklo Resources Ltd
Olympia Resources Ltd
OmegaCorp Ltd
Ongopolo Mining & Processing Ltd
Opal Energy Corp.
Oregon Energy LLC
Orezone Gold Corporation
Orion Exploration Pty Ltd Orion Metals Ltd
Oropa Ltd
Otish Energy Inc.
Otter Lake Resources Inc.
Outback Metals Ltd
Overseas Uranium Resource Development Company,Ltd. (OURD) (Japan)
OZ Minerals Ltd
P
Pacific Amber Resources Ltd.
Pacific Bay Minerals, Ltd.
Pacific Magnesium Corporation Ltd
Pacific Metals Corp.
Pacific Ridge Exploration Ltd
Pacific Road Resources Funds
PacMag Metals Ltd
Paddy's Pad 1183 (Pty) Ltd.
Pakistan Atomic Energy Commission - PAEC
Palabora Mining Palace Resources Limited
Paladin Energy Ltd:
Paladin Energy Ltd Hall of Infamy
PAM Atomique Sarl
Pamodzi Resources Fund
Pan African Mining Corp.
Pancontinental Uranium Corporation
Pangaea Energy Ltd
Paradigm Metals Ltd
Patagonia Resources Ltd. (BVI)
Pathfinder Mines Corp. - PMC
Pathfinder Resources Ltd.
Patrician Diamonds Inc
Peabody Energy Corporation
Peak Resources Ltd
Pegasus Metals Ltd
Pele Mountain Resources Inc.
Pencari Mining Corporation
Peninsula Energy Ltd
Peninsula Resources Ltd
PepinNini Minerals Ltd
Peregrine Diamonds Ltd.
Perihelion Canada, Inc.
Perseus Mining NL
Peruran S.A.
Phosphate Australia Ltd
Picomayo Minerales SA
Piedra Rica Mining S.A.
Pinetree Capital Ltd.
Pioneer Metals Corp.
Pistol Bay Mining Inc.
Pitchblack Resources Ltd.
Pitchstone Exploration Ltd
Planet Gas Ltd.
Plateau Resources
Polaris Metals NL
Polar Star Mining Corporation
Polo Resources Ltd.
Portal Resources Ltd.
Power Resources, Inc. - PRI
Power Resources Ltd
Powertech Uranium Corp.
Prairie Downs Metals Ltd
Prelim Capital Inc. (> SEDAR)
Prescient Mining Corp. (> SEDAR) JSC
Priargunsky Production Mining and Chemical Association - PPGHO
Primary Resources Ltd
Prime Minerals Ltd
Priority Uranium Corporation
Prometheus Resources Guyana Inc.
Prospect Uranium, Inc.
Protal Metals Group
Proto Resources and Investments Ltd
Purepoint Uranium Group Inc.
Q
Quasar Resources Pty Ltd
Quaterra Resources Inc.
Queensland Gold and Minerals Ltd
Quest Minerals Ltd
Quest Rare Minerals Ltd.
Quincy Energy Corp.
Quinto Mining Inc.
Quivira Mining Co
R
Radon Resources Ltd (Australia)
Raisama Pty Ltd
Ram Resources Ltd.
Rand Uranium Co.
Range Resources Ltd (Perth)
Rare Earth Metals Corp.
Rawson Resources Ltd
Raytec Metals Corp.
Razor Resources Inc (> SEC)
REC Minerals Corp.
Redbank Mines Ltd
Red Butte Uranium Inc.
Red Hill Energy Inc.
Red Island Resources
Red Metal Ltd
Redport Ltd.
Red Rock Energy Inc.
Red Rock Resources PLC
Red Star Capital Ventures Inc. (> SEDAR)
Redstone Resources Inc. (Denver)
Reedy Lagoon Corporation Ltd.
Regalpoint Resources Ltd
Regal Uranium Inc.
Reliance Industries Ltd
Renascor Resources Ltd
Renova
Reptile Uranium Namibia (Pty) Ltd
Resolute Mining Ltd
Ressources Appalaches
Ressources d'Arianne Inc.
Resource Generation Ltd
Resource Star Ltd
Reva Resources Corp.
Rex Minerals Ltd
Rey Resources Ltd
Rhodes Resources Pty Ltd
Richmond Minerals Inc.
Ridge Resources Ltd.
Ridgeway Energy Ltd
Rimfire Minerals Corporation
Rimrock Exploration and Development, Inc., Nucla, Colorado
Rio Algom
Rio Grande Mines Corp.
Rio Grande Mining Corp.
Rio Grande Resources Corp.
Rio Tinto RJK Explorations Ltd.
Rockgate Capital Corp.
Rodinia Minerals Inc.
Rössing Uranium Ltd.
Roughrider Uranium Corp.
Royal Quantum Group, Inc.
Royal Resources Ltd
RPT Resources Ltd.
RT Minerals Corp. (> SEDAR)
Ruby Hill Exploration Inc.
Rukwa Uranium Ltd. (Toronto)
Rum Jungle Resources Ltd
Running Fox Resource Corp.
Rym Capital Corp.
S
Sabre Resources Ltd
Sagacity Holdings Ltd (New Zealand)
Salisbury Resources Ltd
Salta Exploraciones SA (Argentina)
Samba Gold Inc.
Samphire Uranium Pty Ltd
Sandstorm Resources Ltd
Sarissa Resources, Inc.
Saturn Minerals Inc.
Scandinavian Gold Prospecting AB
Sea Green Capital Corp.
Sedimentary Holdings
Sechaba Natural Resources Pty Ltd (Botswana)
Segue Resources Ltd
Semafo Inc.
Semmous Lion Mining Ltd.
Signal Equities, LLC
Shaw River Resources Ltd
Shear Minerals Ltd.
Sheridan Platinum Group Limited
Sherlock Bay Nickel Corporation Limited
Shield Mining Ltd
Shiva Uranium Pty Ltd
Shoreham Resources Ltd. (> SEDAR)
Sibanye Gold Ltd
Siberia Mining Corporation Ltd
Siburan Resources Ltd
Signature Metals Ltd
Signet Mining Services Ltd
Silver Spruce Resources Inc.
Silvio Ventures Inc. (> SEDAR)
Simmer and Jack Mines Ltd
Sino King Enterprise Investment Ltd (Hongkong)
Sinosteel Corp. China Nuclear International Uranium Corporation (Sino Uranium)
Sipa Resources Ltd
Sirios Resources Inc.
Skyflyer Inc.
Skyharbour Resources Ltd.
Skyline Uranium Corporation
Société des Mines d'Azelik S.A. (SOMINA)
Société Québécoise d'Exploration Minière (SOQUEM)
Sojitz Corp.
Solitaire Minerals Corp.
Solomon Resources Ltd
SOMAÏR
SOPAMIN - Société de Patrimoine des Mines du Niger (Government of Niger)
South American Minerals, Inc.
Southampton Ventures Inc. (> SEDAR)
South Boulder Mines Ltd
Southern Andes Energy Inc.
Southern Cross Exploration NL
Southern Gold Ltd.
Southern Hemisphere Mining Ltd
Southern Uranium Ltd.
Sparton Resources Inc.
Spirit Exploration, Inc.
Sprott Resource Corp.
Spruce Ridge Resources Ltd. (> SEDAR)
Standard Uranium Inc.
Stans Energy Corp.
Star Minerals Group Ltd.
Starfire Minerals Inc.
STB Minerals LLC
Stellar Pacific Ventures Inc.
Stellar Resources Ltd
Stelmine Canada Ltd
Stepnoye Mining Co
Stikine Gold Corporation
Stonehenge Metals Ltd
Stone Resources Ltd
StrataGold Corporation
Strateco Resources Inc.
Strategic Metals Ltd. (Vancouver)
Strategic Minerals Corporation NL
Strategic Resources Inc.
Strategic Resources Ltd.
Strathmore Minerals Corp.
Strike Resources Ltd
Strongbow Exploration Inc.
S.TX Mining Venture
Sub-Sahara Resources NL
Sumitomo Corp.
Summit Resources Ltd
Superior Mining International Corporation
Superior Resources Ltd
Superior Uranium Inc.
Superior Uranium Pty Ltd
Svenska Skifferolje AB
Swakop Uranium (Pty) Ltd
Syrah Resources Ltd
T
TAD Mineral Exploration Inc.
Takara Resources Inc.
Talisman Mining Ltd
Talvivaara Mining Company Plc
Tanganyika Uranium Corp. (> SEDAR)
Tanqueray Resources Ltd.
Tanzania Minerals Corp.
TanzOz Uranium Australia Pty Ltd
Target Exploration and Mining Corp.
Tarku Resources Ltd.
Tasman Resources NL
Tau Mining Ltd (UK)
Taurian Resources Niger S.A.
Teal Exploration & Mining Inc
Tecton Corporation
Temex Resources Corp.
Terra Firma Resources Inc.
Terra Ventures Inc.
Territory Uranium Co Ltd
Tertiary Minerals PLC
Texas Rare Earth Resources Corporation
Thelon Ventures Ltd.
Thor Mining PLC
Thundelarra Exploration Ltd
Thunder Sword Resources Inc.
Tianda Uranium Australia Pty Ltd
Tibet Baoming Industry & Trade Ltd.
Tigris Uranium Corp.
Titan Uranium Inc.
TNG Ltd
Tohoku Electric Power Co., Inc.
The Tokyo Electric Power Company (TEPCO), Inc.
Top End Uranium Ltd
Toro Energy Ltd
Toshiba Corp.
Trafford Resources Ltd
Tranomaro Mineral Development Corporation Ltd (UK)
Trans America Industries Ltd.
Transandes Paraguay S.A.
Trans Atlantic Metals AG
Transglobal Mining Corp.
Trans Superior Resources Inc.
Trendfield Holdings SA
Trend Mining Company
Tribune Minerals Corp.
Triex Minerals Corporation
Tri Gold Resources Corp.
Trimark Explorations Ltd.
Tri Origin Exploration Ltd.
Triple Five Group
Tripple Uranium Resources Inc.
Troll Mining Ltd
Troymet Exploration Corp.
Tsodilo Resources Ltd
TUC Resources Ltd JSC TVEL
Twenty-Seven Capital Corp.
Typhoon Exploration Inc.
U
U3O8 Corp.
U3O8 Energy Ltd
U3O8 Holdings plc
Ucore Rare Metals Inc.
UEM Inc.
U Energy LLC (Wyoming)
UEX Corp.
Ultra Resources Corp.
UMC Energy plc.
U Mining Resources Inc.
Unico Inc.
Unique Uranium AG
United Energy Metals S.A. (Argentina)
United Nuclear LLC
United Uranium Ltd
Unity Energy Corp.
Universal Mining Investments Macedonia (Perth, WA)
Universal Power Corp.
Universal Resources Ltd
Unor Inc.
Uracan Resources Ltd.
Urafields
Uragold Bay Resources Inc.
UrAmerica PLC
Uramet Minerals Ltd
Uramin Inc.
Uramin PLC
Uranco Inc C/o URI
Uranco S.A. (Argentina)
Uranerzbergbau GmbH /
Uranerz Uranerz Energy Corporation
Uranex NL Uranex SA (Cameroon)
Urania Mining s.r.o.
Uranium 308 Corp.
Uranium Australia Ltd
Uranium Company of New Mexico LLC, Peralta, NM,
USA Uranium Company of Texas
Uranium Corporation of India Ltd. - UCIL
Uranium Corporation of Madagascar SARL (URAMAD)
Uranium Energy Corp.
Uranium Equities Ltd
Uranium Holdings Corporation (UHC)
Uranium Hunter Corporation
Uranium International Ltd (Australia)
Uranium Mineral Ventures Inc.
Uranium Mining Company (UGRK)
Uranium Oil and Gas Ltd
Uranium One Inc.
Uranium Prospects plc
Uranium Resources, Inc.
URI Uranium Resources PLC (UK)
UraniumSA Ltd
Uranium Standard Resources Ltd.
Uranium Valley Mines Ltd.
Uranium West Pty Ltd
Uranium World Energy Inc.
Uranor Inc.
UrAsia Energy Ltd.
Uravan Minerals Inc.
Ur-Energy Inc.
URN South Texas Project, Ltd.
Ursa Major Minerals Inc.
URU Metals Ltd
USA Uranium Corp.
U.S. Energy Corp.
U.S. Mine Makers, Inc.
USX Corp.
Utah-Idaho Consolidated Uranium
Utah Uranium Corp. UVC Uranium Inc.
UXA Resources Ltd
V
Vaal Reefs Vale Exploration Canada
Valencia Uranium (Pty) Ltd
Valencia Ventures Inc.
ValGold Resources Ltd.
Valhalla Resources Ltd
Valhalla Uranium Ltd
Vanadium Corp Resource Inc.
Vane Minerals Plc.
Vanguard Minerals Corp.
Vantex Resources Ltd.
Varun Energy Corporation
Vault Technology, Inc.
Vena Resources Inc.
Venture Minerals Ltd
Verbina Resources Inc. (> SEDAR)
Vetter Uranium Ltd
Victory Mines Ltd
Vija Ventures Corporation
Village Main Reef Gold Mining Company (1934) Ltd
Vior Inc.
VIPR Industries Inc.
Virginia Energy Resources Inc.
Virginia Mines Inc.
Vostochny Integrated Mining and Concentrating Plant
VostGOK
Vulcan Minerals Inc.
VVC Exploration Corp.
W
Warwick Resources Ltd
Wasabi Energy Pty Ltd
Waseco Resources Inc.
Washington Resources Ltd
Water Research and Development (Boulder, Colorado)
Wave Uranium Holding
WCP Resources Ltd
Wealth Minerals Ltd.
WellStar Energy Corp.
Wescan Goldfields Inc.
West Africa Gold Exploration (Namibia) (Pty) Ltd
Westcan Uranium Corp.
Western Desert Resources Ltd
Western Energy Development Corporation
Western Plains Gold Ltd
Western Prospector Group Ltd.
Western Troy Capital Resources Inc.
Western Uranium Pty Ltd (South Africa)
Westham Resources Corp. (> SEDAR)
Westmag Ltd
Westport Resources Namibia (Pty) Ltd
West Wits Mining Ltd
Whinnen Resources Ltd
White Canyon Uranium Ltd
White Rivers Exploration (Pty) Ltd (South Africa)
Wildhorse Energy Ltd
Willowstar Capital Inc. (> SEDAR)
Wiluna Mines Ltd
Windy Knob Resources Ltd
Witwatersrand Consolidated Gold Resources Ltd.
WMC Resources Ltd.
WM Mining International Ltd.
World Wide Minerals Ltd.
World Wide Uranium, Inc.
Woulfe Mining Corp.
X
Xemplar Energy Corp.
Xenon S.A. XState Resources Ltd
Y
Yamiri Gold and Energy Inc.
Yankee Hat Minerals Ltd.
Yellowcake PLC
Yellowcake Mining Inc.
Yellowcake Resources Inc.
Yellow Cat Uranium PLC
Yellow Dune Uranium Resources (Pty) Ltd
Yellow Rock Resources Ltd China
Yunnan Copper Australia Ltd
Z
Zadar Ventures Ltd
Zambezi Resources Ltd
Zenith Minerals LLC
Zerah Oil And Gas Explorations LP (> TASE)
Zeus Energy Ltd
Zeus Resources Pty Ltd
Zhonghe Resources (Namibia) Development (Pty) Ltd.
Zimbabwe Mining Development Corporation (ZMDC)
Source : http://www.wise-uranium.org/
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RAPPORT MÉTÉORE
remis pour le BAPE
Le 30 Octobre 2014 Québec – Canada - Labrador
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